La patience du cœur

Bonjour les amis,

Aujourd’hui nous voyons Syméon au temple, qui prend Jésus bébé dans ses bras et reconnaît en lui le Messie qu’il a attendu toute sa vie. Quelle patience et quelle confiance que celle de Syméon ! Comme nous dit le Pape François, toute sa vie Syméon a attendu et a exercé la patience du cœur. Dans la prière, il a appris que Dieu ne vient pas dans des évènements extraordinaires, mais accomplit son œuvre dans la monotonie apparente de nos journées, dans le rythme parfois fatigant des activités, dans les petites choses que nous continuons de faire avec ténacité et humilité en cherchant à accomplir sa volonté.

Cette patience est chemin d’exemple pour nous. La patience n’est pas un signe de faiblesse : elle est la force d’âme qui nous rend capables de tout supporter.

Et si, comme Syméon, nous cultivions dans notre cœur cette espérance dans la lumière qui éclairera notre monde ? Et si, face aux obscurités qui nous entourent, nous attendions cette lumière avec patience ? avec confiance ? Il est si facile de se plaindre, de gémir pour les choses qui ne vont pas. Contemplons en ce jour la patience courageuse de Syméon, prenons exemple sur son attente confiante.

Seigneur, donnes-moi un peu de cette patience courageuse pour que je puisse garder au cœur l’espérance du salut à venir et que je puisse la transmettre autour de moi. Ne laisse pas les ténèbres de la peur, de la méfiance et de la tristesse m’envahir.

Belle prière à tous,
Nathalie et Pascal

CHANT

Dans nos obscurités, allume le feu qui ne s’éteint jamais, qui ne s’éteint jamais …

PREMIERE LECTURE

« Celui qui aime son frère demeure dans la lumière » (1 Jn 2, 3-11)

Lecture de la première lettre de saint Jean

Bien-aimés,
voici comment nous savons que nous connaissons Jésus Christ :
si nous gardons ses commandements.
Celui qui dit : « Je le connais »,
et qui ne garde pas ses commandements,
est un menteur :
la vérité n’est pas en lui.
Mais en celui qui garde sa parole,
l’amour de Dieu atteint vraiment la perfection :
voilà comment nous savons que nous sommes en lui.
Celui qui déclare demeurer en lui
doit, lui aussi, marcher
comme Jésus lui-même a marché.

Bien-aimés, ce n’est pas un commandement nouveau
que je vous écris,
mais un commandement ancien
que vous aviez depuis le commencement.
La parole que vous avez entendue,
c’est le commandement ancien.
Et pourtant, c’est un commandement nouveau
que je vous écris ;
ce qui est vrai en cette parole
l’est aussi en vous ;
en effet, les ténèbres passent
et déjà brille la vraie lumière.
Celui qui déclare être dans la lumière
et qui a de la haine contre son frère
est dans les ténèbres jusqu’à maintenant.
Celui qui aime son frère demeure dans la lumière,
et il n’y a en lui aucune occasion de chute.
Mais celui qui a de la haine contre son frère
est dans les ténèbres :
il marche dans les ténèbres sans savoir où il va,
parce que les ténèbres ont aveuglé ses yeux.

Parole du Seigneur.

EVANGILE

« Lumière qui se révèle aux nations » (Lc 2, 22-35)

Évangile de Jésus Christ selon Saint Luc

Quand fut accompli le temps prescrit par la loi de Moïse
pour la purification,
les parents de Jésus l’amenèrent à Jérusalem
pour le présenter au Seigneur,
selon ce qui est écrit dans la Loi :
Tout premier-né de sexe masculin
sera consacré au Seigneur.
Ils venaient aussi offrir
le sacrifice prescrit par la loi du Seigneur :
un couple de tourterelles
ou deux petites colombes.
Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon.
C’était un homme juste et religieux,
qui attendait la Consolation d’Israël,
et l’Esprit Saint était sur lui.
Il avait reçu de l’Esprit Saint l’annonce
qu’il ne verrait pas la mort
avant d’avoir vu le Christ, le Messie du Seigneur.
Sous l’action de l’Esprit, Syméon vint au Temple.
Au moment où les parents présentaient l’enfant Jésus
pour se conformer au rite de la Loi qui le concernait,
Syméon reçut l’enfant dans ses bras,
et il bénit Dieu en disant :
« Maintenant, ô Maître souverain,
tu peux laisser ton serviteur s’en aller
en paix, selon ta parole.
Car mes yeux ont vu le salut
que tu préparais à la face des peuples :
lumière qui se révèle aux nations
et donne gloire à ton peuple Israël. »
Le père et la mère de l’enfant
s’étonnaient de ce qui était dit de lui.
Syméon les bénit,
puis il dit à Marie sa mère :
« Voici que cet enfant
provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël.
Il sera un signe de contradiction
– et toi, ton âme sera traversée d’un glaive – :
ainsi seront dévoilées
les pensées qui viennent du cœur d’un grand nombre. »

– Acclamons la Parole de Dieu : Louange à toi, Seigneur Jésus !

Homélie du Père Maximin Noudehou sur la première lecture

« Bien-aimés, voici comment nous savons que nous connaissons Jésus Christ : si nous gardons ses commandements. »
La connaissance du Christ est n’est pas une question purement intellectuelle. Elle n’est pas de l’ordre du savoir : elle est de l’ordre de l’être. Elle est l’expression de la vie du Christ dans le croyant. La connaissance du Christ engage : « Celui qui dit : « Je le connais », et qui ne garde pas ses commandements, est un menteur : la vérité n’est pas en lui. »
La connaissance du Christ implique l’initiation et le développement d’une relation intime et vitale avec Lui. C’est une connaissance avec le cœur. Elle exige une vie en harmonie ou en adéquation avec le Christ, à commencer par l’accueil et l’intégration en soit de ses commandements. Nous ne pouvons pas prétendre connaître le Christ et manquer de confiance en Lui. Nous ne pouvons pas prétendre Lui faire confiance et négliger ses commandements. Il importe qu’ils soient pour nous un précieux trésor dans le coffre-fort de notre cœur. Nous avons donc à les garder et à les méditer à l’exemple de notre Mère, la Vierge Marie. (Cf. Luc 2, 51) Nous ne pouvons nullement prétendre les garder et si nous n’y obéissons pas. C’est là le mensonge. « Mais en celui qui garde sa parole, l’amour de Dieu atteint vraiment la perfection. » Cela signifie que, par notre baptême dans la puissance de l’Esprit Saint, la vie du Christ est, pour toujours, établie en nous. Nous sommes configurés au Christ, nous sommes des « Christ ». Cette identification à Lui implique la présence et l’action de l’Amour de Dieu en nous d’une manière toute particulière. Mais, c’est par notre obéissance à la manière du Fils que nous permettons à l’Amour de se réaliser pleinement en nous pour que le Christ soit tout en nous. (Cf. Matthieu 3, 17 ; 17, 5 ; Éphésiens 4, 13) Notre responsabilité est donc engagée dans l’action de l’Amour divin en nous. Il ne s’agit pas une action subie. Il s’agit d’une libre collaboration à la grâce de Dieu.
Qui aime connaît ; qui connaît obéit. »
Quelle place accordes-tu aux commandements du Christ dans ta vie quotidienne ?

« Celui qui déclare demeurer en lui doit, lui aussi, marcher comme Jésus lui-même a marché.
S’il est certain que le Christ habite le croyant, il n’est pas toujours évident que ce dernier s’établisse (durablement) dans le Christ. Il ne s’agit plus seulement de l’obéissance à une parole, mais d’une imitation de la vie même du Christ. Il s’agit d’une union intime avec Lui au point de ressembler à Paul. (Cf. Galates 2, 20).
L’imitation du Christ est le but de notre vie chrétienne. Elle nous appelle à intégrer en nous ses sentiments. (Cf. Philippiens 2, 5-8) Ce n’est rien d’autre que l’établissement dans l’Amour : amour de Dieu et amour du prochain. C’est en cela que le commandement est à la fois ancien et nouveau. Il est ancien parce qu’il était déjà énoncé dans l’ancienne Alliance et constituait le noyau de la Loi. Et, il est nouveau parce que le Christ nous en a donné la pleine compréhension par son enseignement et sa vie pour que nous soyons dans la Lumière, c’est-à-dire que nous aimions comme Lui. « Celui qui déclare être dans la lumière et qui a de la haine contre son frère est dans les ténèbres jusqu’à maintenant. Celui qui aime son frère demeure dans la lumière, et il n’y a en lui aucune occasion de chute. » C’est là que se situe la difficulté pour nous. Car cet amour est, non seulement, incontournable mais, surtout, authentique, sans artifice. Nous avons à aimer le frère de manière désintéressée pour ne laisser aucune emprise à l’Ennemi qui est manipulateur.
Qui aime connaît ; qui connaît imite.
Quel est, aujourd’hui, ton degré de communion avec le Christ ?

Seigneur Dieu, par l’intercession de la Très Sainte Vierge Marie et de Saint Joseph, fais-nous demeurer dans le Christ.

Paroles du Pape François

 Syméon – écrit saint Luc – « attendait la Consolation d’Israël » (Lc 2, 25). Montant au temple, au moment où Marie et Joseph amenaient Jésus, il accueille le Messie dans ses bras. Celui qui reconnaît dans l’Enfant la lumière venue éclairer le peuple est un vieillard qui a attendu avec patience l’accomplissement des promesses du Seigneur. Il a attendu avec patience.

La patience de Syméon. Regardons de près la patience de ce vieillard. Toute sa vie il a attendu et a exercé la patience du cœur. Dans la prière il a appris que Dieu ne vient pas dans des évènements extraordinaires, mais accomplit son œuvre dans la monotonie apparente de nos journées, dans le rythme parfois fatigant des activités, dans les petites choses que nous continuons de faire avec ténacité et humilité en cherchant à accomplir sa volonté. Cheminant avec patience, Syméon ne s’est pas laissé user par l’écoulement du temps. C’est un homme maintenant âgé, et pourtant la flamme de son cœur est encore allumée ; dans sa longue vie il aura parfois été blessé, déçu, et pourtant il n’a pas perdu l’espérance ; avec patience, il conserve la promesse, – conserver la promesse – sans se laisser envahir par l’amertume du temps passé ou par cette mélancolie résignée qui émerge lorsqu’on arrive au crépuscule de la vie. L’espérance de l’attente s’est traduite en lui dans la patience quotidienne de celui qui, malgré tout, est demeuré vigilant, jusqu’à ce que, finalement, “ses yeux voient le salut” (cf. Lc 2, 30).

Et je me demande : où Syméon a-t-il appris cette patience? Il l’a reçue de la prière et de la vie de son peuple, qui a toujours reconnu dans le Seigneur le « Dieu de tendresse et de pitié, lent à la colère, riche en grâce et en fidélité » (Ex 34, 6) ; il a reconnu le Père qui même devant le refus et l’infidélité ne se lasse pas, mieux “patiente pendant de nombreuses années” (cf. Ne 9, 30), comme dit Néhémie, pour donner chaque fois la possibilité de la conversion.

La patience de Syméon est donc un miroir de la patience de Dieu. De la prière et de l’histoire de son peuple, Syméon a appris que Dieu est patient. Avec sa patience – affirme saint Paul – il nous « pousse à la conversion » (Rm 2, 4). J’aime rappeler Romano Guardini qui disait : la patience est une manière par laquelle Dieu répond à notre faiblesse pour nous donner le temps de changer (cf. Glaubenserkenntnis, Würzburg 1949, 28). Et surtout le Messie, Jésus, que Syméon serre dans ses bras, nous révèle la patience de Dieu, le Père qui utilise la miséricorde et qui nous appelle jusqu’à la dernière heure, qui n’exige pas la perfection mais l’élan du cœur, qui ouvre de nouvelles possibilités là où tout semble perdu, qui cherche à faire en nous une brèche, même lorsque notre cœur est fermé, qui laisse grandir le bon grain sans enlever l’ivraie. C’est le motif de notre espérance : Dieu nous attend sans jamais se lasser. Dieu nous attend sans jamais se lasser. Et c’est cela le motif de notre espérance.  Quand nous nous éloignons il vient nous chercher, quand nous tombons à terre il nous relève, quand nous retournons vers lui après nous être perdus il nous attend à bras ouverts. Son amour ne se mesure pas sur la balance de nos calculs humains, mais il nous donne toujours le courage de recommencer. Il nous enseigne la résilience, le courage de recommencer. Toujours, tous les jours. Après les chutes, toujours, recommencer. Il est patient.

Et regardons notre patience. Regardons la patience de Dieu et celle de Syméon pour notre vie consacrée. Et demandons-nous : qu’est-ce que la patience ? Certainement, elle n’est pas une simple tolérance des difficultés ou un support fataliste des adversités. La patience n’est pas un signe de faiblesse : elle est la force d’âme qui nous rend capables de “porter le poids”, de supporter : supporter le poids des problèmes personnels et communautaires, qui nous fait accueillir la diversité de l’autre, qui nous fait persévérer dans le bien même lorsque tout semble inutile, qui nous fait rester en chemin même quand l’ennui et l’acédie nous assaillent.

Je voudrais indiquer trois “lieux” où la patience se concrétise.

Le premier est notre vie personnelle. Un jour nous avons répondu à l’appel du Seigneur et, avec élan et générosité, nous nous sommes offerts à lui. Au long du chemin, avec les consolations, nous avons aussi reçu des déceptions et des frustrations. Parfois, le résultat souhaité ne correspond pas à l’enthousiasme de notre travail, nos semailles ne semblent pas produire les fruits attendus, la ferveur de la prière faiblit et nous ne sommes pas toujours immunisés contre l’aridité spirituelle. Il peut arriver, dans notre vie de consacrés, que l’espérance s’use à cause des attentes déçues. Nous devons être patients avec nous-mêmes et attendre avec confiance les temps et les manières de Dieu : il est fidèle à ses promesses. C’est la pierre de base : il est fidèle à ses promesses. Se rappeler de cela nous permet de repenser les parcours, de revigorer nos rêves, sans céder à la tristesse intérieure et au découragement. Frères et sœurs, la tristesse intérieure en nous consacrés est un vers, un vers qui nous mange de l’intérieur. Fuyez la tristesse intérieure !

Deuxième lieu où la patience se concrétise : la vie communautaire. Les relations humaines, spécialement quand il s’agit de partager un projet de vie et une activité apostolique, ne sont pas toujours pacifiques, nous le savons tous. Parfois naissent des conflits et on ne peut pas exiger une solution immédiate, on ne doit pas non plus juger hâtivement la personne ou la situation : il faut savoir prendre les bonnes distances, chercher à ne pas perdre la paix, attendre un temps meilleur pour s’expliquer dans la charité et dans la vérité. Ne pas se laisser troubler par les tempêtes. Dans la lecture du bréviaire il y a un beau passage – pour demain – un beau passage de Diadoque de Photice sur le discernement spirituel, et il dit ceci : « Quand la mer est agitée on ne voit pas les poissons, mais quand la mer est calme on peut les voir ». Nous ne pourrons jamais faire un bon discernement, voir la vérité, si notre cœur est agité et impatient. Jamais. Dans nos communautés cette patience réciproque est nécessaire : supporter, c’est-à-dire porter sur ses épaules la vie du frère ou de la sœur, même ses faiblesses et ses défauts.  Tous. Rappelons-nous cela : le Seigneur ne nous appelle pas à être solistes, – il y en a tant, dans l’Eglise, nous le savons -, non, il ne nous appelle pas à être des solistes, mais à faire partie d’un chœur, qui parfois détonne, mais doit toujours essayer de chanter ensemble.

Enfin, troisième “lieu”, la patience vis-à-vis du monde. Syméon et Anne cultivent dans leur cœur l’espérance annoncée par les prophètes, même si elle tarde à se réaliser et grandit lentement à l’intérieur des infidélités et des ruines du monde. Ils ne commencent pas à gémir pour les choses qui ne vont pas, mais avec patience ils attendent la lumière dans l’obscurité de l’histoire. Attendre la lumière dans l’obscurité de l’histoire. Attendre la lumière dans l’obscurité de sa propre communauté. Nous avons besoin de cette patience, pour ne pas rester prisonniers de la lamentation. Certains sont maitres en lamentations, sont docteurs en lamentations, sont très bons pour se lamenter ! Non, la lamentation emprisonne : “le monde ne nous écoute plus” – tant de fois nous entendons cela -, “nous n’avons plus de vocations”, nous devons fermer la baraque, “nous vivons des temps difficiles” – « ah, ne me le dites pas !… » Ainsi commence le duo des lamentations. Parfois il arrive qu’à la patience avec laquelle Dieu travaille le terrain de l’histoire, et travaille aussi le terrain de notre cœur, nous opposions l’impatience de celui qui juge tout, tout de suite : maintenant ou jamais, maintenant, maintenant, maintenant. Et ainsi nous perdons cette vertu, la « petite » mais la plus belle : l’espérance. J’ai vu tant de consacrés qui perdent l’espérance. Simplement par impatience.

La patience nous aide à nous regarder nous-mêmes, nos communautés et le monde avec miséricorde. Nous pouvons nous demander : accueillons-nous la patience de l’Esprit dans notre vie ? Dans nos communautés nous portons-nous les uns les autres sur les épaules et montrons-nous la joie de la vie fraternelle ? Et envers le monde, poursuivons-nous notre service avec patience ou jugeons-nous avec dureté ? Ce sont des défis pour notre vie consacrée : nous, nous ne pouvons pas rester immobiles dans la nostalgie du passé ou nous limiter à répéter les choses de toujours, ni dans les lamentations de chaque jour. Nous avons besoin de la patience courageuse de marcher, d’explorer de nouvelles routes, de chercher ce que l’Esprit Saint nous suggère. Et cela se fait avec humilité, avec simplicité, sans grande propagande, sans grande publicité.

Contemplons la patience de Dieu et implorons la patience confiante de Syméon et aussi d’Anne, pour que nos yeux aussi puissent voir la lumière du salut et la porter au monde entier, comme ces deux vieillard l’ont portée dans la louange.

Pape François, Homélie du 2 Février 2021, Source : https://www.vaticannews.va/

Notre Père

Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous  aujourd’hui  notre  pain  de  ce  jour.
Pardonne  nous  nos  offenses,  comme  nous  pardonnons  aussi  à  ceux qui nous ont offensé.
Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal.

Délivre-nous de tout mal, Seigneur. et donne la paix à notre temps: soutenus par ta miséricorde, nous serons libérés de tout péché, à l’abri de toute épreuve, nous qui attendons que se réalise cette bienheureuse espérance: l’avènement de Jésus Christ, notre Sauveur.

Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen !

Seigneur  Jésus-Christ,  tu  as  dit  à  tes  Apôtres  :  « Je  vous  laisse  la  paix,  je  vous  donne  ma  paix ». Ne  regarde  pas  nos  péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen !

Prière à Marie

Je vous salue, Marie, pleine de grâce(s) ;
Le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen

Prière à Joseph

Je te salue Joseph, toi que la grâce divine a comblée.
Le Sauveur a reposé dans tes bras et grandi sous tes yeux.
Tu es béni entre tous les hommes, et Jésus, l’Enfant divin de ta virginale épouse est béni.
Saint Joseph donné pour père au Fils de Dieu,
prie pour nous dans nos soucis de famille, de santé et de travail jusqu’à nos derniers jours
et daigne nous secourir à l’heure de notre mort.
Amen.

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