Seigneur, rebâtis ton Eglise

Bonjour les amis,

 » Prends pitié de moi, Seigneur, toi que j’appelle chaque jour. Seigneur, réjouis ton serviteur : vers toi, j’élève mon âme ! Toi qui es bon et qui pardonnes, plein d’amour pour tous ceux qui t’appellent, écoute ma prière, Seigneur, entends ma voix qui te supplie.  » (Ps 85 (86))

Hier, avec Marthe et Marie nous avions appris à enraciner toute notre vie dans la prière, dans la relation intime et personnelle avec Jésus. Aujourd’hui, Jésus nous donne des indications plus précises pour vivre la relation avec Lui et pour se tourner vers le Père, avec la prière du Notre Père, pour laisser les mots de Jésus pénétrer en nous, nous imprégner et ressortir de notre bouche pour atteindre le cœur du Père, pour prier en accueillant en nous les mots que nous disons, pour vivre un moment de communion profonde avec Jésus en étant, en vérité, avec Lui tourné vers le Père, comme des fils et filles de Dieu.
Comme nous le disait ce matin le Père Sébastien Antoni sur RCF en lien avec le rapport CIASE : « Il ne suffit pas d’avoir les bons mots aux lèvres pour être crédible. Les formules des prières ne suffisent pas pour faire de celui qui les prononce un priant, honnête. Dire les mots du Notre Père ne garantit pas l’identité de fils, de fille de celui ou de celle qui les utilisent pour s’adresser à Dieu. Derrière des mots de feu, réduits à un vernis, se sont cachés des monstres. « Que ton Règne vienne, sur la terre comme au ciel, pardonne…. »  Ils avaient les mots, les mots justes, ils les répétaient à qui mieux mieux matin midi ou soir, seuls ou à la messe, les commentaient parfois avec un grand talent, les enseignaient sans doute avec beaucoup de persuasion aux grands comme aux petits qui se sont pressés auprès d’eux, avec la même confiance que celle des disciples de l’Evangile de ce jour qui suppliaient Jésus de leur apprendre à prier. Ces prêtres, ces centaines d’hommes de Dieu démasqués… Qu’ont-ils fait de cette confiance ? Qu’ont-ils fait des mots les plus précieux de Dieu ? Comble de l’atroce, tout en apprenant les mots de la prière de Jésus, ces mercenaires en ont profité pour tendre un piège sordide à des chercheurs de Dieu assoiffés de paix et d’amour. Ils ont attiré des innocents, les enfants, dans les sacristies, les écoles, les camps scouts, les confessionnaux… comme on le fait d’un gibier que l’on chasse et à qui on ne laisse aucune chance. Imposteurs jusqu’au bout de l’horreur, ces prêtres se sont servi des mots de Dieu pour anéantir l’innocence de centaines de petits. Pire encore, ces assassins de l’innocence ont été parfois protégés au nom d’une réputation à préserver… Mais la vérité se défend tout seul… comme l’écrit dans son Evangile saint Luc et que nous lirons la semaine prochaine :  « Tout ce qui est couvert d’un voile sera dévoilé, tout ce qui est caché sera connu. Aussi tout ce que vous aurez dit dans les ténèbres sera entendu en pleine lumière, ce que vous aurez dit à l’oreille dans le fond de la maison sera proclamé sur les toits. » Rien n’arrête la vérité… quelles que soient les oppositions, les manigances, les mensonges ou la relativisation des faits. Rien n’arrête la vérité… C’est le temps de la vérité. Et c’est aujourd’hui le temps de la vérité et avec elle, le temps de la consolation. Personne ne pourra dire « je ne savais pas ». Fils d’un même Père pour qui les mots de la prière de Jésus sont la raison d‘être, venez, à l’invitation du texte du Bon Samaritain que nous lisions lundi, venez, levez-vous les samaritains du monde pour relever, soigner, aider, aimer, prier pour ceux que des brigands de la grâce ont jeté à terre, les laissant pour morts. Levez-vous pour répondre et réparer autant que ce soit possible par la consolation et la tendresse, les blessures que des responsables et des rigoureux de la Loi ont ignoré en tournant leur tête à la détresse de ces personnes abusées. Soyons les fils et les filles de ce Père qui ne peut supporter qu’un seul de Ses enfants ne souffre et dont nous serons les véritables enfants qu’en l’imitant concrètement. Notre Père, oui, mais la vie avant les mots. »

« L’Église marche depuis deux mille ans.  Et elle marche telle qu’elle est, sans recourir à des chirurgies esthétiques. Elle ne craint pas de montrer les péchés de ses membres, que certains d’entre eux tentent parfois de dissimuler, à la lumière brûlante de la Parole de l’Evangile qui lave et purifie. Elle ne se lasse pas non plus de réciter chaque jour, honteuse : « Pitié pour moi, Dieu, en ta bonté, en ta grande tendresse. Ma faute est devant moi sans relâche » (Ps 51, 3.5). Mais souvenons-nous qu’on n’abandonne pas une Mère lorsqu’elle est blessée, mais on l’accompagne pour qu’elle trouve en elle toute sa force et sa capacité de toujours recommencer », écrit le Pape François dans Christus Vivit. Les abus commis dans l’Église sont un drame et un scandale qui invitent à la prière pour toutes les personnes victimes, et pour la conversion profonde de l’Eglise : évêques, prêtres, et laïcs. Une conversion que les chrétiens sont invités à accompagner de leurs prières en s’unissant aux autres priants via le site hozana.org Une prière proposée tout au long du mois d’octobre pour les victimes, les prêtres, l’Église, et pour que ce temps porte des fruits de conversion et de miséricorde.

Seigneur, avec l’Église de France, nous sommes sous le choc face à l’ampleur des abus commis pendant tant d’années par des prêtres et des laïcs.
Nous te confions toutes les personnes qui ont été victimes de violence et d’agressions sexuelles au sein de l’Église. Viens panser les blessures, viens guérir les cœurs, viens rebâtir les personnes abîmées. Que dans les épreuves qu’elles traversent, elles puissent toujours s’appuyer sur Toi et sentir ta présence à leurs côtés. Qu’elles puissent aussi compter sur notre écoute véritable et notre soutien fraternel.
Qu’à l’image de ton Fils, nous apprenions à prendre mieux soin des plus petits et des plus fragiles Que, par le souffle de ton Esprit Saint, nous nous laissions tous transformer en profondeur pour vivre les conversions auxquelles tu nous appelles pour faire de notre Eglise une « maison plus sûre ». Donne-nous ton Esprit d’humilité pour traverser ces épreuves dans l’espérance. Avec notre engagement humble et déterminé, viens et rebâtis ton Église. Amen. https://hozana.org/communaute/10315-sauve-ciase-rebatis-mon-eglise

Pour en savoir plus sur le rapport CIASE : https://eglise.catholique.fr/sengager-dans-la-societe/lutter-contre-pedophilie/lutte-contre-la-pedophilie-accueil-du-rapport-de-la-commission-independante-sur-les-abus-sexuels-dans-leglise-ciase/

Belle prière à tous,
Nathalie et Pascal

Source d’inspiration : Méditation de ce matin sur RCF.org, https://app.decouvrir-dieu.com/newsletter/

CHANT

Notre Père

Que l’Esprit de vérité Vienne sur nous maintenant
Pour que nous puissions te ressembler Et savoir prier.

Notre Père qui es aux cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne. Amen.

Que ton règne vienne, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite Dans nos vies.

Notre Père qui es aux cieux, Que ton nom soit sanctifié, Donne-nous aujourd’hui Le pain qui nourrit.

Oh pardonne-nous. Oh pardonne-nous, Et à ceux qui nous offensent, Nous pardonnons.

Notre Père qui es aux cieux, Que ton nom soit sanctifié, Délivre-nous du mal, Garde-nous d’être tentés.

À toi seul le règne, À toi seul le règne, À toi la puissance, La gloire, aux siècles des siècles. Amen.

PREMIERE LECTURE

« Toi, tu as pitié de ce ricin. Et moi, comment n’aurais-je pas pitié de Ninive, la grande ville ? » (Jon 4, 1-11)

Lecture du livre du prophète Jonas

Quand il vit que Dieu pardonnait aux habitants de Ninive,
Jonas trouva la chose très mauvaise et se mit en colère.
Il fit cette prière au Seigneur :
« Ah ! Seigneur, je l’avais bien dit
lorsque j’étais encore dans mon pays !
C’est pour cela que je m’étais d’abord enfui à Tarsis.
Je savais bien que tu es un Dieu tendre et miséricordieux,
lent à la colère et plein d’amour,
renonçant au châtiment.
Eh bien, Seigneur, prends ma vie ;
mieux vaut pour moi mourir que vivre. »
Le Seigneur lui dit :
« As-tu vraiment raison de te mettre en colère ? »
Jonas sortit de Ninive et s’assit à l’est de la ville.
Là, il fit une hutte et s’assit dessous, à l’ombre,
pour voir ce qui allait arriver dans la ville.
Le Seigneur Dieu donna l’ordre à un arbuste, un ricin,
de pousser au-dessus de Jonas
pour donner de l’ombre à sa tête
et le délivrer ainsi de sa mauvaise humeur.
Jonas se réjouit d’une grande joie à cause du ricin.
Mais le lendemain, à l’aube,
Dieu donna l’ordre à un ver de piquer le ricin,
et celui-ci se dessécha.
Au lever du soleil,
Dieu donna l’ordre au vent d’est de brûler ;
Jonas fut frappé d’insolation.
Se sentant défaillir, il demanda la mort et ajouta :
« Mieux vaut pour moi mourir que vivre. »
Dieu dit à Jonas :
« As-tu vraiment raison de te mettre en colère
au sujet de ce ricin ? »
Il répondit :
« Oui, j’ai bien raison de me mettre en colère
jusqu’à souhaiter la mort. »
Le Seigneur répliqua :
« Toi, tu as pitié de ce ricin,
qui ne t’a coûté aucun travail
et que tu n’as pas fait grandir,
qui a poussé en une nuit,
et en une nuit a disparu.
Et moi, comment n’aurais-je pas pitié de Ninive, la grande ville,
où, sans compter une foule d’animaux,
il y a plus de cent vingt mille êtres humains
qui ne distinguent pas encore leur droite de leur gauche ? »

Parole du Seigneur.

EVANGILE

« Seigneur, apprends-nous à prier » (Lc 11, 1-4)

Évangile de Jésus Christ selon Saint Luc

Il arriva que Jésus, en un certain lieu, était en prière.
Quand il eut terminé,
un de ses disciples lui demanda :
« Seigneur, apprends-nous à prier,
comme Jean le Baptiste, lui aussi, l’a appris à ses disciples. »
Il leur répondit :
« Quand vous priez, dites :
“Père,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne.
Donne-nous le pain
dont nous avons besoin pour chaque jour
Pardonne-nous nos péchés,
car nous-mêmes, nous pardonnons aussi
à tous ceux qui ont des torts envers nous.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation.” »

– Acclamons la Parole de Dieu : Louange à toi, Seigneur Jésus !

Homélie du Père Maximin Noudehou sur la première lecture

« Quand il vit que Dieu pardonnait aux habitants de Ninive, Jonas trouva la chose très mauvaise et se mit en colère. »
Jonas révèle enfin son cœur ; il donne les raisons de sa fuite. Il ne voulait pas avoir à annoncer un châtiment qui n’adviendrait pas. La Bonté miséricordieuse de Dieu lui est inadmissible. La célérité qui a caractérisé son annonce pourrait relever alors d’une attitude expéditive avec l’espoir que son message n’ait point d’impact. Et voilà qu’il n’en est pas comme il le désire. Il préfère mourir que de voir cette Bonté du Seigneur.
Il nous arrive d’entendre des croyants affirmer avec amertume qu’ils regrettent que Dieu ait changé, qu’Il ne soit plus le Dieu de l’Ancien Testament ou, du moins, qu’Il ne corresponde plus la perception qu’ils en ont : un Dieu qui serait méchant, vengeur, expéditif, dont la violence et les règlements de compte inspireraient la terreur et semerait la désolation. Ces personnes semblent ignorer que Dieu est le même hier aujourd’hui et toujours : sa Miséricorde s’étend à tous. Nous n’entendrions pas que ceux qui, à nos yeux, sont mauvais obtiennent miséricorde. Alors que la conversion d’un pécheur fait la joie du Ciel (cf. Luc 15), certaines provoqueraient notre indignation et notre réprobation. Dieu ne peut se compromettre avec des criminels… Nous voulons un Dieu rancunier, partial, impitoyable, tyrannique, bref, à notre image. Notre délectation serait dans la vengeance et l’asservissement. Dans bien des cas, nous aurions peut-être voulu que Dieu ne soit Bon que pour nous. Nous voudrions Le voir semer la mort. Nous exigeons qu’Il exécute les sentences de nos jugements.
La Bonté de Dieu n’est point une faiblesse.
Quelle conception as-tu de la Miséricorde de Dieu et de sa Patience ?

« Le Seigneur lui dit : « As-tu vraiment raison de te mettre en colère ? » Jonas sortit de Ninive et s’assit à l’est de la ville. Là, il fit une hutte et s’assit dessous, à l’ombre, pour voir ce qui allait arriver dans la ville. »
Alors que Dieu invitait Jonas au discernement, lui, il pensait que le châtiment de Ninive n’était différé qu’en apparence. Hors de la ville, il attendait alors de savourer la réalisation de sa prophétie. Dieu prit soin de lui. Il lui redonna la joie de vivre alors qu’il réclamait la mort. Mais, Jonas n’exprima aucune reconnaissance. Il ne prêta aucune attention à Dieu.
Face à notre égoïsme, et notre suffisance, face à notre incohérence et notre ingratitude, face à notre pseudo-foi et notre manque de discernement, Dieu prend patience. Nous considérons parfois, à tort bien sûr, que la grâce nous est due. Dieu semble n’exister que quand tout ne va pas selon notre bon vouloir. Il est notre bouc-émissaire. Alors que sa sollicitude à notre égard est de tout instant.
Le véritable miracle de Dieu, c’est qu’Il espère toujours en nous.
Quelle conception as-tu de la Miséricorde de Dieu et de sa Patience ?

« Et moi, comment n’aurais-je pas pitié de Ninive, la grande ville, où, sans compter une foule d’animaux, il y a plus de cent vingt mille êtres humains qui ne distinguent pas encore leur droite de leur gauche ? »
Jonas n’a même pas remarqué que le ricin avait désseché. Il était obnubilé par sa soif de malheur. Tout se limitait à lui. Il se considérait comme la mesure de toute chose. Aussi, Dieu l’atteignit à nouveau dans sa chair pour le sortir de lui-même : « Au lever du soleil, Dieu donna l’ordre au vent d’est de brûler ; Jonas fut frappé d’insolation. » Mais Jonas demeura dans son obstination. Il se refusa à écouter Dieu et à lire les signes des temps. Mis à l’épreuve, il réclama, à nouveau, la mort. Pour lui, la vie se limite à son bien-être personnel. C’est alors que Dieu, épousant sa logique, lui fit prendre conscience de son incohérence et lui révèla la Bonté de son Cœur.
Nous sommes les Jonas de notre temps. Son histoire n’est qu’un miroir de nos histoires. Et Dieu continue de nous interroger sur les motivations profondes de notre dureté de cœur. Il vient affronter et vaincre notre manque de discernement. Il continue de s’abaisser jusqu’à nous et de se mettre à notre écoute afin que nous ouvrions nos cœurs à sa Parole et Le laissions nous élever dans son Amour. Nos petites misères quotidiennes sont des signaux de l’Amour divin. Quand nous ne désirons que le malheur du prochain, il arrive que Dieu nous laisse ressentir la morsure du mal. Il essaie de nous fait comprendre que toute vie a du prix à ses yeux, que chaque vie Lui coûte son Amour, sa Vie.
La Justice divine n’est pas aveugle.
Quelle conception as-tu de la Miséricorde de Dieu et de sa Patience ?

Seigneur Dieu tout-puissant, délivre-moi de mon égoïsme et fais-moi accueillir l’universalité de ton Amour.

Paroles du Pape François

Dans la prière du Seigneur, dans le « Notre Père », nous demandons le pain quotidien, dans lequel nous voyons une référence particulière au pain eucharistique, dont nous avons besoin pour vivre en tant qu’enfants de Dieu. Nous demandons également la remise de nos dettes, et, pour être dignes de recevoir le pardon de Dieu, nous nous engageons à pardonner à ceux qui nous ont offensés. Et ce n’est pas facile. Pardonner à ceux qui nous ont offensés n’est pas facile ; c’est une grâce que nous devons demander: «Seigneur, apprends-moi à pardonner comme tu m’as pardonné». C’est une grâce.

Pape François, Audience générale, 14 mars 2018, Source : https://www.vaticannews.va/

Notre Père

Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous  aujourd’hui  notre  pain  de  ce  jour.
Pardonne  nous  nos  offenses,  comme  nous  pardonnons  aussi  à  ceux qui nous ont offensé.
Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal.

Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Par ta miséricorde, libère-nous du péché, rassure-nous devant  les  épreuves  en  cette  vie  où  nous  espérons  le  bonheur  que  tu  promets  et  l’avènement  de  Jésus  le Christ,  notre  Sauveur.

Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen !

Seigneur  Jésus-Christ,  tu  as  dit  à  tes  Apôtres  :  « Je  vous  laisse  la  paix,  je  vous  donne  ma  paix ». Ne  regarde  pas  nos  péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen !

Prière à Marie

Je vous salue, Marie, pleine de grâce(s) ;
Le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen

Prière à Joseph

Je te salue Joseph,
Toi que la grâce divine a comblée.
Le Seigneur a reposé dans tes bras,
Le Sauveur a grandi sous tes yeux.

Je te salue Joseph,
Entre tous les hommes Tu es béni,
Jésus, l’Enfant divin de Marie,
ta virginale épouse, est béni.

Saint Joseph donné pour père au Fils de Dieu,
Saint Joseph ô prie pour nous
dans nos soucis de la vie,
pour nos famille, notre santé, notre travail.

Saint Joseph, prie pour nous
Jusquà nos derniers jours
Saint Joseph, prie pour nous
à l’heure de notre mort.
Amen, amen, amen

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