Bonjour les amis,
« La foi, si elle n’est pas mise en œuvre, est bel et bien morte » (Jc 2, 14-18)
La scène de l’Evangile du jour est très sensorielle et il est facile de s’y plonger. Jésus marche avec ses disciples. La région où ils sont est luxuriante, la nature est riche en couleurs, en parfums. On peut entendre le bruit des sandales sur les chemins poussiéreux. Ils ont peut-être soif, ils sont peut-être un peu fatigués. Ces temps de marche sont des moments d’intimité, de fraternité et de vérité où beaucoup de mots personnels peuvent s’échanger. C’est ce que nous avons vécu hier au Touvet pour la rentrée de notre doyenné du Haut Grésivaudan, et c’est le moment que choisit Jésus pour demander à ses disciples de Lui dire ce que les gens pensent de Lui et ce qu’eux-mêmes en pensent. C’est un moment où leurs relations deviennent encore plus profondes. Dans un autre contexte, leur réponse aurait pu être différente, mais là elle est naturelle, elle sort du cœur et non d’une réflexion de ce qu’il faut répondre ou pas. En réponse à la belle profession de foi de Pierre, Jésus continue à leur formuler ses exigences en leur demandant de « marcher » à sa suite en portant sa croix. Ont-ils vraiment compris ce que Jésus leur disait ? Pas sûr.
Et pour nous qui est Jésus ? Est-il celui qui nous accompagne au milieu de nos difficultés, celui qui est amour et miséricorde et qui est si proche de nous dans la prière ? S’il est pour nous le Fils de Dieu, le remercions-nous comme il se doit ? Au milieu de ce monde complexe, ne devrions-nous pas, tous ensemble et qui que nous soyons, retrouver le calme et la certitude que notre seul remède est de tenir nos promesses de fidélité envers Celui qui nous aime, envers le seul en qui nous puissions mettre toute notre confiance. Si nous avons des difficultés à croire et nous engager totalement à la suite de Jésus, l’Esprit Saint est toujours là pour nous aider. La vie de serviteur du Christ n’est pas forcément facile et de tout repos, comme le montre la vie de nombreux saints, elle se construit au long d’un chemin exigeant. Il ne s’agit pas seulement de reconnaître « intellectuellement » Jésus comme le Messie dans nos moments de prière, mais de le reconnaître aussi au plus profond de notre cœur, comme celui qui guide notre vie, au travail, en vacances, seul ou avec nos amis ou en famille. Croyons-nous que Jésus est mort pour nous, afin de nous faire vivre en Lui et qu’Il vive en nous ? La réponse sincère et intime à cette question doit conduire la suite de notre vie, guider nos engagements au service de l’Eglise ou de notre prochain. Elle donnera un sens à notre existence de chaque instant dans le monde dans lequel nous vivons. Ce n’est pas forcément la vie que nous avions imaginée ou la tranquillité à laquelle nous aspirions, mais si nous croyons profondément en Jésus, comment ne pas accepter de le suivre et de nous engager avec Lui, avec joie, enthousiasme, fidélité et confiance, de nous donner à Lui comme Lui s’est donné à nous ?
» J’aime le Seigneur : il entend le cri de ma prière ; il incline vers moi son oreille : toute ma vie, je l’invoquerai. J’étais pris dans les filets de la mort, retenu dans les liens de l’abîme,
j’éprouvais la tristesse et l’angoisse ; j’ai invoqué le nom du Seigneur : « Seigneur, je t’en prie, délivre-moi ! ». Le Seigneur est justice et pitié, notre Dieu est tendresse. Le Seigneur défend les petits : j’étais faible, il m’a sauvé. Il a sauvé mon âme de la mort, gardé mes yeux des larmes et mes pieds du faux pas. Je marcherai en présence du Seigneur sur la terre des vivants. » (Ps 114 (116 A))
Belle prière à tous,
Nathalie et Pascal
Sources d’inspiration : https://www.alsace.catholique.fr/vie-chretienne/; https://app.decouvrir-dieu.com/newsletter/; https://www.regnumchristi.fr/
CHANT
Grâce infinie (vase d’argile) J’étais brisé, vide et sans espoir. Ta grâce m’a trouvé, m’a restauré. Je n’ai rien à moi, mais tel que je suis Tu me libères, tu me libères.
Grâce infinie de notre Dieu Qui un jour m’a sauvé. J’allais, errant de lieu en lieu, Quand tu m’as retrouvé.Et maintenant je vois, Je vois l’amour, la grâce dans tes yeux, Donnant ta vie pour moi, Me ramenant de la mort à la vie.
Tu prends nos échecs, Tu prends nos faiblesses, Tu places ton trésor dans des vases d’argile. Oh ! prends mon cœur, Père ! Je veux te servir Pour que tous voient ta vie en moi.
Grâce infinie de notre Dieu Qui un jour m’a sauvé. J’allais, errant de lieu en lieu, Quand tu m’as retrouvé. Et maintenant je vois, Je vois l’amour, la grâce dans tes yeux, Donnant ta vie pour moi, Me ramenant de la mort à la vie. Oh ! oh ! Oh ! oh !
PREMIERE LECTURE
« J’ai présenté mon dos à ceux qui me frappaient » (Is 50, 5-9a)
Lecture du livre du prophète Isaïe
Le Seigneur mon Dieu m’a ouvert l’oreille,
et moi, je ne me suis pas révolté,
je ne me suis pas dérobé.
J’ai présenté mon dos à ceux qui me frappaient,
et mes joues à ceux qui m’arrachaient la barbe.
Je n’ai pas caché ma face devant les outrages et les crachats.
Le Seigneur mon Dieu vient à mon secours ;
c’est pourquoi je ne suis pas atteint par les outrages,
c’est pourquoi j’ai rendu ma face dure comme pierre :
je sais que je ne serai pas confondu.
Il est proche, Celui qui me justifie.
Quelqu’un veut-il plaider contre moi ?
Comparaissons ensemble !
Quelqu’un veut-il m’attaquer en justice ?
Qu’il s’avance vers moi !
Voilà le Seigneur mon Dieu, il prend ma défense ;
qui donc me condamnera ?
Parole du Seigneur.
EVANGILE
« Tu es le Christ… Il fallait que le Fils de l’homme souffre beaucoup » (Mc 8, 27-35)
Évangile de Jésus Christ selon Saint Marc
En ce temps-là,
Jésus s’en alla, ainsi que ses disciples,
vers les villages situés aux environs de Césarée-de-Philippe.
Chemin faisant, il interrogeait ses disciples :
« Au dire des gens, qui suis-je ? »
Ils lui répondirent :
« Jean le Baptiste ;
pour d’autres, Élie ;
pour d’autres, un des prophètes. »
Et lui les interrogeait :
« Et vous, que dites-vous ?
Pour vous, qui suis-je ? »
Pierre, prenant la parole, lui dit :
« Tu es le Christ. »
Alors, il leur défendit vivement
de parler de lui à personne.
Il commença à leur enseigner
qu’il fallait que le Fils de l’homme souffre beaucoup,
qu’il soit rejeté par les anciens,
les grands prêtres et les scribes,
qu’il soit tué,
et que, trois jours après, il ressuscite.
Jésus disait cette parole ouvertement.
Pierre, le prenant à part,
se mit à lui faire de vifs reproches.
Mais Jésus se retourna
et, voyant ses disciples, il interpella vivement Pierre :
« Passe derrière moi, Satan !
Tes pensées ne sont pas celles de Dieu,
mais celles des hommes. »
Appelant la foule avec ses disciples, il leur dit :
« Si quelqu’un veut marcher à ma suite,
qu’il renonce à lui-même,
qu’il prenne sa croix
et qu’il me suive.
Car celui qui veut sauver sa vie
la perdra ;
mais celui qui perdra sa vie à cause de moi et de l’Évangile
la sauvera. »
– Acclamons la Parole de Dieu : Louange à toi, Seigneur Jésus !
Homélie du Père Maximin Noudehou sur la première lecture
« Le Seigneur mon Dieu m’a ouvert l’oreille, et moi, je ne me suis pas révolté, je ne me suis pas dérobé. »
L’oreille est le symbole de l’écoute, de l’ouverture et de l’obéissance. Fort de cette grâce de Dieu, le serviteur du Seigneur fait preuve de soumission, d’obéissance et de détermination. Face à la souffrance, il demeure digne. Victime, il ne subit pas. Tout en évitant de se rendre coupable ou de se venger, il affronte sa situation en se refusant à la logique de la violence faite au prochain.
La grâce de Dieu appelle de notre part la réception. Mieux, la grâce nous est offerte pour qu’en toute circonstance, particulièrement au cœur de la souffrance, rien ne nous fasse renoncer à notre dignité de fils et de fille de Dieu, rien ne nous fasse choisir de devenir esclavage du péché.
La dignité est dans la fidélité à Dieu.
Avec quelle disposition intérieure fais-tu face à la souffrance ?
« Le Seigneur mon Dieu vient à mon secours. »
La détermination du serviteur se manifeste également à travers sa confiance totale en Dieu. Rien ne l’ébranle dans cette confiance en son Sauveur. Elle fonde son attitude extérieure (« c’est pourquoi je ne suis pas atteint par les outrages, c’est pourquoi j’ai rendu ma face dure comme pierre : je sais que je ne serai pas confondu. ») et sa démarche intérieure. Jouissant de la bienfaisante proximité de son Dieu, il n’a plus aucune crainte : « Il est proche, Celui qui me justifie. Quelqu’un veut-il plaider contre moi ?Comparaissons ensemble ! Quelqu’un veut-il m’attaquer en justice ? Qu’il s’avance vers moi ! Voilà le Seigneur mon Dieu, il prend ma défense ; qui donc me condamnera ? »
Cet extrait nous fait penser à Saint Paul qui confesse l’absolue puissance de l’Amour Dieu. (Cf. Romains 8, 31-39). C’est dans le Christ, en effet, que la prophétie d’Isaïe se réalise. Nous qui croyons en Lui, il importe de ne point nous laisser ébranler par quelque puissance que ce soit. Le monde attend de nous un témoignage vibrant de la Puissance agissante de Dieu dans nos vies. Nos peurs font de Dieu, un menteur. Dans le mystère de la Rédemption, en effet, Jésus nous a justifiés, Il est avec nous (cf. Psaume 45, 9) et Il continue de nous défendre. (Cf. Apocalypse 12, 10)
Il n’y a rien de plus concret et actif que la puissance de l’Amour de Dieu.
Quel est ton rapport à Dieu à l’heure de la souffrance ?
Seigneur mon Dieu, Tu es mon Roc, mon Défenseur.
Paroles du Pape François depuis la Place des héros de Budapest
La Croix n’est pas à la mode mais elle guérit
Le Souverain pontife a célébré la grand-messe solennelle de clôture du 52ème Congrès eucharistique international de Budapest, dimanche 12 septembre, point culminant d’une semaine d’intense prière et réflexion sur le précieux centre de la vie chrétienne: l’Eucharistie. Le Pape François a invité à passer «de l’admiration stérile» à «l’imitation concrète» de Jésus.
Dans son homélie, le Pape a indiqué trois voies pour passer de l’admiration à l’imitation de Jésus.
«Aujourd’hui encore, en fixant le regard sur chacun de nous, le Seigneur nous interpelle personnellement: «Mais moi, qui suis-je vraiment pour toi? Pour toi qui suis-je?» «C’est une question qui, adressée à chacun de nous, n’exige pas seulement une réponse exacte, de catéchisme, mais une réponse personnelle, de vie», a affirmé d’emblée l’évêque de Rome, précisant que de cette réponse personnelle naissait le renouvellement de la condition de disciple, qui passe par trois moyens: l’annonce de Jésus, le discernement avec Jésus, le cheminement à la suite de Jésus.
L’annonce de Jésus.
À ce «Et vous, que dites-vous ? Pour vous, qui suis-je?», Pierre répond que Jésus est le Christ, le Messie. «C’est exact mais incomplet. Il y a toujours le risque d’annoncer une fausse messianité, selon les hommes et non selon Dieu», assure François.
“Il y a toujours le risque d’annoncer une fausse messianité, selon les hommes et non selon Dieu”
Un serviteur crucifié, non pas un messie puissant
C’est pourquoi Jésus commence, à partir de ce moment, à révéler son identité pascale, celle que nous trouvons dans l’Eucharistie, estime le Pape. «Il explique que sa mission culminera, bien sûr, dans la gloire de la résurrection, mais en passant par l’humiliation de la croix. Jésus impose le silence sur son identité messianique, mais pas sur la croix qui l’attend.»
Conscient de «cette annonce bouleversante», le Souverain pontife déclare que nous pouvons être nous aussi stupéfaits. «Nous aussi, nous voudrions un messie puissant au lieu d’un serviteur crucifié.»
La simplicité d’un Pain qui se laisse rompre
«L’Eucharistie se trouve devant nous pour nous rappeler qui est Dieu. Il ne le fait pas par des mots, mais concrètement, en nous montrant Dieu comme Pain rompu, comme Amour crucifié et donné. Nous pouvons ajouter beaucoup de cérémonies, mais le Seigneur est là, dans la simplicité d’un Pain qui se laisse rompre, distribuer et manger. Pour nous sauver, il se fait serviteur; pour nous donner la vie, il meurt», poursuit l’évêque de Rome.
Deuxième étape du raisonnement du Saint-Père:
Le discernement avec Jésus.
Face à l’annonce du Seigneur, la réaction de Pierre est typiquement humaine: lorsque la croix se profile, avec la perspective de la souffrance, l’homme se rebelle, explique-t-il, ajoutant: «Et après avoir confessé la messianité de Jésus, Pierre se scandalise des paroles du Maître en tentant de le dissuader d’avancer sur sa voie». Or, relève le Pape, «La croix n’est jamais à la mode: aujourd’hui comme dans le passé. Mais elle guérit au-dedans», a insisté le Pape.
La part de Dieu, la part du monde
C’est devant le Crucifié que nous faisons l’expérience d’une lutte intérieure bénéfique, l’âpre conflit entre le «penser selon Dieu» et le «penser selon les hommes», détaille le Saint-Père. D’un côté, il y a la logique de Dieu, qui est celle de l’amour humble: «La voie de Dieu rejette toute imposition, toute ostentation et triomphalisme, elle est toujours tendue vers le bien d’autrui, jusqu’au sacrifice de soi», assure le Successeur de Pierre. D’un autre côté, il y a le «penser selon les hommes»: c’est la logique du monde, attachée à l’honneur et aux privilèges, tournée vers le prestige et le succès. C’est l’importance et la force qui comptent ici, ce qui attire l’attention du plus grand nombre et sait se faire valoir devant les autres, vilipende le Pape.
Consacrer du temps à l’adoration
Toutefois, selon François, la différence n’est pas entre qui est religieux et qui ne l’est pas. «La différence cruciale est entre le vrai Dieu et le dieu de notre moi», note-t-il. «Combien celui qui règne en silence sur la croix est loin du faux dieu que nous voudrions voir régner par la force et réduire nos ennemis au silence! Combien le Christ qui se propose seulement avec amour est différent des messies puissants et vainqueurs adulés par le monde ! Jésus nous secoue, il ne se contente pas de déclarations de foi, il nous demande de purifier notre religiosité devant sa croix, devant l’Eucharistie», s’est exclamé le Pape, proposant d’intensifier l’adoration, afin «que Jésus nous libère de la servitude paralysante de la défense de notre image, qu’il nous inspire à le suivre là où il veut nous conduire».
Le décentrement libérateur de soi
Enfin, troisième passage pour parvenir à imiter le Christ:
Le cheminement à la suite de Jésus.
«Le cheminement chrétien n’est pas une poursuite du succès, mais il commence par un certain recul, par un décentrement libérateur, par le fait de se retirer du centre de la vie», indique d’abord François, en vue de passer «de l’admiration stérile du Christ à l’imitation concrète du Christ».
«C’est là que nous pousse l’Eucharistie: nous sentir un seul Corps, nous rompre pour les autres». Et le Pape d’exhorter à cette transformation dans l’Eucharistie à l’image «des grands et courageux» saints hongrois, Étienne et Élisabeth.
«Comme eux, ne nous contentons pas de peu; ne nous résignons pas à une foi qui vit de rites et de répétitions. Ouvrons-nous à la nouveauté scandaleuse de Dieu crucifié et ressuscité, Pain rompu pour donner la vie au monde», développe le Successeur de Pierre, souhaitant que ce 52ème Congrès eucharistique international, point d’arrivée d’un parcours, soit «surtout un point de départ» pour accueillir «le tournant de la grâce».
Le Pape exhorte les Hongrois à être enracinés, ouverts et respectueux
Le Pape François, juste avant la récitation de la prière de l’angélus, s’est adressé au peuple hongrois le remerciant pour son accueil. Il a souhaité que la croix soit pour ce pays «un pont entre le passé et l’avenir». Il est facile de convertir son message au peuple hongrois en un message à notre communauté.
Le Saint-Père a tourné son regard vers «la grande famille chrétienne hongroise». Je désire l’«embrasser dans ses rites, dans son histoire, dans les sœurs et dans les frères catholiques et ceux d’autres confessions, tous en marche vers la pleine unité». Il a chaleureusement salué le Patriarche Bartholomée, «un Frère qui nous honore de sa présence» et les catholiques du pays. «Merci, en particulier, à mes bien-aimés Frères évêques, aux prêtres, aux personnes consacrées, et à vous tous, chers fidèles !».
Conserver des racines sans être cloisonné
«Que la croix soit pour vous un pont entre le passé et l’avenir !», a souhaité le Saint-Père aux Hongrois rappelant l’importance des racines de ce pays. «Le sentiment religieux est la sève de cette nation si attachée à ses racines» a-t-il affirmé, soulignant que «la croix, plantée en terre, en plus de nous inviter à bien nous enraciner, élève et étend ses bras vers tous: elle exhorte à garder solides les racines, mais sans cloisonnement; à puiser aux sources, en nous ouvrant aux assoiffés de notre temps».
Le Saint-Père a ainsi invité le peuple hongrois a être «ancrés et ouverts, enracinés et respectueux», et à annoncer par sa vie l’Évangile libérateur de la tendresse infinie de Dieu pour chacun. «Dans le manque d’amour d’aujourd’hui, il est la nourriture que l’homme attend».
Le Cardinal Wyszyński et sœur Czacka, nouveaux bienheureux
Le Pape a ensuite rendu hommage à la figure de deux témoins de l’Évangile proclamés bienheureux ce dimanche à Varsovie, en Pologne: le Cardinal Stefan Wyszyński, primat de Pologne, qui «arrêté et séquestré, a toujours été un pasteur courageux selon le cœur du Christ, un héraut de la liberté et de la dignité» et sœur Elisabetta Czacka, fondatrice des Sœurs Franciscaines Servantes de la Croix, «qui a consacré sa vie entière à aider les aveugles».
«L’exemple des nouveaux bienheureux nous incite à transformer les ténèbres en lumière grâce à la force de l’amour». Et c’est en langue hongroise que le Pape a conclu cet angélus: «Isten, áldd meg a magyart ! [Que Dieu bénisse les Hongrois !] ».
Pape François, 12 septembre 2021, Source : https://www.vaticannews.va/
Notre Père
Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour. Pardonne nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensé. Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal. Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Par ta miséricorde, libère-nous du péché, rassure-nous devant les épreuves en cette vie où nous espérons le bonheur que tu promets et l’avènement de Jésus le Christ, notre Sauveur. Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen ! Seigneur Jésus-Christ, tu as dit à tes Apôtres : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix ». Ne regarde pas nos péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen ! |
Prière à Marie
Le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen

Prière à Joseph
Toi que la grâce divine a comblée.
Le Seigneur a reposé dans tes bras,
Le Sauveur a grandi sous tes yeux.
Je te salue Joseph,
Entre tous les hommes Tu es béni,
Jésus, l’Enfant divin de Marie,
ta virginale épouse, est béni.
Saint Joseph donné pour père au Fils de Dieu,
Saint Joseph ô prie pour nous
dans nos soucis de la vie,
pour nos famille, notre santé, notre travail.
Saint Joseph, prie pour nous
Jusquà nos derniers jours
Saint Joseph, prie pour nous
à l’heure de notre mort.
Amen, amen, amen
#VieFraternelle #Jésus #SoyonsVivantsEnsemble #SaintEsprit #Evangile #Prière #Prier