Donne-nous d’accueillir le Royaume de Dieu comme des enfants

Bonjour les amis,

L’évangile du jour nous propose de méditer sur la question sur l’indissolubilité du mariage et l’accueil des enfants. Quel point commun entre les deux ? Les enfants de l’Evangile du jour ne se posent naturellement pas la question de la répudiation et ils accueillent simplement la vie qui leur est donnée et la bénédiction qu’ils reçoivent gratuitement de Jésus. Ils ne demandent rien mais pour la leur donner, Jésus a dû lui-même écarter les disciples. Les enfants ne contrôlent rien. Les adultes, eux, aimeraient bien tout contrôler comme les pharisiens qui voudraient bien pouvoir faire ou défaire le mariage en fonction de circonstances et de leurs intérêts. Mais Jésus leur rappelle que le mariage (comme tout sacrement) est d’abord une grâce, un don qu’il s’agit de recevoir, une grâce à accueillir, à respecter. Jésus appelle donc celui ou celle qui est marié(e) au lieu de vouloir mettre des conditions, à rendre grâce à Dieu pour ce don qui lui est fait.
Mais par dessus tout, il y a l’amour. Dieu nous aime infiniment, inconditionnellement, et Il nous invite à l’imiter à L’aimer et nous aimer les uns les autres. Nous sommes appelés à aimer, nous ne sommes faits que pour vivre d’amour, comme disait Ste Thérèse, d’un Amour fécond. Les fruits de l’Amour dans notre vie sont liés à l’Amour de Dieu qui agit en nous.
Nous sommes sans cesse appelés par Dieu, à choisir de vivre sur le chemin de l’unité, de la fidélité et de la fécondité de l’Amour de Dieu, à transformer peu à peu notre amour humain pour devenir participants de l’Amour de Dieu. Cette communion d’Amour avec Dieu, dans l’Esprit de Dieu peut nous permettre d’aller, bien au-delà de ce que nous pouvons concevoir de l’amour.
Jésus est né de la Vierge Marie dans une famille humaine. Grâce à Lui, nous devenons enfants de Dieu. Cette vie nouvelle nous est donnée dans notre famille, dans notre famille génétique et notre famille chrétienne. C’est une vie doublement ancrée, les réalités de notre monde terrestre et dans celles du ciel. St Paul nous disait à ce propos : «  Ne vous modelez pas sur le monde présent, mais transformez-vous par un changement de votre mentalité, pour discerner quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bien, ce qui lui est agréable, ce qui est parfait » (Rm 12,1).

Seigneur, nous Te Bénissons pour Ton dessein merveilleux sur l’homme et la femme. Donne-nous la grâce de continuer à le réaliser aujourd’hui, d’unir dans ton Amour des hommes et des femmes pour être tous ensemble Ta manifestation, Ton image. Donne-nous le courage et la soif de vérité dans nos choix de vie, l’audace de vivre selon Tes volontés.
Garde-nous aussi de condamner ceux qui nous entourent, croyants ou incroyants. Nous Te confions en particulier les foyers désunis, les familles recomposées. Donne-nous d’aimer ces hommes et ces femmes blessés, sans jamais les juger, comme Toi Tu les portes dans Ton amour et Ta miséricorde, de les aider, en vivant de Ta présence d’amour, de Ta charité et de Ta miséricorde, pour ramener vers Toi ces cœurs blessés et perdus.

Le Pape François est revenu lors de l’angélus de ce dimanche place Saint-Pierre sur l’enseignement que Jésus donne à ses disciples qui écartent des enfants de Lui. Nous vous invitons à méditer ces Paroles du Pape.
Il y a d’abord ce rappel formulé par le Pape: « ceux qui cherchent Dieu le trouvent dans les petits, dans ceux qui sont dans le besoin: qui ne manquent pas seulement de biens, mais de soins et de réconfort, comme les malades, les humiliés, les prisonniers, les immigrés et les détenus ». Cela, Jésus l’a enseigné à ses disciples en embrassant lors d’un précédent épisode de l’Évangile un enfant, montrant que ceux qui ne peuvent rendre la pareille doivent être servis en premier et que « toute insulte faite à un petit, à un pauvre, à une personne sans défense, est faite à Lui ».
Aujourd’hui, Jésus ajoute que « celui qui ne reçoit pas le royaume de Dieu comme un enfant le reçoit, n’y entrera pas » (Mc 10,15). Cette « nouveauté » signifie que « le disciple ne doit pas seulement servir les petits, mais se reconnaître lui-même comme un petit. Se savoir petit, se savoir en quête de salut, est indispensable pour accueillir le Seigneur. C’est le premier pas pour s’ouvrir à Lui » explique François.
C’est dans les difficultés que l’on grandit. Mais « souvent cependant, nous l’oublions. Dans la prospérité, dans le bien-être, nous avons l’illusion d’être autosuffisants, de nous suffire à nous-mêmes, de ne pas avoir besoin de Dieu. C’est une tromperie, car chacun d’entre nous est un être dans le besoin, un petit, » poursuit-il, ajoutant que « dans la vie, se reconnaître petit est le point de départ pour devenir grand ».
C’est « dans les moments de lutte et de fragilité » que l’on grandit, que l’on ouvre son cœur à Dieu, aux autres et au sens de la vie. Dans ces circonstances difficiles, « le masque de la superficialité tombe et notre fragilité radicale réapparaît: c’est notre base commune, notre trésor, car avec Dieu, les fragilités ne sont pas un obstacle, mais une opportunité » affirme le Saint-Père.
C’est à ce moment que « nous découvrons à quel point Dieu prend soin de nous ». Ceux qui prient le savent bien. La prière leur fait voir la « tendresse de Dieu » « encore plus présente », qui « donne la paix et nous fait grandir ». « Le Seigneur nous serre contre Lui, comme un père avec son enfant ». Nous devenons grands « non pas dans la prétention illusoire de notre autosuffisance, mais dans la force de placer toute l’espérance dans le Père. Tout comme les petits ».
 » Si nous nous aimons les uns les autres, Dieu demeure en nous ; en nous, son amour atteint la perfection.  » (Messe du jour)
Que le Seigneur nous bénisse tous les jours de notre vie !  (Ps 127, 5ac)

Belle prière à tous,
Nathalie et Pascal

Source d’inspiration : https://www.alsace.catholique.fr/vie-chretienne/, https://app.decouvrir-dieu.com/newsletter/

CHANT

S’il me manque l’amour

Si je parlais toutes les langues des anges
Si je chantais pour les grands, les rois
Si je savais expliquer les songes,
sans amour, je ne suis rien !

J’aurais beau prophétiser sur les mystères
Maîtriser toutes les sciences de la terre
Avoir toutes connaissances, et bienveillances,
sans amour, je ne suis rien !

Ton Amour a relevé le monde entier
Aucun homme dans Ton cœur n’est oublié
A la fin des temps quand tout disparaîtra
Ton Amour jamais ne passera !

J’aurais beau donner tout ce que je possède
Donner toute ma fortune aux affamés
J’aurai beau tenir tous les plus beaux discours,
sans amour, je ne suis rien !

Je ne serai rien qu’un cuivre qui résonne
Rien de plus qu’une cymbale qui retentit
Même en souffrant le martyr pour obéir
sans amour, je ne suis rien !

Permets moi de n’être jamais loin de Tes bras
De vivre les mains ouvertes devant Toi
Attendant que Tu me donnes, le secret de Ton cœur :
en Ton Amour, je suis Tien

PREMIERE LECTURE

« Tous deux ne feront plus qu’un » (Gn 2, 18-24)

Lecture du livre de la Genèse

Le Seigneur Dieu dit :
« Il n’est pas bon que l’homme soit seul.
Je vais lui faire une aide qui lui correspondra. »
    Avec de la terre, le Seigneur Dieu modela
toutes les bêtes des champs et tous les oiseaux du ciel,
et il les amena vers l’homme
pour voir quels noms il leur donnerait.
C’étaient des êtres vivants,
et l’homme donna un nom à chacun.
    L’homme donna donc leurs noms à tous les animaux,
aux oiseaux du ciel et à toutes les bêtes des champs.
Mais il ne trouva aucune aide qui lui corresponde.
    Alors le Seigneur Dieu fit tomber sur lui un sommeil mystérieux,
et l’homme s’endormit.
Le Seigneur Dieu prit une de ses côtes,
puis il referma la chair à sa place.
    Avec la côte qu’il avait prise à l’homme,
il façonna une femme
et il l’amena vers l’homme.
L’homme dit alors :
« Cette fois-ci, voilà l’os de mes os
et la chair de ma chair !
On l’appellera femme – Ishsha –,
elle qui fut tirée de l’homme – Ish. »
    À cause de cela,
l’homme quittera son père et sa mère,
il s’attachera à sa femme,
et tous deux ne feront plus qu’un.

Parole du Seigneur.

EVANGILE

« Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare pas ! » (Mc 10, 2-16)

Évangile de Jésus Christ selon Saint Marc

En ce temps-là,
    des pharisiens abordèrent Jésus
et, pour le mettre à l’épreuve, ils lui demandaient :
« Est-il permis à un mari de renvoyer sa femme ? »
    Jésus leur répondit :
« Que vous a prescrit Moïse ? »
    Ils lui dirent :
« Moïse a permis de renvoyer sa femme
à condition d’établir un acte de répudiation. »
    Jésus répliqua :
« C’est en raison de la dureté de vos cœurs
qu’il a formulé pour vous cette règle.
    Mais, au commencement de la création,
Dieu les fit homme et femme.
    À cause de cela,
l’homme quittera son père et sa mère,
    il s’attachera à sa femme,
et tous deux deviendront une seule chair.
Ainsi, ils ne sont plus deux, mais une seule chair.
    Donc, ce que Dieu a uni,
que l’homme ne le sépare pas ! »
    De retour à la maison,
les disciples l’interrogeaient de nouveau sur cette question.
    Il leur déclara :
« Celui qui renvoie sa femme et en épouse une autre
devient adultère envers elle.
    Si une femme qui a renvoyé son mari en épouse un autre,
elle devient adultère. »
    Des gens présentaient à Jésus des enfants
pour qu’il pose la main sur eux ;
mais les disciples les écartèrent vivement.
    Voyant cela, Jésus se fâcha et leur dit :
« Laissez les enfants venir à moi,
ne les empêchez pas,
car le royaume de Dieu est à ceux qui leur ressemblent.
    Amen, je vous le dis :
celui qui n’accueille pas le royaume de Dieu
à la manière d’un enfant
n’y entrera pas. »
    Il les embrassait
et les bénissait en leur imposant les mains.

– Acclamons la Parole de Dieu : Louange à toi, Seigneur Jésus !

Homélie du Père Maximin Noudehou sur la première lecture

« Le Seigneur Dieu dit : « Il n’est pas bon que l’homme soit seul. Je vais lui faire une aide qui lui correspondra. » Avec de la terre, le Seigneur Dieu modela toutes les bêtes des champs et tous les oiseaux du ciel, et il les amena vers l’homme pour voir quels noms il leur donnerait. »
Dans ce récit, après Dieu, l’homme est le seul être vivant et le tout premier dans l’univers créé. Le Seigneur Dieu se préoccupe de son bonheur. Il cherche ce qui va le combler. Les autres êtres sont alors créés pour l’homme. En laissant l’homme nommer toute chose, Dieu lui donne l’occasion d’apprécier sa création. Il lui donne pouvoir sur toute chose.
Nous sommes l’objet de la sollicitude divine. Comme pour un enfant au berceau, Dieu veille à notre épanouissement. Il nous apprend que la solitude, comme exclusion ou négation de ce qui n’est pas nous, n’est pas un chemin d’épanouissement, par conséquent, elle n’est pas un chemin de vie. Dieu nous fait co-acteur de notre bonheur. Il le construit avec nous. Et par ce fait, son œuvre de création correspond à une logique, une cohérence. La dynamique de la création de Dieu, c’est notre bonheur. Notre rapport à tout le créé est caractérisé par ce prisme de la quête de ce qui est bon pour nous. Dans le même temps, ce récit nous révèle que ce qui peut nous sortir de la solitude desséchante et destructrice nous dépasse et vient de Dieu. C’est un don que nous sommes appelés à recevoir. « L’homme donna donc leurs noms à tous les animaux, aux oiseaux du ciel et à toutes les bêtes des champs. Mais il ne trouva aucune aide qui lui corresponde. » La première tentative du Seigneur semble infructueuse.
Le véritable bonheur n’est pas dans la possession.
Qu’est-ce qui sous-tend ton rapport à tout ce qui t’entoure ?

« Alors le Seigneur Dieu fit tomber sur lui un sommeil mystérieux, et l’homme s’endormit. Le Seigneur Dieu prit une de ses côtes, puis il referma la chair à sa place. »
Dieu retourne au premier acte créateur de l’homme. La création apparaît alors comme un chantier, une œuvre en devenir sur laquelle l’homme ne peut avoir une mainmise absolue. Au bout de cette nouvelle initiative, Dieu laisse encore à l’homme de définir son rapport à ce nouvel être. Il n’est pas explicitement attendu de l’homme qu’il nomme à nouveau. Ce mouvement vers l’homme témoigne non seulement que Dieu établit une relation privilégiée avec sa créature mais, en plus, que le bonheur de ce dernier passe aussi par la relation qu’il choisit d’établir… Cette fois-ci, Dieu semble avoir réussi : « L’homme dit alors : « Cette fois-ci, voilà l’os de mes os et la chair de ma chair ! On l’appellera femme – Ishsha –, elle qui fut tirée de l’homme – Ish. » »
Nous n’avons pas en nous la source de notre être et de notre bonheur : Dieu en est la Source. Dans le même temps, quelque chose de notre être participe mystérieusement de ce bonheur. La différence devient un facteur fondamental de notre réalisation. Et puisqu’il est vrai que notre être ne se réalise point dans la possession, l’acte de nomination que l’homme pose et qui sous-tend ce pouvoir de posséder semble mettre en péril, dès le départ, cette réalisation. Nous sommes marquer par un désir de domination, de possession, de manipulation, de fusion et de confusion qui fausse notre nécessaire l’altérité. Notre réalisation s’impose alors comme un véritable chantier qui exige la différenciation.
La relation est le véritable lieu d’édification de notre être.
Quelles sont les bases de ta relation aux autres ?

« À cause de cela, l’homme quittera son père et sa mère, il s’attachera à sa femme, et tous deux ne feront plus qu’un. »
La relation entre l’homme et la femme apparaît comme l’expression la plus symbolique de la relation à autrui. Elle se présenter, dès le départ comme une relation tripartite car Dieu y est intrinsèquement lié : Il en fait le lien. De plus, il s’avère que c’est l’altérité qui accomplit l’être humain. Et elle demande des ruptures, des dépassements.
La nécessité de quitter son père et sa mère est l’expression de la nécessité pour nous de nous assumer, d’assumer notre histoire dans sa dimension spatio-temporaire, d’assumer notre éducation, etc. Bref, la maturité est un préalable à notre épanouissement et à notre accomplissement. Sans elle, l’altérité est hypothéquée. L’union de l’homme et de la femme nous dit que c’est la femme qui fait advenir au langage. Il est un vecteur fondamental de la sociabilisation. Cette union indique également que dans l’autre, il y a quelque chose de nous et vice-versa. Mais, l’autre n’est pas nous et nous, non plus, nous ne sommes pas l’autre. Le rapport au même enferme et vicie la relation. Mieux, notre accomplissement est dans l’acceptation d’une ablation mystérieuse de nous pour oblation bienheureuse. Il y a effectivement plus de bonheur à donner qu’à recevoir. Et, en Jésus-Christ, Dieu est la référence de ce don et de cette réception.
La réalisation de notre être présuppose collaboration au projet de Dieu.
En quoi tes relations nourrissent ta participation de Dieu ?

Seigneur, Tu veux notre réalisation et, pour cela, Tu fais tout pour nous. Donne-nous la vraie mesure de notre relation à l’autre afin que nos cœurs découvre ton Amour.

Paroles du Pape François

Dans le plan originel du Créateur, il n’y a pas d’homme qui épouse une femme et qui, si les choses ne marchent pas, la répudie. Non. Au contraire, il y a un homme et une femme appelés à se reconnaître, à se compléter, à s’entraider dans le mariage. Cet enseignement de Jésus est très clair et défend la dignité du mariage comme une union d’amour qui implique la fidélité. Ce qui permet aux époux de rester unis dans le mariage, c’est un amour de don mutuel soutenu par la grâce du Christ. Si, en revanche, l’intérêt individuel et la satisfaction de soi prévalent chez les conjoints, leur union ne peut pas durer. Par conséquent, dans ces situations, il n’est pas seulement demandé à l’Eglise de condamner immédiatement. Au contraire, face à tant d’échecs conjugaux douloureux, elle se sent appelée à vivre sa présence d’amour, de charité et de miséricorde, pour ramener à Dieu les cœurs blessés et perdus.

Pape François, Angélus, 7 octobre 2018, Source : https://www.vaticannews.va/

Notre Père

Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous  aujourd’hui  notre  pain  de  ce  jour.
Pardonne  nous  nos  offenses,  comme  nous  pardonnons  aussi  à  ceux qui nous ont offensé.
Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal.

Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Par ta miséricorde, libère-nous du péché, rassure-nous devant  les  épreuves  en  cette  vie  où  nous  espérons  le  bonheur  que  tu  promets  et  l’avènement  de  Jésus  le Christ,  notre  Sauveur.

Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen !

Seigneur  Jésus-Christ,  tu  as  dit  à  tes  Apôtres  :  « Je  vous  laisse  la  paix,  je  vous  donne  ma  paix ». Ne  regarde  pas  nos  péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen !

Prière à Marie

Je vous salue, Marie, pleine de grâce(s) ;
Le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen

Prière à Joseph

Je te salue Joseph,
Toi que la grâce divine a comblée.
Le Seigneur a reposé dans tes bras,
Le Sauveur a grandi sous tes yeux.

Je te salue Joseph,
Entre tous les hommes Tu es béni,
Jésus, l’Enfant divin de Marie,
ta virginale épouse, est béni.

Saint Joseph donné pour père au Fils de Dieu,
Saint Joseph ô prie pour nous
dans nos soucis de la vie,
pour nos famille, notre santé, notre travail.

Saint Joseph, prie pour nous
Jusquà nos derniers jours
Saint Joseph, prie pour nous
à l’heure de notre mort.
Amen, amen, amen

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