Entrons simplement dans le regard de Jésus !

Bonjour les amis,

Aujourd’hui, nous vous proposons cette belle méditation de l’Abbé Link qui dit très bien ce que nous avons sur le cœur par rapport aux textes de ce dimanche.
Que retenir de ces deux femmes que la liturgie de la Parole de ce dimanche nous donne à contempler ? Que ceux qui ont les moyens de donner le fassent en conséquence, c’est bien mais n’est-ce pas normal ?
Que ceux qui n’ont plus rien, comme ces deux femmes, donnent tout, c’est mieux, c’est beau aux yeux de Dieu. J’aurais beau distribuer mes biens aux pauvres, dit Paul, si je n’ai pas la charité, cela ne sert à rien (1 Co 13,3). Mes richesses, aussi importantes soient-elles, ne changeront pas le monde. Dieu attend plus. Mais si c’est ma foi, mon espérance et ma charité que je partage, alors oui, le monde pourra changer.
Ces deux veuves sont pauvres matériellement mais elles sont riches, riches de leur foi en Dieu qui ne les abandonnera pas, riches de leur espérance que, de leur rien, Dieu fera jaillir tout, riches de leur amour qui est pur et gratuit, comme un parfum répandu avec amour. Dieu recherche plus que des riches qui veulent bien partager leur avoir. Dieu recherche des pauvres, des vrais pauvres, humbles et discrets, qui veulent bien partager leur foi, leur espérance et leur charité au monde. Souvenons-nous de Pierre au lendemain de la Pentecôte, à la belle porte du Temple, disant au paralysé : De l’argent et de l’or, je n’en ai pas, mais ce que j’ai, je te le donne : au nom de Jésus-Christ le Nazaréen, marche ! (Ac 3,6). Et voilà l’homme qui se met à marcher.
Comme la face du monde serait transfigurée si c’était nous-mêmes que nous offrions aux affamés et aux assoiffés de notre temps. Dieu n’a que faire de notre or. C’est le trésor de notre cœur qu’Il désire posséder (cf. Mt. 6,21). Jésus nous montre la beauté de la pauvreté qui est vécue à la lumière de l’Évangile. Non pas une pauvreté agressive qui cherche sans cesse à revendiquer et à soutirer de l’argent à qui en a. Mais plutôt une pauvreté humble et aimante qui est expérience que Dieu est tout. Quand l’amour est vrai, il donne tout. Quand la foi est vive, elle risque tout. La pauvreté nous permet d’être en vérité devant Dieu. Or, être devant Dieu est plus important que de paraître devant les hommes. Ces femmes ne le savaient pas mais elles annonçaient – avec quelle lumière ! – le sacrifice parfait accompli une fois pour toutes (He 9,26) par Celui dont elles ignoraient même la venue.
Jésus a été bouleversé devant la pauvre veuve du temple car Il s’est reconnu en elle. Tu m’as façonné un corps, alors j’ai dit : voici, je viens, pour faire ô Dieu, ta volonté (He 10,5-7). Jésus vient faire l’offrande au Père non seulement de tout ce qu’Il a, mais plus encore de tout ce qu’Il est. Pour quelques piécettes de monnaie, quelque trente sicles d’argent seulement (cf Mt. 27,3), qui seront ensuite rejetées par Judas dans le sanctuaire, Jésus sera livré, dépouillé de tout pour nous sauver et nous enrichir à l’infini. Lui, de riche qu’Il était, Il s’est fait pauvre pour nous enrichir de Sa pauvreté (2 Co 8,9). Tout ce qu’Il avait de ce rang qui L’égalait à Dieu, Il nous l’a donné (Ph 2,6). Et nous sommes devenus participants de Sa divinité. Il a fait de nous un temple saint (Ep 2, 21-22). Le trésor de ce temple nouveau, il est dans notre cœur, et c’est Jésus Lui-même.
Cherchons donc cet unique trésor et enrichissons-le par les piécettes de notre prière et notre amour. Partageons ce trésor autour de nous. Soyons les vrais pauvres que Dieu envoie dans le monde semer la Bonne Nouvelle.
Vierge Marie, veuve glorieuse, toi qui as vécu un jour, à ton tour, l’offrande ultime de Jésus ton enfant à l’heure où Il a versé tout Son Sang, apprends-nous à offrir nous aussi ce que nous avons de plus précieux pour vivre, les deux piécettes de notre liberté et de notre amour. Afin qu’en perdant notre vie pour nos frères et pour Dieu, nous puissions à jamais la retrouver, avec eux, auprès du Père.
Source : https://www.alsace.catholique.fr/vie-chretienne/prier/homelies-abbe-link/

Pour finir ce moment, Seigneur Jésus, nous voulons nous placer sous ton regard aujourd’hui. Tu nous connais mieux que nous nous connaissons nous-mêmes. Aide-nous à voir qui nous sommes en vérité avec nos forces mais aussi nos faiblesses et nos limites. Aide-nous à nous accepter tel que nous sommes, imparfaits. Que ton regard sur nous puisse nous libérer de la peur du regard des autres, de ce désir de paraître et de plaire. Que nous puissions apprendre à regarder les autres avec plus de justesse et de charité sans les juger sur leur apparence. Aide-nous à regarder dans notre église d’abord les personnes isolées, discrètes, mal habillées, et à aller vers elles pour leur parler et leur montrer qu’elles existent, et qu’aussi humbles soient elles leur témoigner qu’elles ont de la valeur. Que le vrai trésor de notre cœur soit notre foi et notre confiance en toi. Que notre cœur ressemble chaque jour un peu plus au tien, comme celui de cette pauvre veuve, un cœur à la fois humble et généreux. Que nous puissions comprendre qu’à notre époque, un de nos grands trésors pour notre Eglise est le temps ; ce qui est rare a d’autant plus de valeur, alors que nous acceptions de donner un peu de ce temps, d’en donner un peu plus, non par obligation mais juste pour entrer dans ta logique d’amour, pour que notre Eglise continue à assurer dans chaque village, chaque clocher toutes ses missions d’évangélisation et de charité. En entrant dans cette logique du don, nous pourrons comprendre la valeur du don du Père pour nous. Amen

Belle prière à tous,
Nathalie et Pascal

CHANT

Onction d’amour

D’une onction d’amour Tu parfumes ma tête
D’une onction de joie du Roi des rois déversée sur moi
Que Ton Saint-Esprit inonde tout mon être
D’une onction de joie du Roi des rois déversée sur moi

PREMIERE LECTURE

« Avec sa farine la veuve fit une petite galette et l’apporta à Élie » (1 R 17, 10-16)

Lecture du premier livre des Rois

En ces jours-là,
    le prophète Élie partit pour Sarepta,
et il parvint à l’entrée de la ville.
Une veuve ramassait du bois ;
il l’appela et lui dit :
« Veux-tu me puiser, avec ta cruche,
un peu d’eau pour que je boive ? »
    Elle alla en puiser.
Il lui dit encore :
« Apporte-moi aussi un morceau de pain. »
    Elle répondit :
« Je le jure par la vie du Seigneur ton Dieu :
je n’ai pas de pain.
J’ai seulement, dans une jarre, une poignée de farine,
et un peu d’huile dans un vase.
Je ramasse deux morceaux de bois,
je rentre préparer pour moi et pour mon fils ce qui nous reste.
Nous le mangerons,
et puis nous mourrons. »
    Élie lui dit alors :
« N’aie pas peur, va, fais ce que tu as dit.
Mais d’abord cuis-moi une petite galette et apporte-la moi ;
ensuite tu en feras pour toi et ton fils.
    Car ainsi parle le Seigneur, Dieu d’Israël :
Jarre de farine point ne s’épuisera,
vase d’huile point ne se videra,
jusqu’au jour où le Seigneur
donnera la pluie pour arroser la terre. »
    La femme alla faire ce qu’Élie lui avait demandé,
et pendant longtemps, le prophète, elle-même et son fils
eurent à manger.
    Et la jarre de farine ne s’épuisa pas,
et le vase d’huile ne se vida pas,
ainsi que le Seigneur l’avait annoncé par l’intermédiaire d’Élie.

Parole du Seigneur.

EVANGILE

« Cette pauvre veuve a mis plus que tous les autres » (Mc 12, 38-44)

Évangile de Jésus Christ selon Saint Marc

En ce temps-là,
    dans son enseignement, Jésus disait aux foules :
« Méfiez-vous des scribes,
qui tiennent à se promener en vêtements d’apparat
et qui aiment les salutations sur les places publiques,
    les sièges d’honneur dans les synagogues,
et les places d’honneur dans les dîners.
    Ils dévorent les biens des veuves
et, pour l’apparence, ils font de longues prières :
ils seront d’autant plus sévèrement jugés. »
    Jésus s’était assis dans le Temple en face de la salle du trésor,
et regardait comment la foule y mettait de l’argent.
Beaucoup de riches y mettaient de grosses sommes.
    Une pauvre veuve s’avança
et mit deux petites pièces de monnaie.
    Jésus appela ses disciples et leur déclara :
« Amen, je vous le dis :
cette pauvre veuve a mis dans le Trésor
plus que tous les autres.
    Car tous, ils ont pris sur leur superflu,
mais elle, elle a pris sur son indigence :
elle a mis tout ce qu’elle possédait,
tout ce qu’elle avait pour vivre. »

– Acclamons la Parole de Dieu : Louange à toi, Seigneur Jésus !

Homélie du Père Maximin Noudehou sur la première lecture

« En ces jours-là, le prophète Élie partit pour Sarepta, et il parvint à l’entrée de la ville. »
À cause de la grande sécheresse, sur ordre du Seigneur, le prophète Élie s’est éloigné d’Israël. Lui et son Dieu ont été rejetés par Israël. Son éloignement exprime ce rejet. Mais le Seigneur ne s’est pas éloigné de son Peuple. La sécheresse rappelle, paradoxalement, à Israël que Dieu est toujours avec lui et agit. Il manifeste à Israël les conséquences de son péché. C’est une renonciation à la vie ! Mais personne ne peut limiter Dieu dans son œuvre. Il décide de poursuivre son œuvre en dehors d’Israël. Le choix de Sarepta est aussi un signe de la Miséricorde de Dieu. Car Sarepta est une ville de Sidon, le pays de la reine Jesabel, (Cf. 1 Rois 16, 31), celle-là même dont l’idolâtrie et la méchanceté sont en train de perdre le roi Achab et son peuple Israël. Dieu choisit d’agir en faveur d’une femme de ce pays.
Le Seigneur n’est pas un Dieu de vengeance. Comme Saint Paul nous l’a révélé dans sa lettre aux Romains, le temps de la désobéissance d’Israël a été un temps de miséricorde pour les nations. (Cf. Romains 11, 25.30) En envoyant Élie à Sarepta, Dieu manifestait l’universalité et sa Puissance miséricordieuse.
À tous, Dieu veut faire miséricorde.
Aujourd’hui encore, vas-tu laisser le prophète partir à Sarepta ?

« Une veuve ramassait du bois ; il l’appela et lui dit : « Veux-tu me puiser, avec ta cruche, un peu d’eau pour que je boive ? » Elle alla en puiser. »
Élie sollicita la disponibilité de la veuve. Elle accepta de rendre service à cet étranger. Elle se laissa distraire de ses préoccupations personnelles. Elle se montra capable de sollicitude. Elle, elle ramassait du bois pour un dernier repas et elle découvrit qu’à un autre manquait le plus élémentaire : l’eau. La sécheresse dont le pays était victime n’avait pas asséché son cœur.
Quelle que soit la situation de détresse ou de souffrance dans laquelle nous nous trouvons, il nous est toujours loisible de voler au secours des autres. L’eau étant un symbole de la vie, en donnant de l’eau, la veuve acceptait d’entretenir la vie. Nous découvrons ainsi qu’à chacun de nous, Dieu a confié la cruche d’eau dont l’autre a besoin pour vivre.
Toute vie a une fécondité.
Que fais-tu de ta cruche ?

« N’aie pas peur, va, fais ce que tu as dit. Mais d’abord cuis-moi une petite galette et apporte-la moi ; ensuite tu en feras pour toi et ton fils. »
Élie semble en demander trop. Après l’eau, il a demandé le pain. Comme l’a expliqué la veuve, lui demander du pain, c’est lui demander sa vie et celle de son enfant. Élie lui fit comprendre qu’il ne lui réclamait pas sa vie et celle de son enfant. Elles ne sont effectivement pas en son pouvoir. Il lui demandait plus ! Si elle avait déjà compris qu’elle ne détenait pas sa vie ni celle de son enfant (car leur vie est entre les mains de Dieu), elle n’avait pas encore réalisé que quelque chose de plus précieux lui appartenait encore et qu’elle seule pouvait donner. Élie l’appelait à renoncer à la résignation, à la fatalité, au désespoir. Il lui était demandé d’oser la confiance, de donner son cœur. Il lui était demandé d’accepter d’être objet de l’attention d’un Dieu qu’elle ne connaissait pas encore mais qui la connaît et l’aime. Elle est appelée à entrer dans une aventure de générosité totale. Elle fit confiance au Dieu d’un étranger qui n’avait même pas de quoi prendre de l’eau pour lui-même. Un acte de foi extrême ! « Et la jarre de farine ne s’épuisa pas, et le vase d’huile ne se vida pas, ainsi que le Seigneur l’avait annoncé par l’intermédiaire d’Élie. »
Quoi qu’il advienne, tous, nous avons un cœur à offrir, une confiance à donner. Cette richesse, la dernière et la plus importante ne peut jamais nous être arrachée. Elle est en notre pouvoir et il nous revient d’en disposer. Tout le reste nous est extérieur. Mais ce que Dieu nous a donné de plus intime, c’est cela qu’Il nous demande. Ce qui a provoqué la sécheresse, c’est ce refus d’offrir son cœur à Dieu dans une confiance totale. Le Seigneur nous demande de ne rien laisser assécher notre cœur. Notre cœur est un oasis dans nos déserts. Et tant que nous sommes disposés à donner cet essentiel, que vienne la sécheresse, elle ne nous emportera pas.
La foi et la charité vivifient.
Es-tu prêt(e) à cuire la petite galette de l’espérance ?

Seigneur, viens au secours de mon manque de foi.

Paroles du Pape François

Le Pape dénonce les tentations de la vanité et de l’hypocrisie

Lors de la prière de l’Angélus de ce dimanche 7 novembre, le Pape François est revenu sur l’extrait de l’Évangile de saint Marc lu dans la liturgie de ce jour, dans lequel Jésus observe le contraste entre l’attitude des scribes, au Temple de Jérusalem, et l’humilité de la veuve qui offre le peu qu’elle a en offrande.
«Jésus observe ce qui se passe dans le lieu le plus saint de tous et voit comment les scribes aiment se comporter pour être remarqués, salués et vénérés, et pour avoir des places d’honneur», a commenté le Pape. À l’inverse de ces attitudes ostentatoires, «une pauvre veuve, précisément une de celles qui sont exploitées par les puissants, jette dans le trésor du Temple « tout ce qu’elle avait pour vivre »» (v. 44).
«L’Évangile nous présente ce contraste saisissant: les riches, qui donnent leur surplus pour être vus, et une pauvre femme qui, sans en avoir l’air, offre tout le peu qu’elle a.» Ce sont «deux symboles des comportements humains». En regardant ces deux attitudes, il faut donc savoir se situer en vérité.

Combattre l’hypocrisie

«Tout d’abord, méfiez-vous des hypocrites, c’est-à-dire veillez à ne pas fonder votre vie sur le culte de l’apparence, de l’extériorité, sur le soin exagéré de votre propre image. Et, surtout, veiller à ne pas plier la foi à nos propres intérêts. Ces scribes ont couvert, sous le nom de Dieu, leur propre vanité et, pire encore, ont utilisé la religion pour s’occuper de leurs affaires, abusant de leur autorité et exploitant les pauvres. C’est un avertissement pour tous les temps et pour tous, Eglise et société : ne profitez jamais de votre rôle pour écraser les autres, ne vous enrichissez jamais sur la peau des plus faibles!», a averti le Pape avec fermeté, dénonçant une nouvelle fois le cléricalisme qui écrase les plus humbles, encore aujourd’hui, en de nombreux endroits.
«Méfions-nous des faussetés du cœur, de l’hypocrisie, qui est une maladie dangereuse de l’âme!», a exhorté le Pape. Il est important de «libérer le sacré de ses liens avec l’argent», a insisté le Pape.

La veuve, un modèle d’humilité

Au contraire, la veuve «n’a plus rien, mais elle trouve son tout en Dieu. Elle n’a pas peur de perdre le peu qu’elle a, car elle a confiance en l’abondance de Dieu, qui multiplie la joie de ceux qui donnent», a expliqué le Pape.
«Elle ne va pas au Temple pour se donner bonne conscience, elle ne prie pas pour être vue, elle ne fait pas étalage de sa foi, mais elle donne du cœur, avec générosité et gratuité. une foi sans fioritures extérieures, mais sincère à l’intérieur ; une foi faite d’un humble amour pour Dieu et pour nos frères et sœurs», a conclu François, avant d’inviter les fidèles à se tourner «vers la Vierge Marie, qui, avec un cœur humble et transparent, a fait de toute sa vie un don pour Dieu et pour son peuple».

Pape François, Angélus, 07 Novembre 2021, Source : https://www.vaticannews.va/

Notre Père

Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous  aujourd’hui  notre  pain  de  ce  jour.
Pardonne  nous  nos  offenses,  comme  nous  pardonnons  aussi  à  ceux qui nous ont offensé.
Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal.

Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Par ta miséricorde, libère-nous du péché, rassure-nous devant  les  épreuves  en  cette  vie  où  nous  espérons  le  bonheur  que  tu  promets  et  l’avènement  de  Jésus  le Christ,  notre  Sauveur.

Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen !

Seigneur  Jésus-Christ,  tu  as  dit  à  tes  Apôtres  :  « Je  vous  laisse  la  paix,  je  vous  donne  ma  paix ». Ne  regarde  pas  nos  péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen !

Prière à Marie

Je vous salue, Marie, pleine de grâce(s) ;
Le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen

Prière à Joseph

Je te salue Joseph,
Toi que la grâce divine a comblée.
Le Seigneur a reposé dans tes bras,
Le Sauveur a grandi sous tes yeux.

Je te salue Joseph,
Entre tous les hommes Tu es béni,
Jésus, l’Enfant divin de Marie,
ta virginale épouse, est béni.

Saint Joseph donné pour père au Fils de Dieu,
Saint Joseph ô prie pour nous
dans nos soucis de la vie,
pour nos famille, notre santé, notre travail.

Saint Joseph, prie pour nous
Jusquà nos derniers jours
Saint Joseph, prie pour nous
à l’heure de notre mort.
Amen, amen, amen

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