Vivre en Chrétien dans la cité

Bonjour les amis,

Seigneur, que notre amour envers Toi nous invite à vivre, à l’exemple de Tes apôtres, Ton appel à annoncer ton Royaume pour faire briller davantage dans notre entourage la lumière de ton Évangile.

Tout au long de cette semaine, nous avons entendu, dans l’évangile de St Matthieu, l’enseignement de Jésus aux apôtres qu’il envoie en mission. Aujourd’hui, nous entendons la version de St Marc du même envoi en mission. Et les apôtres éxecutent le commandement de Jésus : ils partent, proclament la Bonne Nouvelle et accomplissent de nombreux signes.
Résumons les consignes de Jésus vues cette semaine, concernant l’envoi en mission, une mission inhérente à notre vocation de baptisé. Ces consignes s’applique à tout appel à une mission de la part de l’Eglise :

  • Jésus appelle ses apôtres chacun par leurs noms. L’appel à suivre Jésus n’est jamais un appel anonyme.
  • Jésus  nous connaît mieux que nous nous connaissons nous-mêmes, nos forces et nos faiblesses et Il prend tout cela en compte au moment de nous appeler. Son appel n’est jamais au-dessus de nos capacités et nous savons que nous pouvons compter sur Jésus pour nous aider quand nous en avons besoin.
  • Nous avons de Sa part, le pouvoir de vaincre le mal en faisant le bien, de contribuer à créer un monde meilleur par nos mots, nos actes.
  • Jésus ne nous appelle pas pour nos compétences mais pour notre amour de Dieu et notre désir profond de Le suivre malgré tout.
  • En tant que baptisés, nous devons nous sentir responsables d’une partie de l’œuvre de Jésus et pour cela Il nous invite à aller partout et surtout là où Il n’est pas encore connu, aux périphéries de la foi, à ne pas hésiter à témoigner de notre foi, et simplement à montrer que vivre dans le royaume des Cieux, le plus possible en conformité avec la volonté de Dieu, c’est vivre dès maintenant, pleinement, joyeusement, dans un monde plus beau, plus libre, plus fraternel, bref une Bonne Nouvelle pour tous, dès aujourd’hui et pour toujours
  • Nous n’avons pas à avoir peur de la pauvreté des moyens que nous semblons avoir à notre disposition. Si nous pensons ne pas être dans de bonnes conditions pour témoigner de l’Évangile, pas prêts ou pas qualifiés pour la mission qui nous est confiée, c’est là que nous sommes prêts. Etre convaincu et avoir fait l’expérience que l’amour de Dieu sauve, est suffisant pour annoncer la bonne nouvelle.
  • Apprendre à discerner les portes qui sont ouvertes, les cœurs ouverts pour accueillir l’Evangile sans forcer quoi que ce soit.
  • L’annonce de la Bonne Nouvelle est un véritable échange entre nous et notre prochain. C’est ce goût de l’échange qui enrichit tout le monde et participe clairement à construction du Royaume.
  • L’accomplissement de la mission peut comporter des moments délicats, des rejets, des souffrances… Mais Jésus nous dit que ces moments ne doivent ni nous inquiéter, ni nous freiner. Au contraire, ils sont l’opportunité de l’expérience de l’Esprit Saint qui surgit de notre cœur et se fait entendre le plus clairement pour nous guider. Témoigner de l’Évangile est peut-être avant tout une grâce particulière, celle de vivre ce contact direct avec l’Esprit Saint.
  • Jésus nous dit de pas être dans le rêve que suivre le Christ pourrait procurer une quelconque gloire ou puissance humaines. Le monde n’est pas particulièrement accueillant à l’Évangile. Mais Jésus nous rassure et nous dit de garder confiance, car Il sera toujours avec nous pour affronter les épreuves. Nous sommes précieux aux yeux de Dieu, et Jésus rappelle aussi qu’un jour ou l’autre la vérité et la justice finissent toujours par avoir raison du mensonge et de l’injustice.
  • Annoncer l’Évangile, témoigner de notre foi, nous afficher ouvertement pour le Christ est un effort permanent et peut nous amener des déboires. Mais quelle belle promesse nous attend. L’Évangile est une Bonne Nouvelle qui concerne le monde entier et que nous ne pouvons pas cacher et garder pour nous, elle doit être répandue, transmise le plus largement, le plus ouvertement, le plus lumineusement possible.

Ces semaines qui arrivent, vacances pour certains, pour tous pause associative et sociale ou vie au ralenti, sont autant d’occasions d’un contact plus intime avec le Seigneur, de partir et de proclamer l’évangile. C’est le moment idéal pour couper avec les bruits de notre quotidienne, bruits intérieurs et extérieurs, pour mieux entendre Dieu nous parler, pour nous confier et nous reposer en Lui, pour lire la Parole tranquillement. Et nous pourrons accueillir toutes les nouvelles situations, les nouveaux lieux, les nouvelles personnes que nous rencontrerons cet été, comme autant d’occasions de témoignage et d’annonce de la bonne nouvelle.
Offrons au Seigneur notre disponibilité profonde à vivre cette annonce !

Qui suis-je, Seigneur, pour que Tu m’appelles et que Tu m’envoies moi aussi annoncer ton Évangile à mes frères et sœurs ? Tu connais mes doutes et mes limites, Tu sais mes faiblesses et mes peurs. Je suis tenté de laisser cette tâche à ceux qui me semblent mieux préparés que moi pour l’accomplir, les prêtres, les personnes engagées depuis longtemps dans les paroisses ou dans des communautés. Et pourtant, j’entends l’Esprit qui souffle en moi et me pousse à sortir de moi-même pour Te dire oui, et témoigner de Ton amour auprès de tous.
Seigneur, vis en moi, travaille en moi, inspire-moi et prie en moi.

Si vous avez le temps; lisez ces extraits d ‘une lettre anonyme à Diogène au 2e siècle qui résume presque tout :
« Les chrétiens ne se distinguent des autres hommes ni par le pays, ni par le langage, ni par les coutumes. Car ils n’habitent pas de villes qui leur soient propres, ils n’emploient pas quelque dialecte extraordinaire, leur genre de vie n’a rien de singulier. Leur doctrine n’a pas été découverte par l’imagination ou par les rêveries d’esprits inquiets ; ils ne se font pas, comme tant d’autres, les champions d’une doctrine d’origine humaine.
Ils habitent les cités grecques et les cités barbares suivant le destin de chacun ; ils se conforment aux usages locaux pour les vêtements, la nourriture et le reste de l’existence, tout en manifestant les lois extraordinaires et vraiment paradoxales de leur manière de vivre. Ils résident chacun dans sa propre patrie, mais comme des étrangers domiciliés. Ils s’acquittent de tous leurs devoirs de citoyens, et supportent toutes les charges comme des étrangers. Toute terre étrangère leur est une patrie, et toute patrie leur est une terre étrangère. Ils se marient comme tout le monde, ils ont des enfants, mais ils n’abandonnent pas leurs nouveau-nés. Ils prennent place à une table commune, mais qui n’est pas une table ordinaire.
Ils sont dans la chair, mais ils ne vivent pas selon la chair. Ils passent leur vie sur la terre, mais ils sont citoyens du ciel. Ils obéissent aux lois établies, et leur manière de vivre est plus parfaite que les lois. Ils aiment tout le monde, et tout le monde les persécute. On ne les connaît pas, mais on les condamne ; on les tue et c’est ainsi qu’ils trouvent la vie. Ils sont pauvres et font beaucoup de riches. Ils manquent de tout et ils ont tout en abondance. On les méprise et, dans ce mépris, ils trouvent leur gloire. On les calomnie, et ils y trouvent leur justification. On les insulte, et ils bénissent. On les outrage, et ils honorent. Alors qu’ils font le bien, on les punit comme des malfaiteurs. Tandis qu’on les châtie, ils se réjouissent comme s’ils naissaient à la vie. Les Juifs leur font la guerre comme à des étrangers, et les Grecs les persécutent ; ceux qui les détestent ne peuvent pas dire la cause de leur hostilité.
En un mot, ce que l’âme est dans le corps, les chrétiens le sont dans le monde. L’âme est répandue dans les membres du corps comme les chrétiens dans les cités du monde. »
http://www.vatican.va/spirit/documents/spirit_20010522_diogneto_fr.html

Belle prière à tous,
Nathalie et Pascal

Source d’inspiration : https://www.regnumchristi.fr/, https://app.decouvrir-dieu.com/

CHANT

Sois mon ancre et ma voile

Dieu, tu es ma force, ma consolation,
une lampe devant mes pas.
Ta voix a triomphé de l’ouragan,
remporté le combat.

Tu m’offres chaque jour ton infaillible amour.
Toi, qui as fixé le cours des étoiles,
sois mon ancre, sois ma voile.

Tu étends mes ailes pour toucher les cieux.
Protégé par ta main,
ta grâce m’appelle à lever les yeux
et suivre ton chemin.

Tu m’offres chaque jour ton infaillible amour.
Toi, qui as fixé le cours des étoiles,
sois mon ancre, sois ma voile.

Ta miséricorde coule de la croix,
ton sang m’a racheté.
Tout ce que je suis me vient de toi.
Sans fin je te louerai.

Tu m’offres chaque jour ton infaillible amour.
Toi, qui as fixé le cours des étoiles,
sois mon ancre, sois ma voile.

PREMIERE LECTURE

« Va, tu seras prophète pour mon peuple » (Am 7, 12-15)

Lecture du Livre du prophète Amos

En ces jours-là, 
    Amazias, prêtre de Béthel, dit au prophète Amos :
« Toi, le voyant, va-t’en d’ici, 
fuis au pays de Juda ; 
c’est là-bas que tu pourras gagner ta vie 
en faisant ton métier de prophète. 
    Mais ici, à Béthel, arrête de prophétiser ; 
car c’est un sanctuaire royal, 
un temple du royaume. »
    Amos répondit à Amazias : 
« Je n’étais pas prophète 
ni fils de prophète ; 
j’étais bouvier, et je soignais les sycomores. 
    Mais le Seigneur m’a saisi quand j’étais derrière le troupeau, 
et c’est lui qui m’a dit : 
‘Va, tu seras prophète pour mon peuple Israël.’ »
 
Parole du Seigneur.

SECONDE LECTURE

(Ep 1,3-14)

Lecture de la lettre de saint Paul apôtre aux Éphésiens

Béni soit Dieu, le Père
de notre Seigneur Jésus Christ !
Il nous a bénis et comblés
des bénédictions de l’Esprit,
au ciel, dans le Christ.
Il nous a choisis, dans le Christ,
avant la fondation du monde,
pour que nous soyons saints, immaculés
devant lui, dans l’amour.
Il nous a prédestinés
à être, pour lui, des fils adoptifs
par Jésus, le Christ.
Ainsi l’a voulu sa bonté,
à la louange de gloire de sa grâce,
la grâce qu’il nous donne
dans le Fils bien-aimé.
En lui, par son sang,
nous avons la rédemption,
le pardon de nos fautes.
C’est la richesse de la grâce
que Dieu a fait déborder jusqu’à nous
en toute sagesse et intelligence.
Il nous dévoile ainsi le mystère de sa volonté,
selon que sa bonté l’avait prévu dans le Christ :
pour mener les temps à leur plénitude,
récapituler toutes choses dans le Christ,
celles du ciel et celles de la terre.
En lui, nous sommes devenus
le domaine particulier de Dieu,
nous y avons été prédestinés
selon le projet de celui qui réalise tout ce qu’il a décidé :
il a voulu que nous vivions
à la louange de sa gloire,
nous qui avons d’avance espéré dans le Christ.
En lui, vous aussi,
après avoir écouté la parole de vérité,
l’Évangile de votre salut,
et après y avoir cru,
vous avez reçu la marque de l’Esprit Saint.
Et l’Esprit promis par Dieu
est une première avance sur notre héritage,
en vue de la rédemption que nous obtiendrons,
à la louange de sa gloire.
 
Parole du Seigneur.

EVANGILE

« Il commença à les envoyer » (Mc 6,7-13)

Évangile de Jésus Christ selon Saint Marc

En ce temps-là,
    Jésus appela les Douze ; 
alors il commença à les envoyer en mission deux par deux. 
Il leur donnait autorité sur les esprits impurs, 
    et il leur prescrivit de ne rien prendre pour la route, 
mais seulement un bâton ; 
pas de pain, pas de sac, 
pas de pièces de monnaie dans leur ceinture. 
    « Mettez des sandales, 
ne prenez pas de tunique de rechange. » 
    Il leur disait encore : 
« Quand vous avez trouvé l’hospitalité dans une maison, 
restez-y jusqu’à votre départ. 
    Si, dans une localité, 
on refuse de vous accueillir et de vous écouter, 
partez et secouez la poussière de vos pieds : 
ce sera pour eux un témoignage. » 
    Ils partirent, 
et proclamèrent qu’il fallait se convertir. 
    Ils expulsaient beaucoup de démons, 
faisaient des onctions d’huile à de nombreux malades, 
et les guérissaient.

– Acclamons la Parole de Dieu : Louange à toi, Seigneur Jésus !

Homélie du Père Maximin Noudehou

« Il commença à les envoyer en mission deux par deux. »
Jésus commença à envoyer ces disciples deux par deux. Il les exhortaient ainsi à vivre eux-mêmes du message de conversion à l’amour, qui leur est confié. Il témoignait, par la même occasion, que Lui-même n’était pas seul dans sa mission.
Dès le départ, la mission est confiée non à un individu mais à une communauté. Dès le départ, la relation fraternelle est une marque du témoignage chrétien. Dès le départ, l’esprit missionnaire est dans une logique de collaboration, de complémentarité. La fraternité et la communauté sont des gages de la fidélité à la Volonté divine. Nul ne peut être disciple-missionnaire tout seul. Tout ce qui est fait contre la fraternité, contre la communauté, contre la communion et contre la collaboration, est contre la Volonté de Dieu.
Avec qui es-tu envoyé(e) en mission ?

Il commença à les envoyer en mission deux par deux.
Pour qu’il n’y ait aucun doute sur le fait que le disciples sont en mission pour le Royaume de Dieu, Jésus « leur donnait autorité sur les esprits impurs. » Ils avaient donc à faire preuve de discernement et à ne laisser subsister aucune ambiguïté sur la source de leur mission.
Le message est clair : l’autorité sur les forces du mal ne peut venir que de Dieu. Seul Dieu combat le mal. Toute initiative contre le mal, qui exclut le Seigneur, est une supercherie ! C’est une manière d’accuser Dieu de complicité avec le Diable ou de proclamer le Démon plus puissant que le Créateur de tout. De plus, il est capital de prendre conscience de ce que les disciples du Christ ont reçu autorité sur les esprits impurs. Dieu nous donne part à son pouvoir. Dans ce combat contre les forces du Mal, savoir que la victoire est de notre côté devrait affermir notre foi.
Le plus grand exorcisme est celui qu’on exerce sur soi-même.
Dans quelle mesure te laisses-tu à l’Esprit Saint ?

Il commença à les envoyer en mission deux par deux.
Les recommandations de Jésus pour la route placent les disciples dans une posture de pèlerins. « Il leur prescrivit de ne rien prendre pour la route, mais seulement un bâton. » S’ils avaient à renoncer aux biens, ce n’était point pour vivre en parasites. Ils avaient à donner la priorité à la fraternité plutôt qu’à l’avidité, à la confiance plutôt qu’à l’assurance, au compagnonnage plutôt qu’à la surcharge.
Ainsi, le lieu de mission n’était pas le lieu de destination. Dieu est la destination.
Ce dépouillement fait faire l’expérience de la sollicitude de Dieu, de la providence divine. Dans le même temps, ce dépouillement spirituel et matériel est assez éprouvant pour les personnes que le Seigneur envoie. Ce dépouillement interroge la confiance en Dieu. Ce dépouillement interroge la responsabilité de la communauté vis-à-vis des envoyés. Ce dépouillement permet d’apprécier la qualité de la réception du message et de faire de cette réception le critère majeure de l’itinéraire missionnaire.
Qui accueille Dieu accueille les missionnaires.
Quelle aide apportons-nous à la mission ?

Seigneur notre Dieu, Maître de la mission, par l’intercession de la Très Sainte Vierge Marie et de Saint Joseph, accorde-nous un cœur missionnaire.

Paroles du Pape François

La grande liberté de Dieu qui se donne à nous constitue un défi et une exhortation à changer nos attitudes et nos relations. C’est l’invitation que Jésus nous adresse aujourd’hui. Il nous appelle à ne pas penser selon les catégories « ami/ennemi », « nous/eux », « qui est dedans/qui est dehors », « le mien/le tien », mais à aller au-delà, à ouvrir notre cœur pour pouvoir reconnaître sa présence et l’action de Dieu même dans des environnements inhabituels et imprévisibles et chez des personnes qui ne font pas partie de notre cercle. Que la Vierge Marie, modèle d’accueil docile des surprises de Dieu, nous aide à reconnaître les signes de la présence du Seigneur au milieu de nous, en le découvrant partout où il se manifeste.

Pape François, Angélus du 30 septembre 2018, Source : https://www.vaticannews.va/

Notre Père

Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous  aujourd’hui  notre  pain  de  ce  jour.
Pardonne  nous  nos  offenses,  comme  nous  pardonnons  aussi  à  ceux qui nous ont offensé.
Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal.

Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Par ta miséricorde, libère-nous du péché, rassure-nous devant  les  épreuves  en  cette  vie  où  nous  espérons  le  bonheur  que  tu  promets  et  l’avènement  de  Jésus  le Christ,  notre  Sauveur.

Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen !

Seigneur  Jésus-Christ,  tu  as  dit  à  tes  Apôtres  :  « Je  vous  laisse  la  paix,  je  vous  donne  ma  paix ». Ne  regarde  pas  nos  péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen !

Prière à Marie





Je vous salue Marie pleine de grâce, le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.

Prière à Joseph

Je te salue Joseph,
Toi que la grâce divine a comblée.
Le Seigneur a reposé dans tes bras,
Le Sauveur a grandi sous tes yeux.

Je te salue Joseph,
Entre tous les hommes Tu es béni,
Jésus, l’Enfant divin de Marie,
ta virginale épouse, est béni.

Saint Joseph donné pour père au Fils de Dieu,
Saint Joseph ô prie pour nous
dans nos soucis de la vie,
pour nos famille, notre santé, notre travail.

Saint Joseph, prie pour nous
Jusquà nos derniers jours
Saint Joseph, prie pour nous
à l’heure de notre mort.
Amen, amen, amen

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