Présence active dans le monde

Bonjour les amis,

Installons nous confortablement et prenons le temps de faire silence pour nous rendre présent au Seigneur. Aujourd’hui, Jésus parcourt toute une région et les gens le reconnaissent et se précipitent vers Lui.
Seigneur, que nous aussi, nous allions vers Toi avec confiance. Au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit.

 » Bénis le Seigneur, ô mon âme ; Seigneur mon Dieu, tu es si grand ! Revêtu de magnificence, tu as pour manteau la lumière ! Tu as donné son assise à la terre : qu’elle reste inébranlable au cours des temps. Tu l’as vêtue de l’abîme des mers : les eaux couvraient même les montagnes. Dans les ravins tu fais jaillir des sources et l’eau chemine aux creux des montagnes ; les oiseaux séjournent près d’elle : dans le feuillage on entend leurs cris. Quelle profusion dans tes œuvres, Seigneur ! Tout cela, ta sagesse l’a fait ; la terre s’emplit de tes biens. Bénis le Seigneur, ô mon âme ! » Ps 103 (104)

L’évangile du jour comme celui d’hier nous montre Jésus qui sort et va au contact des gens, de la synagogue, de la maison de Simon-Pierre, en direction des villages de Galilée, à Génésareth. Peut-être peut-on dire que la mission de Jésus est de sortir pour rencontrer : Il est sorti du Père pour venir dans notre monde et conduire notre monde au Père. D’une autre manière, Il est sorti du Père pour venir en nous, et nous conduire vers le Père. Mais c’est une sortie exigeante, qui nous demande, d’accepter de sortir, de notre confort, de nos peurs, de notre zone de sécurité. Le Pape et notre évêque nous parlent souvent de l’église en sortie, présente, active, et vivante au milieu du monde. N’est-ce pas aussi le message que Jésus veut transmettre à nous tous, et que nous retransmettions à tous, en particulier ceux qui sont loin de Dieu, un message qui change la vie et qui redonne vie : Dieu vient à toi, Dieu lui-même est avec toi, parce qu’Il t’aime. Ne te détourne pas de Lui, de son Amour pour toi, accepte-le, fais-Lui confiance.
Comme nous le disait saint Paul hier : « Frères, annoncer l’Évangile, ce n’est pas là pour moi un motif de fierté, c’est une nécessité qui s’impose à moi. Malheur à moi si je n’annonçais pas l’Évangile ! »
Jésus parle mais Il agit aussi, avec des gestes qui montrent la puissance de Dieu. Jésus joint les actes aux paroles. Cela nous aide bien sûr à entendre et croire son message de Vie quand nous le voyons guérir et redonner la santé aux malades. Mais ses Paroles seules sont tout aussi porteuses de vie, et je pense que Jésus désire que nous le cherchions aussi pour Ses paroles de vie et que nous méditions et relisions les événements de notre vie pour y voir sa présence et ses guérisons.
Puis hier nous voyions Jésus encore agir pour ramener la Vie en chassant les démons, nos démons, ceux du mensonge, du péché, des ténèbres. Le malin qui nous attire avec ses tentations de pouvoir, de grandeur, d’honneurs et de facilité, un des grands maux de notre époque, a toujours pour but de nous éloigner de l’amour de Dieu. Jésus ne peut supporter de nous voir souffrir et il agit encore avec puissance pour nous libérer . Saint Paul nous précise au sujet de cette liberté : « Vous, frères, vous avez été appelés à la liberté. Mais que cette liberté ne soit pas un prétexte pour votre égoïsme ; au contraire, mettez-vous, par amour, au service les uns des autres. » (Ga 5, 13).
Le message de Jésus est donc un message de vie et d’amour. Jésus vient pour nous faire entrer dans cette vie, si nous le voulons vraiment. Alors laissons-nous entraîner par cet appel de Jésus, Allons vers Lui comme la foule de l’évangile du jour, qui « le suppliaient de leur laisser toucher ne serait-ce que la frange de son manteau. » (Mc 6, 56),  cherchons à Le voir, Le toucher, et laissons-Le nous libérer, laissons-Le nous guérir, acceptons de Le suivre dans cette sortie à la rencontre de ceux et celles qui ont besoin d’entendre la Bonne Nouvelle ou besoin de charité.
Hier comme aujourd’hui, vous noterez que Jésus ne guérit pas des foules mais des personnes, des individus, un par un. Jésus rencontre chacun, et ses gestes de jésus sont simples et brefs, comme une main posée sur la main d’un malade, comme un regard échangé, mais ils sont source de vie, « tous ceux qui la touchèrent étaient sauvés » (Mc 6, 56),  Jésus nous tend la main quand nous sommes malades, accablés, inquiets, découragés, et sans espoir, allons à sa rencontre et tendons-Lui la nôtre, dans la prière, en faisant comme Lui : «Le lendemain, bien avant l’aube, Jésus se leva. Il sortit et alla dans un endroit désert, et là il priait» (Mc 1,35), et Il nous restaure, nous libère et nous relève, pour que nous soyons de nouveau capables d’aimer, de donner et de nous donner comme serviteurs de Dieu, d’aller nous-mêmes à la rencontre de malades, passer quelques instants avec eux, de leur prendre la main, de les regarder, parfois sans rien dire, juste pour leur montrer qu’elles sont toujours vivantes, qu’elles sont aimées, ainsi à travers nous, Jésus les relève et leur redonne la force et l’envie de continuer à vivre, et de lutter contre la maladie.
Enfin je peux témoigner que la vraie guérison, c’est la conversion du cœur, c’est-à-dire ce jour où j’ai décidé d’orienter tout mon être et ma vie vers Dieu, de monter dans sa barque. Relié en permanence à la vraie source de ma vie, par la prière, la louange, la charité, je sens en moi la vie de Jésus qui circule en moi. Je sais que Jésus a beaucoup à me donner et à nous tous : la paix, la joie, la vie. A choisir Jésus comme le Seigneur de ma vie, au-delà des difficultés, des problèmes, rien ne peut ébranler ma confiance en Jésus, car Il a tout changé dans ma vie, dans la manière dont je vis ma vie. Habité par son Amour et sa Paix, Il a fait de moi une création nouvelle :  « Voici que je fais toutes choses nouvelles ». Je le vois chaque jour. Observez et vous verrez qu’Il en fait de même pour vous.

Comme ceux qui furent guéris de leurs maladies en touchant les vêtements de Jésus, nous pouvons nous aussi être guéris de nos démons, de tout ce qui est mauvais en nous en recevant Notre Seigneur avec foi.

Merci, Seigneur, de l’expérience que j’ai de Toi chaque jour, à naviguer dans Ta barque, à me laisser guider par Toi. Grâce à cette expérience, je Te cherche en moi. Et Toi aussi, Tu me cherches chaque jour, Tu cherches ma réponse, mon amour, ma confiance, en réponse à l’amour immense, à la patience et la confiance que Tu as pour moi.

Belle prière à tous,
Nathalie et Pascal

CHANT

Abba Père

Bien avant le chant qui créa l’univers
Bien avant l’Esprit qui planait sur la Terre
Bien avant que tu me formes de la poussière
Tu rêvais du jour ou Tu pourrais m’aimer

Bien avant les premiers battements de mon coeur
Bien avant que je m’éveille à Ta douceur
Bien avant mes doutes, mes joies et mes douleurs
Tu rêvais du jour ou je pourrais T’aimer (X2)

Abba Père, je suis à Toi (4X)

Bien avant que Jésus marche sur la Terre
Bien avant le Fils qui nous montre le Père
Bien avant que les cieux sur moi soient ouverts
Tu rêvais du jour ou Tu pourrais m’aimer

Bien avant que mon péché brise Ton coeur
Bien avant que coulent le sang et la sueur
Bien avant les clous, le froid, et la douleur
Tu rêvais du jour ou je pourrais T’aimer (X2)

Abba Père, je suis émerveillé
Saisi par l’immensité de Ton amour pour moi
Abba Père, si grande est ta tendresse
Ton coeur est grand ouvert, et je viens plonger dans Tes bras

PREMIERE LECTURE

« Dieu dit. Et ce fut ainsi » (Gn 1, 1-19)

Lecture du livre de la Genèse

Au commencement,
Dieu créa le ciel et la terre.
La terre était informe et vide,
les ténèbres étaient au- dessus de l’abîme
et le souffle de Dieu planait au- dessus des eaux.
Dieu dit :
« Que la lumière soit. »
Et la lumière fut.
Dieu vit que la lumière était bonne,
et Dieu sépara la lumière des ténèbres.
Dieu appela la lumière « jour »,
il appela les ténèbres « nuit ».
Il y eut un soir, il y eut un matin :
premier jour.
Et Dieu dit :
« Qu’il y ait un firmament au milieu des eaux,
et qu’il sépare les eaux. »
Dieu fit le firmament,
il sépara les eaux qui sont au-dessous du firmament
et les eaux qui sont au-dessus.
Et ce fut ainsi.
Dieu appela le firmament « ciel ».
Il y eut un soir, il y eut un matin :
deuxième jour.
Et Dieu dit :
« Les eaux qui sont au-dessous du ciel,
qu’elles se rassemblent en un seul lieu,
et que paraisse la terre ferme. »
Et ce fut ainsi.
Dieu appela la terre ferme « terre »,
et il appela la masse des eaux « mer ».
Et Dieu vit que cela était bon.
Dieu dit :
« Que la terre produise l’herbe,
la plante qui porte sa semence,
et que, sur la terre, l’arbre à fruit donne,
selon son espèce,
le fruit qui porte sa semence. »
Et ce fut ainsi.
La terre produisit l’herbe,
la plante qui porte sa semence, selon son espèce,
et l’arbre qui donne, selon son espèce,
le fruit qui porte sa semence.
Et Dieu vit que cela était bon.
Il y eut un soir, il y eut un matin :
troisième jour.
Et Dieu dit :
« Qu’il y ait des luminaires au firmament du ciel,
pour séparer le jour de la nuit ;
qu’ils servent de signes
pour marquer les fêtes, les jours et les années ;
et qu’ils soient, au firmament du ciel,
des luminaires pour éclairer la terre. »
Et ce fut ainsi.
Dieu fit les deux grands luminaires :
le plus grand pour commander au jour,
le plus petit pour commander à la nuit ;
il fit aussi les étoiles.
Dieu les plaça au firmament du ciel
pour éclairer la terre,
pour commander au jour et à la nuit,
pour séparer la lumière des ténèbres.
Et Dieu vit que cela était bon.
Il y eut un soir, il y eut un matin :
quatrième jour.
– Parole du Seigneur.

EVANGILE

« Tous ceux qui touchèrent la frange de son manteau étaient sauvés » (Mc 6, 53-56)

Évangile de Jésus Christ selon Saint Marc

En ce temps-là,
après la traversée,
abordant à Génésareth
Jésus et ses disciples accostèrent.
Ils sortirent de la barque,
et aussitôt les gens reconnurent Jésus :
ils parcoururent toute la région,
et se mirent à apporter les malades sur des brancards
là où l’on apprenait que Jésus se trouvait.
Et dans tous les endroits où il se rendait,
dans les villages, les villes ou les campagnes,
on déposait les infirmes sur les places.
Ils le suppliaient de leur laisser toucher
ne serait-ce que la frange de son manteau.
Et tous ceux qui la touchèrent
étaient sauvés.

– Acclamons la Parole de Dieu : Louange à toi, Seigneur Jésus !

Méditation du Père Michel Quesnel (RCF)

Au départ, Jésus avait envoyé ses disciples vers Bethsaïde, sur la rive orientale du lac de Tibériade. Mais pendant la traversée, il les avait rejoints en marchant sur les eaux et, finalement, ils abordent à Génésareth, sur la rive juive, près de l’endroit où avait eu lieu la multiplication des pains. Jésus prend alors le risque d’être reconnu, et cela ne manque pas. Les foules affluent pour le rejoindre.

Elle est ambiguë, cette foule. Un peu plus tôt dans l’évangile de Marc, elle avait été tellement insistante que Jésus avait dû prendre ses distances pour éviter d’être écrasé sous l’afflux des quémandeurs. Maintenant, c’est différent, il se laisse faire. Une telle force émane de lui que certaines personnes se trouvent guéries rien qu’en touchant la frange de son manteau. Cela s’était déjà produit avec une femme ayant des pertes de sang pendant que Jésus se rendait chez Jaïre. Peut-on résister devant tant de misère ?

Il est vrai que la pauvreté et la misère des autres agressent, quand on va bien. Inévitablement on culpabilise : pourquoi ai-je de quoi me loger et me nourrir alors que d’autres vivent dans la rue en plein hiver et doivent se contenter d’une nourriture frugale ? Jamais je ne pourrai soulager tous ces pauvres. Alors quoi ? Puisque je ne peux venir à bout de toute cette misère, vais-je me contenter de ne rien faire ?

Non. Ne restons pas dans une logique du tout ou rien. Jésus s’est laissé attendrir, je serais lâche de ne pas en faire autant. Ce n’est pas parce que le tout est impossible que je dois me contenter de ne rien faire. Donner et me donner jusqu’à faire un peu mal à mon emploi du temps ou à mon porte-monnaie, c’est le minimum.

Homélie du Père Maximin Noudehou

« Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre. La terre était informe et vide, les ténèbres étaient au- dessus de l’abîme et le souffle de Dieu planait au- dessus des eaux. »

Dieu préexiste à toute chose. Et Il est le Créateur de tout. Tout, depuis les origines, dépend donc de Lui. L’œuvre de la création a été progressive. Ainsi, la notion du temps apparaît comme un élément fondamental de l’œuvre de Dieu. Nous sommes inscrits dans le temps et notre réalisation se déploie dans le temps. D’une certaine manière, notre rapport au temps témoigne de notre rapport à Dieu et de la conscience de notre accomplissement.
C’est en disant que Dieu fit. C’est par sa Parole qu’Il réalisa tout. La Parole de Dieu se révèle performante, féconde, vitale, source d’ordre, d’harmonie, de bien et de bonté… Notre relation à la Parole de Dieu est ici interrogée. Prendre conscience que c’est par sa Parole que Dieu crée nous exhorte à mettre notre confiance totale en sa Parole : il n’y a rien de ténébreux, de mauvais, de nuisible, de destructeur dans la Parole de Dieu. La Bonté de Dieu devrait en être, pour nous, le premier critère d’interprétation…
Que la lumière soit l’œuvre du premier jour révèle qu’à travers sa création, Dieu veut être connu et reconnu. En Lui est la lumière et tous les éléments lumineux la reçoivent de Lui. Et le temps a commencé avec la lumière. Du fait que tout est créé par Dieu, chaque élément prend de l’importance et concourt à la révélation de son Créateur. Dans le même temps, rien ne doit revêtir un caractère sacré. Notre relation aux créatures ne peut avoir de prédominance par rapport au Créateur.

Et Dieu vit que cela était bon.
Quel regard portes-tu sur la création ?

Paroles du Pape François

Prendre soin des malades, mission intégrante de l’Église

Après une interruption de plus d’un mois et demi, le Pape est de nouveau réapparu ce dimanche à la fenêtre du palais apostolique, place Saint-Pierre. Depuis le 20 décembre, les angélus avaient été récités dans la bibliothèque du palais en raison des mesures sanitaires italiennes contre la covid-19. Elles ont été allégées ces derniers jours, ce qui permet aux fidèles de retrouver un contact visuel avec le Saint-Père.

La pandémie, il en a d’ailleurs été question dans la catéchèse de l’Évangile de ce 5e dimanche du temps ordinaire. Elle rend «particulièrement actuel» le message délivré par Jésus quand il guérit la belle-mère de Simon-Pierre. Le comportement et le geste de Jésus sont «emblématiques» explique François : «il y a tant de douceur dans ce simple geste qui apparait presque naturel»«Jésus s’approche, la saisit par la main et la fit lever» raconte l’Évangile de Marc. Et la belle-mère, à peine guérie, pense immédiatement aux autres et non à elle-même, «signe d’une vraie “santé”», souligne le Pape.

L’Église dans les pas de Jésus

Dans cet épisode, «Jésus montre sa prédilection pour les personnes souffrantes dans le corps et dans l’âme : c’est la prédilection du Père qu’Il incarne et manifeste par ses œuvres et ses paroles», poursuit le Saint-Père. Et Jésus a voulu que ses disciples ne se contentent pas d’être témoins mais agissent. «Il leur a donné le pouvoir de guérir les malades et de chasser les démons».

Et cette faculté s’est transmise dans l’Église. «Prendre soin des malades de toute sorte n’est pas pour l’Église une “activité optionnelle”, quelque chose d’accessoire ; non, cela fait partie intégrante de la mission de l’Église», précise le Pape. Et la Journée mondiale du malade, célébrée le 11 février et instituée par saint Jean-Paul II nous le rappelle. Face à notre condition humaine, «si grande dans la dignité et en même temps si fragile», Jésus a répondu à la souffrance, non pas en donnant une explication, «mais par une présence d’amour qui s’incline, qui se penche, qui prend par la main et relève».

Jésus n’agit pas de la hauteur de sa position, «pas à distance», mais bien «par sa proximité, par la tendresse, par la compassion», explique François. Et «cette compassion plonge ses racines dans la relation intime avec le Père», Jésus priant avant et après avoir guéri.

Pape François, Angélus, 07 Février 2021, Source : https://www.vaticannews.va/

Notre Père

Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous  aujourd’hui  notre  pain  de  ce  jour.
Pardonne  nous  nos  offenses,  comme  nous  pardonnons  aussi  à  ceux qui nous ont offensé.
Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal.

Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Par ta miséricorde, libère-nous du péché, rassure-nous devant  les  épreuves  en  cette  vie  où  nous  espérons  le  bonheur  que  tu  promets  et  l’avènement  de  Jésus  le Christ,  notre  Sauveur.

Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen !

Seigneur  Jésus-Christ,  tu  as  dit  à  tes  Apôtres  :  « Je  vous  laisse  la  paix,  je  vous  donne  ma  paix ». Ne  regarde  pas  nos  péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen !

Prière à Marie





Je vous salue Marie pleine de grâce, le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.

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