Bonjour les amis,
« Y a-t-il une merveille que le Seigneur ne puisse accomplir ? » (Gn 18, 14)
Seigneur, augmente ma foi, et aide-nous à rendre témoignage de Toi, au-delà de nos peurs et nos hontes.
La première lecture nous invite à nous questionner sur quelque chose qui devrait être simple concret et évident pour tout croyant : Tout est-il possible pour Dieu ? Y croyons-nous réellement et totalement ? Dieu est Maître de l’univers qu’Il a créé. Y aurait-il quelque chose qui soit hors de sa portée ? Et quand nous prions, avons-nous cette certitude quand nous demandons quelque chose, que Dieu entend toujours ce que nous lui demandons; et demandons-nous comme l’a fait le centurion de la seconde lecture dans une prière pleine d’amour, d’humilité et de confiance ou dans une demande désespérée et résignée ? Est-ce que notre foi est aussi ardente que la sienne ?
Jésus nous dit à tous « Que tout se passe pour toi selon ta foi ». Jésus reproche souvent à ceux qui ont reçu la foi et ont l’occasion de la faire croître, d’être tièdes dans notre manière de vivre et témoigner de cette foi. Nous chrétiens, nous ne sommes pas tous appelés à réaliser des choses extraordinaires, visibles de tous, mais Jésus nous demande à tous « seulement » d’être fermes dans notre foi et de témoigner de cette foi par notre vie de chaque jour.
Nous disons à chaque Eucharistie comme le centurion « Seigneur, je ne suis pas digne de Te recevoir… ». Le Larousse définit Digne par : « Qui, pour ses qualités, ses actes, mérite quelque chose, appelle telle attitude, telle action ». Digne n’est pas donc un état donné par la naissance ou le baptême, mais le résultat intérieur de notre foi, de nos actes d’amour, de notre confiance totale en Dieu, de notre confiance en Son amour et en Sa puissance.
C’est cette seule confiance qui permet au Seigneur d’agir en nous et autour de nous, oui, c’est cette foi qui guérit le serviteur du centurion, même à distance.
Jésus affirme n’avoir pas trouvé cette foi en Israël… pourrait-il la trouver chez nous aujourd’hui ? Nous sentons-nous dignes d’accueillir Jésus chez nous et en nous ?
En tous cas, rayonnons de toute notre foi en Jésus et n’ayons ni honte ni peur à dire partout autour de nous la source de notre joie ! Témoignons, car Jésus ne nous demande que cela ! Éveillons cette foi dans notre vie quotidienne, par la prière, les sacrements d’Eucharistie et de réconciliation, et la charité ! Et laissons Dieu agir comme Il l’entend. Ayons confiance ! Nous ne sommes pas seul, que Dieu est toujours avec nous, Il nous entend et Il agit. Dans cette confiance, nous finirons aussi par dire cette même parole du prophète Isaïe : » Il a pris nos souffrances, il a porté nos maladies. »
Et prions « Seigneur je ne suis pas digne que Tu entres sous mon toit, mais dis seulement une parole et je serai guéri » de mes enfermements, de mes peurs à témoigner de Toi, de mon égoïsme vis-à-vis de mes frères et sœurs, de mon indifférence vis-à-vis des souffrances de mon prochain, de mon manque de confiance en Toi. Dis seulement une parole et je pourrai « ressusciter » et spontanément me lever pour mettre à Ton service et à celui de mes frères, dans la paix et la joie de l’Esprit. Et Seigneur, pour toutes mes prières, que tout se passe selon ma foi !
Avec Marie, chantons notre foi avec le Psaume du jour : » Mon âme exalte le Seigneur, exulte mon esprit en Dieu, mon Sauveur ! Il s’est penché sur son humble servante ; désormais tous les âges me diront bienheureuse. Le Puissant fit pour moi des merveilles ; Saint est son nom ! Sa miséricorde s’étend d’âge en âge sur ceux qui le craignent. Il comble de biens les affamés, renvoie les riches les mains vides. Il relève Israël son serviteur, il se souvient de son amour, de la promesse faite à nos pères, en faveur d’Abraham et sa descendance à jamais. » (Lc 1, 46b- 47, 48-49, 50.53, 54-55)
Belle prière à tous,
Nathalie et Pascal
Source d’inspiration : https://evangeli.net/, https://www.regnumchristi.fr/, https://app.decouvrir-dieu.com/
CHANT
ô Jésus, digne es-tu
Ô Jésus, digne es-tu de recevoir La louange et l’honneur.
Tu es Dieu et je suis à toi, Tu es Dieu, tu es Dieu,
Tu es roi, et je fléchis les genoux Devant toi, Ô mon roi.
Tu es saint, et tu sièges en majesté dans la gloire, dans les cieux. (x2)
Tu es Dieu et je suis à toi, Tu es Dieu, tu es Dieu,
Tu es roi, et je fléchis les genoux Devant toi, Ô mon roi.
PREMIERE LECTURE
« Y a- t-il une merveille que le Seigneur ne puisse accomplir ? Au moment où je reviendrai chez toi, Sara aura un fils » (Gn 18, 1-15)
Lecture du Livre de la Genèse
En ces jours-là,
aux chênes de Mambré, le Seigneur apparut à Abraham,
qui était assis à l’entrée de la tente.
C’était l’heure la plus chaude du jour.
Abraham leva les yeux,
et il vit trois hommes qui se tenaient debout près de lui.
Dès qu’il les vit, il courut à leur rencontre depuis l’entrée de la tente
et se prosterna jusqu’à terre.
Il dit :
« Mon seigneur, si j’ai pu trouver grâce à tes yeux,
ne passe pas sans t’arrêter près de ton serviteur.
Permettez que l’on vous apporte un peu d’eau,
vous vous laverez les pieds,
et vous vous étendrez sous cet arbre.
Je vais chercher de quoi manger,
et vous reprendrez des forces avant d’aller plus loin,
puisque vous êtes passés près de votre serviteur ! »
Ils répondirent :
« Fais comme tu l’as dit. »
Abraham se hâta d’aller trouver Sara dans sa tente,
et il dit :
« Prends vite trois grandes mesures de fleur de farine,
pétris la pâte et fais des galettes. »
Puis Abraham courut au troupeau,
il prit un veau gras et tendre,
et le donna à un serviteur, qui se hâta de le préparer.
Il prit du fromage blanc, du lait,
le veau que l’on avait apprêté,
et les déposa devant eux ;
il se tenait debout près d’eux, sous l’arbre,
pendant qu’ils mangeaient.
Ils lui demandèrent :
« Où est Sara, ta femme ? »
Il répondit :
« Elle est à l’intérieur de la tente. »
Le voyageur reprit :
« Je reviendrai chez toi au temps fixé pour la naissance,
et à ce moment-là, Sara, ta femme, aura un fils. »
Or, Sara écoutait par-derrière, à l’entrée de la tente.
– Abraham et Sara étaient très avancés en âge,
et Sara avait cessé d’avoir ce qui arrive aux femmes.
Elle se mit à rire en elle-même ; elle se disait :
« J’ai pourtant passé l’âge du plaisir,
et mon seigneur est un vieillard ! »
Le Seigneur Dieu dit à Abraham :
« Pourquoi Sara a-t-elle ri, en disant :
“Est-ce que vraiment j’aurais un enfant,
vieille comme je suis ?”
Y a- t-il une merveille que le Seigneur ne puisse accomplir ?
Au moment où je reviendrai chez toi,
au temps fixé pour la naissance,
Sara aura un fils. »
Sara mentit en disant :
« Je n’ai pas ri »,
car elle avait peur.
Mais le Seigneur répliqua :
« Si, tu as ri. »
– Parole du Seigneur.
EVANGILE
« Beaucoup viendront de l’orient et de l’occident et prendront place avec Abraham, Isaac et Jacob » (Mt 8, 5-17)
Évangile de Jésus Christ selon Saint Matthieu
En ce temps-là,
comme Jésus était entré à Capharnaüm,
un centurion s’approcha de lui et le supplia :
« Seigneur, mon serviteur est couché, à la maison, paralysé,
et il souffre terriblement. »
Jésus lui dit :
« Je vais aller moi-même le guérir. »
Le centurion reprit :
« Seigneur, je ne suis pas digne
que tu entres sous mon toit,
mais dis seulement une parole
et mon serviteur sera guéri.
Moi-même qui suis soumis à une autorité,
j’ai des soldats sous mes ordres ;
à l’un, je dis : “Va”, et il va ;
à un autre : “Viens”, et il vient,
et à mon esclave : “Fais ceci”, et il le fait. »
À ces mots, Jésus fut dans l’admiration
et dit à ceux qui le suivaient :
« Amen, je vous le déclare,
chez personne en Israël, je n’ai trouvé une telle foi.
Aussi je vous le dis :
Beaucoup viendront de l’orient et de l’occident
et prendront place avec Abraham, Isaac et Jacob
au festin du royaume des Cieux,
mais les fils du Royaume seront jetés
dans les ténèbres du dehors ;
là, il y aura des pleurs et des grincements de dents. »
Et Jésus dit au centurion :
« Rentre chez toi,
que tout se passe pour toi selon ta foi. »
Et, à l’heure même, le serviteur fut guéri.
Comme Jésus entrait chez Pierre, dans sa maison,
il vit sa belle-mère couchée avec de la fièvre.
Il lui toucha la main,
et la fièvre la quitta.
Elle se leva,
et elle le servait.
Le soir venu, on présenta à Jésus beaucoup de possédés.
D’une parole, il expulsa les esprits
et, tous ceux qui étaient atteints d’un mal, il les guérit,
pour que soit accomplie
la parole prononcée par le prophète Isaïe :
Il a pris nos souffrances,
il a porté nos maladies.
– Acclamons la Parole de Dieu : Louange à toi, Seigneur Jésus !
Méditation de Père Bernard Devert (RCF)
Le centurion vit une rencontre avec le Christ qui, certes, conduit à la guérison de son serviteur mais pas seulement. Lui-même va connaître une telle transformation que son être s’ouvre à la vie. Il espérait la donner, il la reçoit.
Ce militaire, qui a une certaine stature pour commander une centurie pouvant aller jusqu’à 100 hommes, ne nie pas son indignité pour recevoir le Seigneur. Il ne manque pas de dignité de la façon dont il l’exprime. Homme debout, suffisamment libre, il consent à une libération de lui-même et pas simplement de l’autre.
Les hommes qu’il a sous ses ordres ne lui sont pas indifférents au point que la souffrance de l’un deux, fut-il un serviteur, le met en chemin pour rencontrer celui susceptible de le sauver. Il ne se doute pas alors de l’impact que cette relation va avoir sur lui-même.
Homme, disposant d’un certain pouvoir, ne dit-il pas au Seigneur, « à l’un, je dis « va » et il va ; à un autre : « viens », et il vient, à mon esclave : « fais ceci », et il le fait ».
Matthieu nous dit que Jésus est dans l’admiration : « Je vous le déclare, chez personne en Israël, je n’ai trouvé une telle foi ».
Pourquoi donc ?
De l’impératif, viens, fais ceci, fais cela, ce militaire ne se paie pas d’artifices pour sauver la face, consent à être désarmé. Il rejoint celui dont la Vie et la Parole sont désarmantes. A-t-il entendu, en tout cas il a compris ces mots de Jésus : « je suis venu pour qu’ils aient la vie et qu’ils l’aient en abondance ».
« Va, fais confiance, tout se passera pour toi selon ta foi ». Quel respect de la liberté et par-là même de la compréhension de cet homme.
La confiance qui désormais l’habite, fait de ce centurion un homme d’espérance.
La fragilité n’est plus un risque mais une chance ; la vulnérabilité n’introduit plus l’indignité mais une attitude de liberté pour se démettre de ce qui n’a pas d’avenir.
Magnifique rencontre qui s’ouvre sur une traversée où la vie prend une dimension inattendue ; il ne s’agit plus simplement de dire à l’autre : « viens », et il va, mais d’entrer soi-même dans un autrement où l’appel fait advenir à une réalité de vie, jusque-là insoupçonnée.
La vie, gagnant en justesse, s’éveille sur un nouvel ordre. Ce qui est fort, n’est plus ce que nous nommons juste, pour reconnaître enfin que ce qui est juste devient fort.
Un tel passage, c’est-à-dire une telle pâque, n’est sans doute possible qu’au cœur de l’expérience où l’être se trouve démuni, en tout cas moins fort qu’il ne le pense, mais plus espérant qu’il ne le croit.
Homélie du Père Maximin Noudehou
« En ces jours-là, aux chênes de Mambré, le Seigneur apparut à Abraham, qui était assis à l’entrée de la tente. C’était l’heure la plus chaude du jour. Abraham leva les yeux, et il vit trois hommes qui se tenaient debout près de lui. Dès qu’il les vit, il courut à leur rencontre depuis l’entrée de la tente et se prosterna jusqu’à terre. »
Le Seigneur a choisi l’heure la plus chaude du jour pour rendre visite à son ami. Il vient à lui au moment le plus pénible de sa journée, heure à laquelle il n’a autre refuge, contre le dard du soleil, que sa tente, l’endroit le plus intime de sa demeure. Abraham a le discernement nécessaire pour reconnaître, en ces trois hommes, l’hôte céleste. Ils étaient debout près de lui mais il a fallu encore qu’il court vers eux et se tienne dans une attitude d’adoration.
Dieu ne manque pas de venir à nous à l’heure la plus chaude de notre vie. (Cf. Jean 4, 6-7 ; Matthieu 27, 45) Il vient quand nous cherchons refuge dans notre cœur, quand l’épreuve nous contraint à l’intériorité. C’est en ce lieu que notre discernement peut s’affiner et que nous pouvons reconnaître le Seigneur debout près de nous, c’est-à-dire dans une attitude de résurrection. Mais ce Dieu qui se fait si près de nous est, dans le même temps, si loin qu’il nous faut courir à sa rencontre. Il est à la fois si proche et si loin. Il est assez proche pour se faire reconnaître et assez loin pour que notre désir s’enflamme et que notre cœur s’élance. Il est si proche pour se rendre accessible et si loin pour notre liberté s’active.
Ce qui fait la grandeur de Dieu, c’est sa proximité respectueuse.
Es-tu disposé(e) à courir vers ton Dieu ?
« Abraham se hâta d’aller trouver Sara dans sa tente, et il dit : « Prends vite trois grandes mesures de fleur de farine, pétris la pâte et fais des galettes. » Puis Abraham courut au troupeau, il prit un veau gras et tendre, et le donna à un serviteur, qui se hâta de le préparer. Il prit du fromage blanc, du lait, le veau que l’on avait apprêté, et les déposa devant eux. »
Après avoir imploré ces mystérieux voyageurs d’accepter son hospitalité, Abraham a mobilisé toute sa maisonnée pour les accueillir. Il a impliqué à la fois Sara, sa femme, et un de ses serviteurs, tout en activant lui-même. Et ses offrandes, il les déposa devant eux, dans un acte liturgique. Puis, il demeura debout, près d’eux, dans une attitude de service.
Pour accueillir le Seigneur notre Dieu, il convient que nous mobilisions tout notre être : Sara, c’est-à-dire notre cœur et tout son amour ; les serviteurs, c’est-à-dire nos facultés et toute notre volonté ; la farine, le veau gras et le fromage et le lait, c’est-à-dire tout notre avoir et toute notre génie. Pour recevoir le Seigneur il convient que nous nous offrions entièrement à Lui, que nous nous fassions recevoir par Lui.
L’hospitalité est un acte d’humilité et d’offrande.
« Au moment où je reviendrai chez toi, au temps fixé pour la naissance, Sara aura un fils. » Sara mentit en disant : « Je n’ai pas ri », car elle avait peur. Mais le Seigneur répliqua : « Si, tu as ri. » »
Après avoir agréé les offrandes d’Abraham, le Seigneur lui réitéra sa promesse de lui donner une descendance par Sara : « Je reviendrai chez toi au temps fixé pour la naissance, et à ce moment-là, Sara, ta femme, aura un fils. » Cette parole suscita l’hilarité chez Sara, comme ce fut le cas chez Abraham. (Cf. Genèse 17, 17) Mais le Seigneur la confondit de mensonge. Dieu venait ainsi de manifester sa puissance à Sara. Il se fit connaître comme le Dieu qui connaît les cœurs et les reins. Par Sara, la grâce de la foi atteignait les profondeurs de l’être d’Abraham. Il découvrait que rien n’échappe aux yeux du Seigneur, qu’Il est vraiment le Maître du visible et de l’invisible. Les conditions étaient à présent remplies pour que la grâce porte du fruit. Abraham et Sara sont désormais unis dans un même amour, dans une même promesse et dans une même foi.
Nous sommes si lents à donner totalement notre confiance au Seigneur. Et notre manque de foi retarde la réalisation des promesses de Dieu en notre faveur. Mais Dieu sait prendre patience avec nous. Il nous renouvelle sans cesse ses promesses et travaille à vaincre progressivement nos réticences et nos résistances pour nous faire entrer dans sa joie. C’est le temps de la maturation de notre foi.
Croire, c’est rire avec Dieu.
Y a- t-il une merveille que le Seigneur ne puisse accomplir ?
Paroles du Pape François
La reconnaissance la plus émouvante de la pauvreté de notre prière a peut-être fleuri sur les lèvres de ce centurion romain qui, un jour, a supplié Jésus de guérir son serviteur malade. Il se sent tout à fait inadéquat: il n’est pas juif, il est officier dans l’armée d’occupation détestée. Mais le souci qu’il avait de son serviteur le pousse à oser et il dit: « Seigneur, je ne suis pas digne que tu entres sous mon toit, mais dis seulement une parole et mon serviteur sera guéri. » C’est la phrase que nous répétons également dans chaque liturgie eucharistique. Dialoguer avec Dieu est une grâce: nous n’en sommes pas dignes, nous n’avons pas le droit d’avoir des prétentions, nous « boitons » avec chaque mot et chaque pensée… Mais Jésus est la porte qui ouvre à ce dialogue avec Dieu.
Pape François, Audience générale, 3 mars 2021, Source : https://www.vaticannews.va/
Notre Père
Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour. Pardonne nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensé. Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal. Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Par ta miséricorde, libère-nous du péché, rassure-nous devant les épreuves en cette vie où nous espérons le bonheur que tu promets et l’avènement de Jésus le Christ, notre Sauveur. Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen ! Seigneur Jésus-Christ, tu as dit à tes Apôtres : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix ». Ne regarde pas nos péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen ! |
Prière à Marie
Je vous salue Marie pleine de grâce, le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, Maintenant et à l’heure de notre mort. |

Prière à Joseph
Toi que la grâce divine a comblée.
Le Seigneur a reposé dans tes bras,
Le Sauveur a grandi sous tes yeux.
Je te salue Joseph,
Entre tous les hommes Tu es béni,
Jésus, l’Enfant divin de Marie,
ta virginale épouse, est béni.
Saint Joseph donné pour père au Fils de Dieu,
Saint Joseph ô prie pour nous
dans nos soucis de la vie,
pour nos famille, notre santé, notre travail.
Saint Joseph, prie pour nous
Jusquà nos derniers jours
Saint Joseph, prie pour nous
à l’heure de notre mort.
Amen, amen, amen
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