Bonjour les amis,
Seigneur, je sais que Tu es toujours avec moi et que Tu m’accompagnes en tout ce que je fais. Maintenant je veux prendre ces quelques minutes pour Te donner toute mon attention. Je veux me mettre à l’écoute de ta Parole et T’exprimer tout ce que je ressens.
Aujourd’hui nous fêtons la Sainte Famille. La famille est le lieu où nous sommes appelés tous à l’amour, mais qui trop souvent est aussi lieu de blessures et de tensions qui peuvent paraître insurmontables.
Seigneur, j’accueille un instant cette réalité familiale, puis accorde-moi d’observer la beauté de la Sainte Famille et de l’imiter dans ma vie.
Notre regard s’étend à tout ce qui entoure le centre de la crèche, Jésus, afin de contempler tout près de Lui, Marie et Joseph. Le Fils du Père passe de sa famille céleste à sa famille terrestre. Nous pouvons déjà nous dire que la famille est quelque chose de très important aux yeux de Dieu pour que ce soit la première chose qu’il donne à son Fils sur terre ! Nos papes ont d’ailleurs souvent répété l’importance fondamentale de la famille comme base de l’Église et de la société humaine, et nous ont toujours incités à prier pour la famille. Si la famille va bien, la société et l’Église iront bien.
«Le rôle des parents est, en effet, de créer une atmosphère familiale, animée par l’amour et la piété envers Dieu et les hommes, qui favorise l’éducation intégrale, personnelle et sociale de leurs enfants». C’est dans le cercle de la famille que nous apprenons à être.
Nous vous proposons cette prière personnelle pour nos familles :
Seigneur, je Te remercie d’être présent chez moi, au milieu de ma famille, aussi ordinaire soit elle.
Seigneur, en contemplant Ta famille, je veux que ma vie et ma famille soient comme la tienne, où Jésus grandissait et se fortifiait, rempli de sagesse, ressentant la chaleur d’une famille construite à travers des relations d’amour et de confiance, avec un esprit de sacrifice et de prière, avec une grande capacité pour écouter, comprendre et pardonner, avec Dieu comme moteur, obéissante à la volonté de Dieu, emplie de gratitude pour Dieu, et avec un cœur brulant d’amour pour Dieu.
Seigneur, aide notre couple à rester uni par l’amour, d’un amour rayonnant, à vivre réellement ensemble et non pas comme 2 mariés célibataires, dans le dialogue et dans l’écoute bienveillante. Relisons souvent les paroles de Saint Paul dans sa 1ère lettre aux Corinthiens : « l’amour supporte tout, il fait confiance en tout, il espère tout, il endure tout. ».
Aide-nous à être des parents attentifs à leurs enfants, prêts à leur donner le meilleur de nous-mêmes, à leur construire un nid où ils pourront grandir et se fortifier, c’est-à-dire bien connaître et accepter leurs forces, leurs faiblesses, leurs talents, leurs envies profondes et non pas projeter sur eux nos propres envies ou rêves non accomplis.
Aide-nous à accompagner nos enfants sur leur chemin de vie, à les faire se questionner librement et non pas leur imposer des réponses ou des choix.
Seigneur, qu’un membre de notre famille, fragile, différent soit une force et une source de richesse pour nos familles.
Que nous soyons des parents ordinaires, heureux d’être de simples serviteurs de nos enfants, avec une foi attentive et vigilante en leur avenir.
Aide nos familles à être des lieux de Vie, des lieux où les chemins mortifères n’ont pas de place.
Seigneur, dans nos simples vies, Tu nous combles de grâces extraordinaires, et nous T’en rendons gloire. Apprends-nous à faire rayonner ces grâces, et à vivre, de manière extraordinaire, toutes les choses ordinaires de notre vie.
Avec Marie et Joseph, apprends-nous le chemin de la sainteté ordinaire.
Seigneur, envoie sur nos familles ton Esprit Saint, afin qu’il réalise cette transformation en moi, en nous, et que nous goûtions un peu le ciel et la terre réunis.
Jésus, Marie, Joseph, bénissez et protégez toutes les familles du monde. Nous Vous confions toutes les familles désunies, séparées, blessées, souffrantes. Aidez-les, comblez-les de Vos bienfaits, de Votre amour, de Votre bienveillance.
Qu’en leur sein règnent à nouveau la sérénité et la joie, la justice et la paix que le Christ, par sa naissance, a apportées comme don à l’humanité.
Enfin, faisons notre cette belle prière peu connue au Père des pères de famille :
Je vous salue, Joseph, Vous que la grâce divine a comblé.
Le sauveur a reposé entre vos bras et grandi sous vos yeux.
Vous êtes béni entre tous les hommes et Jésus, l’enfant divin de votre virginale épouse est béni.
Saint Joseph, donné pour père au Fils de Dieu, priez pour nous dans nos soucis de famille, de santé et de travail, jusqu’à nos derniers jours, et daignez nous secourir à l’heure de notre mort.
Amen.
Belle prière à tous,
Nathalie et Pascal
CHANT
La guérison (Glorious) Nous implorons la guérison sur nos familles, sur nos enfants …
Dans chaque vie chaque maison Vienne en nos coeurs la guérison
Abba Abba Tu nous prends dans Tes bras
Abba Abba nous avons foi en Toi
Aucun autre dieu, aucun autre roi Donne guérison donne paix et joie Ouvrons Lui nos bras Abba
EVANGILE
« L’enfant grandissait et se fortifiait, rempli de sagesse » (Lc 2, 22-40)
Évangile de Jésus Christ selon Saint Matthieu
Quand fut accompli le temps prescrit par la loi de Moïse
pour la purification,
les parents de Jésus l’amenèrent à Jérusalem
pour le présenter au Seigneur,
selon ce qui est écrit dans la Loi :
Tout premier-né de sexe masculin
sera consacré au Seigneur.
Ils venaient aussi offrir
le sacrifice prescrit par la loi du Seigneur :
un couple de tourterelles
ou deux petites colombes.
Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon.
C’était un homme juste et religieux,
qui attendait la Consolation d’Israël,
et l’Esprit Saint était sur lui.
Il avait reçu de l’Esprit Saint l’annonce
qu’il ne verrait pas la mort
avant d’avoir vu le Christ, le Messie du Seigneur.
Sous l’action de l’Esprit, Syméon vint au Temple.
Au moment où les parents présentaient l’enfant Jésus
pour se conformer au rite de la Loi qui le concernait,
Syméon reçut l’enfant dans ses bras, et il bénit Dieu en disant :
« Maintenant, ô Maître souverain,
tu peux laisser ton serviteur s’en aller
en paix, selon ta parole.
Car mes yeux ont vu le salut
que tu préparais à la face des peuples :
lumière qui se révèle aux nations
et donne gloire à ton peuple Israël. »
Le père et la mère de l’enfant
s’étonnaient de ce qui était dit de lui.
Syméon les bénit,
puis il dit à Marie sa mère :
« Voici que cet enfant
provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël.
Il sera un signe de contradiction
– et toi, ton âme sera traversée d’un glaive – :
ainsi seront dévoilées les pensées
qui viennent du cœur d’un grand nombre. »
Il y avait aussi une femme prophète,
Anne, fille de Phanuel, de la tribu d’Aser.
Elle était très avancée en âge ;
après sept ans de mariage,
demeurée veuve,
elle était arrivée à l’âge de quatre-vingt-quatre ans.
Elle ne s’éloignait pas du Temple,
servant Dieu jour et nuit dans le jeûne et la prière.
Survenant à cette heure même,
elle proclamait les louanges de Dieu
et parlait de l’enfant
à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem.
Lorsqu’ils eurent achevé tout ce que prescrivait la loi du Seigneur,
ils retournèrent en Galilée, dans leur ville de Nazareth.
L’enfant, lui, grandissait et se fortifiait,
rempli de sagesse,
et la grâce de Dieu était sur lui.
– Acclamons la Parole de Dieu : Louange à toi, Seigneur Jésus !
Méditation du Père Jean-Marie Petitclerc (RCF)
« Vos enfants ne sont pas vos enfants. Ils viennent à travers vous mais non de vous. Et bien qu’ils soient de vous, ils ne vous appartiennent pas. » écrivait dans un texte devenu aujourd’hui célèbre le poète libanais Khalil Gibran. Le couple chrétien est invité à recevoir l’enfant comme un don de Dieu. Tel est le sens de la présentation de Jésus au temple par ses parents, Joseph et Marie, invités à reconnaître le don de Dieu dans cet enfant qu’ils accueillent dans leur famille que nous aimons qualifier de « sainte ».
Leur rôle, comme celui de toute famille, est d’offrir à l’enfant ce lieu où il pourra grandir et se fortifier, pour reprendre les termes du dernier verset de ce récit.
La famille, un lieu pour grandir. Ceci nécessite que les parents n’enferment pas leur enfant dans les projections qu’ils effectuent sur lui… Il ne s’agit pas en effet de faire en sorte que l’enfant réalise le projet de ses parents, mais de l’aider à réaliser son propre projet, en répondant à sa vocation. Peut-être Joseph a-t-il rêvé à un moment de pouvoir confier à Jésus son atelier de charpentier ? Il devra faire le deuil d’un tel projet !
La famille, un lieu pour se fortifier. Et l’homme est ainsi fait qu’il n’est capable d’affronter une difficulté qu’en se remémorant ses réussites antérieures. Le rôle important que doit jouer la famille, c’est d’aider l’enfant à mémoriser ses réussites. J’aime dire aux parents combien il est important de fêter le premier pas de l’enfant, ses premiers plongeons dans la piscine, ses premiers tours de vélo. C’est en aidant l’enfant à mémoriser ses réussites qu’on le fortifie pour affronter les difficultés des lendemains. J’ai expérimenté, comme éducateur, les dégâts causés chez l’enfant lorsque son entourage est continuellement prêt à souligner ses échecs. Fortifier l’enfant, c’est veiller à la construction de son estime de soi.
En fêtant aujourd’hui la sainte famille, puissent tous les parents, à l’exemple de Marie et Joseph, prendre conscience de leur responsabilité éducative !
Homélie du Père Maximin Noudehou
« …selon ce qui est écrit dans la Loi. »
Fidélité et espérance apparaissent comme les maîtres-mots de cet extrait. « Quand fut accompli le temps prescrit par la loi de Moïse pour la purification, les parents de Jésus l’amenèrent à Jérusalem pour le présenter au Seigneur, selon ce qui est écrit dans la Loi. […] Lorsqu’ils eurent achevé tout ce que prescrivait la loi du Seigneur, ils retournèrent en Galilée, dans leur ville de Nazareth. »
Marie et Joseph s’inscrivent dans une fidélité totale à la Loi du Seigneur. Ils ne se targuent pas de la divinité de leur Fils pour s’y soustraire. La grâce, qui leur est faite d’être les parents de Jésus, n’est point pour eux une licence. Bien au contraire, elle est un appel à s’enraciner dans la fidélité à Dieu. En effet, Dieu ne peut être infidèle (à Lui-même). L’exemple de la famille de Nazareth nous rappelle que la fidélité (à Dieu), est une vertu capitale pour toute famille. Il nous révèle que la véritable grandeur d’une famille, sa perfection, sa richesse, sa noblesse, se trouvent dans sa capacité à communier dans la fidélité. Car, la fidélité est un autre nom de l’amour. Étant donné que « l’amour se paie par l’amour » (Ste Thérèse), plus nous en recevons plus nous sommes appelés à en donner ; ou plutôt, plus nous sommes rendus capables d’en donner. C’est l’occasion de méditer sur tout ce que nous considérons comme des privilèges et sur ce que nous en faisons…
Rien ni personne ne sauraient nous dispenser d’aimer, d’aimer Dieu.
Que fais-tu de l’amour que tu reçois ?
…selon ce qui est écrit dans la Loi.
Le vieillard Syméon et Anne sont deux autres figures de cette fidélité et de cette espérance. Au sujet du premier, il est dit : « C’était un homme juste et religieux, qui attendait la Consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui. Il avait reçu de l’Esprit Saint l’annonce qu’il ne verrait pas la mort avant d’avoir vu le Christ, le Messie du Seigneur. » Quant à Anne, « elle ne s’éloignait pas du Temple, servant Dieu jour et nuit dans le jeûne et la prière. » Le premier attendait la Consolation d’Israël. La seconde entretenait l’espérance de ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem.
Syméon est demeuré dans une confiance indéfectible à l’Esprit Saint. Il L’écoutait, il se laissait guider par Lui, il parlait sous son inspiration. Il est la figure de cet Israël en qui le Saint-Esprit entretient la jeunesse de la grâce. Il est la figure de cet Israël qui ne désespère pas. Symeon nous appelle à raviver en nous la grâce du Saint-Esprit.
Anne, restée veuve après sept ans de mariage, préfigure le nouveau Peuple de Dieu, les tribus de ce nouvel Israël (84 = 12 x 7). Elle est la figure de cette communauté et de toutes ces personnes qui recherchent un amour et une espérance qui ne déçoivent pas. Elle est la figure de cette communauté et de ces personnes qui, bien qu’ayant perdu leur repère, leur appui, l’objet de toute leur affection en ce monde, continuent de croire en Dieu, de Lui rester fidèles dans la présence, la prière et le jeûne.
Rien ni personne ne sauraient nous ravir l’espérance.
Qu’est-ce qui te permet de tenir dans l’épreuve ?
…selon ce qui est écrit dans la Loi.
En s’adressant à Marie, Syméon éveille à une autre dimension de la fidélité et de l’espérance : « Voici que cet enfant provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de contradiction – et toi, ton âme sera traversée d’un glaive – : ainsi seront dévoilées les pensées qui viennent du cœur d’un grand nombre. »
Cet Enfant, Jésus, et le Signe par excellence de la Fidélité. C’est en Lui et par Lui que toute fidélité prend sens. C’est ainsi que se manifestent la chute, le relèvement et la contradiction. Il vient nous ouvrir à la Fidélité véritable qui s’accomplit sur la Croix. C’est à cette heure que le glaive a effectivement transpercé le Cœur de Marie, ce Cœur plein d’espérance et d’amour. Nous découvrons, avec Marie, que seul un cœur qui espère est capable de souffrir ; et seul un cœur qui espère peut aller au-delà de la souffrance. Elle est pour nous un modèle de foi, d’amour (maternel) et d’espérance. Elle nous dit que rien n’est perdu pour Dieu. Elle est l’antidote contre toute hypocrisie… Devant une figure si imminente nous ne pouvons qu’avoir admiration et vénération.
Elles ne sont pas à blâmer, les personnes qui ont si peu de considération pour Marie ! Elles sont à plaindre plutôt. Car, il est difficile de comprendre qu’elles veulent paraître fidèles à en Dieu en méprisant Celle que Lui-même respecte et honore. Elles ne sont pas à blâmer ! Elles sont à plaindre, ces personnes qui ne voient en Marie qu’une simple enveloppe car elles ignorent les règles épistolaires les plus élémentaires… Elles ne sont pas à blâmer ! Elles sont plutôt à plaindre, ces personnes qui ne supportent pas que Marie soit honorée comme Mère de Dieu. Car, elle ne fut en rien une mère indigne et elles refusent d’être ce disciple bien-aimé à qui Jésus La recommande ! Elles ne sont pas à blâmer ! Elles sont à plaindre avec leurs mères, plus encore leurs pères…
Dans la famille de Nazareth, Marie est la Mère, la Mère de Dieu.
Quelle est ta relation avec Marie ?
Seigneur, par l’intercession de la Très Sainte Vierge Marie et de Saint Joseph, fais grandir en nous l’Amour et l’Espérance.
Paroles du Pape François
En ce jour de Sainte Famille, François est revenu sur la valeur éducative de la famille, «une maison de prière» pour affronter toutes les épreuves.
En ce temps de Noël, François a invité à fixer son regard sur la Sainte Famille que l’Église célèbre aujourd’hui. «Il est beau de réfléchir au fait que le Fils de Dieu, comme tous les enfants, avait besoin de la chaleur d’une famille»; la famille de Nazareth est la «famille modèle» a assuré l’évêque de Rome, celle dans laquelle «toutes les familles du monde peuvent trouver leur point de référence et d’inspiration sûr.»
A Nazareth, «le printemps de la vie humaine du Fils de Dieu a fleuri», et dans la maison de Nazareth, «l’enfance de Jésus s’est déroulée dans la joie, entourée des soins maternels de Marie et des soins de Joseph, en qui Jésus a pu voir la tendresse de Dieu (cf. Lettre apostolique Patris Corde, 2).»
Alors, en imitant la Sainte Famille, le Saint-Père nous appelle à redécouvrir la valeur éducative du noyau familial, qui «doit être fondé sur l’amour qui régénère toujours les relations et ouvre des horizons d’espérance» Lorsque la famille est une maison de prière, que «les affections sont profondes et pures», la «communion sincère peut être vécue». «Ainsi, la famille s’ouvre à la joie que Dieu donne à tous ceux qui savent donner avec joie.»
Trouver l’énergie spirituelle pour s’ouvrir au monde
C’est cette même dynamique, a estimé le Pape, qui permet à la famille de trouver l’énergie spirituelle pour s’ouvrir au monde extérieur et à «la collaboration pour la construction d’un monde toujours nouveau et meilleur, capable, donc, de devenir le porteur de stimuli positifs, évangélisant par l’exemple de la vie.»
Dans chaque famille, il y a des problèmes et même parfois des disputes, a ensuite improvisé le Saint-Père, mais il faut faire la paix avant de faire la paix, «Et vous savez pourquoi ? Parce que la guerre froide du lendemain est si dangereuse. Cela n’aide pas. Et puis, dans la famille, il y a trois mots, trois mots à toujours chérir : « Excusez-moi », « merci », « désolé ».», «« Merci » : tant d’aide, tant de services que nous nous rendons les uns aux autres dans la famille : toujours merci. La gratitude est le sang de l’âme noble. « Merci ». Et puis, le plus difficile à dire : « Désolé ». Parce que nous faisons toujours de mauvaises choses et que souvent quelqu’un se sent offensé par cela : « Excusez-moi », « désolé ».»
La fête de la Sainte Famille de ce dimanche nous propose à nouveau cet «idéal de l’amour conjugal et familial», souligné dans l’exhortation apostolique Amoris laetitia, dont le cinquième anniversaire de la promulgation aura lieu en mars prochain.
Le Pape convoque une année “Famille Amoris Laetitia”
L’annonce a été faite ce dimanche 27 décembre 2020, où l’Église célèbre la Sainte Famille de Nazareth: le Souverain pontife décrète une année “Famille Amoris Laetitia”, qui sera inaugurée au cours de la prochaine solennité de saint Joseph, le 19 mars 2021.
Pour le Pape, la fête de ce dimanche rappelle l’urgence de redécouvrir l’appel de la famille à être «évangélisatrice par son exemple de vie» en proposant à nouveau «l’idéal de l’amour conjugal et familial, comme le souligne l’Exhortation Apostolique Amoris laetitia», dont le 5e anniversaire de publication aura lieu le 19 mars prochain, en la solennité de saint Joseph.Aussi, cette année sera-t-elle l’occasion «d’approfondir le contenu de ce document», a annoncé le Saint-Père au cours de l’Angélus.
Cette année spéciale, intitulée “Famille Amoris laetitia”, sera donc inaugurée lors de la prochaine solennité de Saint Joseph et se terminera lors de la 10e Rencontre mondiale des familles qui se tiendra à Rome en juin 2022, en présence du Saint-Père, précise un communiqué du Dicastère Famille, laïcs et vie, cheville-ouvrière de l’événement.
«Des outils pastoraux seront mis à la disposition des communautés ecclésiales et des familles, pour les accompagner dans leur cheminement», a expliqué le Souverain pontife, qui invite donc tous les fidèles à se joindre dès à présent aux initiatives qui seront promues au cours de l’Année sous l’égide du Dicastère romain.
«Confions à la Sainte Famille de Nazareth, en particulier à saint Joseph, époux et père attentif, ce voyage avec les familles du monde entier», a conclu le Saint-Père, qui le 8 décembre dernier, a décrété une autre Année spéciale dédiée justement à l’Époux de la Vierge Marie, par le biais de la Lettre apostolique Patris corde.
Pape François, 27 décembre 2020, Source : https://www.vaticannews.va/
Notre Père
Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour. Pardonne nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensé. Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal. Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Par ta miséricorde, libère-nous du péché, rassure-nous devant les épreuves en cette vie où nous espérons le bonheur que tu promets et l’avènement de Jésus le Christ, notre Sauveur. Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen ! Seigneur Jésus-Christ, tu as dit à tes Apôtres : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix ». Ne regarde pas nos péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen ! |
Prière à Marie
Je vous salue Marie pleine de grâce, le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, Maintenant et à l’heure de notre mort. |

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