Bonjour les amis,
Seigneur Jésus, toi mon Roi, apprends-moi à faire entrer ton Règne dans mon cœur et à le partager aujourd’hui avec ceux que tu mettras sur mon chemin.
Aujourd’hui nous célébrons la fête du Christ –Roi de l’Univers, et l’évangile nous parle du jugement dernier qui sera un jugement d’amour.
Saint Ignace de Loyola nous disait qu’il fallait mettre plus d’amour dans nos œuvres que dans nos paroles, et l’évangile l’illustre très bien. Chaque œuvre de charité que nous faisons, nous la faisons au Christ lui-même. La royauté du Christ est simplement une réalité fondamentale de notre existence: l’amour aura le dernier mot comme St Paul l’a si bien écrit aux corinthiens. Vivants maintenant de cet amour nous pourrons un jour entendre : « Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la fondation du monde. »
Et cela m’amène à un symbole de notre adhésion à cet amour dans notre vie quotidienne. Un geste simple mais si lourd de sens et de responsabilités : Le signe de croix.
Quand je me touche le front et que je me signe au nom du Père, il y a une énergie puissante qui passe entre ma tête et ma main, une énergie d’amour, du don infini de l’amour de Dieu. Mais aussi je ressens cette responsabilité de retransmettre, de rayonner cet amour partout tout le temps. Je veux que Dieu habite tous mes rêves, toutes mes idées, et que la main de Dieu soit sur toutes mes pensées. Enfin il y a cette volonté d’ouvrir ma tête à la Parole pour bien l’entendre.
Puis quand je me touche le cœur et que je me signe au Nom du Fils, mon cœur bat plus fort. Il y a cette volonté de mettre la parole du Christ au fond de mon cœur pour en faire mon moteur. Je veux chanter Dieu avec tous mes mots d’amour et de tendresse, je veux crier au monde combien Dieu nous aime, combien Il est bon pour nous tous.
Enfin, quand je me touche les épaules et que je me signe au Nom du Saint Esprit, quand ma main fait le passage et le voyage depuis l’épaule gauche jusqu’à l’autre épaule droite, je ressens l’Esprit-Saint qui me traverse, comme j’aimerais qu’il traverse le monde d’un bout à l’autre jusqu’aux extrémités de la terre. Je ressens aussi cette responsabilité d’agir, de rendre vivante la Parole par mes actes, et ce besoin de diffuser et partager cette Parole, en résumé de vivre réellement mué par cette Parole. Dieu a besoin de nous, de nos épaules et de nos mains pour porter cette Bonne Nouvelle, pour l’amener là où elle n’a pas encore fleuri.
Ce signe de croix est d’une puissance immense. J’ai l’impression d’écrire Dieu sur tout moi-même, de me revêtir de Dieu de haut en bas et d’une épaule à l’autre, que le vent de l’esprit souffle en moi.
Je vous souhaite à tous de vivre comme moi ce signe de croix comme une énergie d’amour qui nous pénètre, comme un besoin de laisser cet amour nous transformer, et une envie de redonner cet amour pour qu’il grandisse. Ce geste est un véritable engagement d’amour vis-à-vis de Dieu et de nos frères. Pour moi, c’est cela que l’on appelle prendre sa croix.
Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit
Nous pouvons aussi demander l’aide de Marie : Chère Mère, tu es restée auprès de ton Fils toute ta vie jusqu’à son Ascension au ciel. Aide-moi à le recevoir, à reproduire ses sentiments en moi, à aimer comme il a aimé. Tu l’as vu, tu l’as imité, mais tu t’es aussi laissé séduire par lui : apprends-moi à me laisser séduire, conduis-moi sur ce chemin où ton Fils, mon frère, habite pleinement en moi. https://www.regnumchristi.fr/
Belle prière à tous,
Nathalie et Pascal
CHANT
Le signe de croix, un geste simple mais qui signe une alliance avec ce Dieu qui est, qui était et qui vient
Quand on le fait pour la première fois
On n’arrête plus de le faire toi et moi
On aime tous le signe de croix
Le signe de croix
Quand on le fait pour la première fois
On n’arrête plus de le faire toi et moi
On aime tous le signe de croix
En haut En bas À gauche À droite
En haut En bas À gauche À droite (Encore une fois!)
EVANGILE
« Il siégera sur son trône de gloire et séparera les hommes les uns des autres » (Mt 25, 31-46)
Evangile de Jésus Christ selon Saint Matthieu
En ce temps-là,
Jésus disait à ses disciples :
« Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire,
et tous les anges avec lui,
alors il siégera sur son trône de gloire.
Toutes les nations seront rassemblées devant lui ;
il séparera les hommes les uns des autres,
comme le berger sépare les brebis des boucs :
il placera les brebis à sa droite, et les boucs à gauche.
Alors le Roi dira à ceux qui seront à sa droite :
‘Venez, les bénis de mon Père,
recevez en héritage le Royaume
préparé pour vous depuis la fondation du monde.
Car j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ;
j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ;
j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ;
j’étais nu, et vous m’avez habillé ;
j’étais malade, et vous m’avez visité ;
j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi !’
Alors les justes lui répondront :
‘Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu…?
tu avais donc faim, et nous t’avons nourri ?
tu avais soif, et nous t’avons donné à boire ?
tu étais un étranger, et nous t’avons accueilli ?
tu étais nu, et nous t’avons habillé ?
tu étais malade ou en prison…
Quand sommes-nous venus jusqu’à toi ?’
Et le Roi leur répondra :
‘Amen, je vous le dis :
chaque fois que vous l’avez fait
à l’un de ces plus petits de mes frères,
c’est à moi que vous l’avez fait.’
Alors il dira à ceux qui seront à sa gauche :
‘Allez-vous-en loin de moi, vous les maudits,
dans le feu éternel préparé pour le diable et ses anges.
Car j’avais faim, et vous ne m’avez pas donné à manger ;
j’avais soif, et vous ne m’avez pas donné à boire ;
j’étais un étranger, et vous ne m’avez pas accueilli ;
j’étais nu, et vous ne m’avez pas habillé ;
j’étais malade et en prison, et vous ne m’avez pas visité.’
Alors ils répondront, eux aussi :
‘Seigneur, quand t’avons-nous vu
avoir faim, avoir soif, être nu, étranger, malade ou en prison,
sans nous mettre à ton service ?’
Il leur répondra :
‘Amen, je vous le dis :
chaque fois que vous ne l’avez pas fait
à l’un de ces plus petits,
c’est à moi que vous ne l’avez pas fait.’
Et ils s’en iront, ceux-ci au châtiment éternel,
et les justes, à la vie éternelle. »
– Acclamons la Parole de Dieu : Louange à toi, Seigneur Jésus !
Méditation du Père Emmanuel Pic
Certaines églises sont décorées d’images effrayantes, qui font d’autant plus peur qu’elles rejoignent nos angoisses profondes et jouent sur notre culpabilité : à la fin des temps, nous serons jugés par Dieu.
N’ayons pas peur : juger, ce n’est pas punir, c’est rendre justice
Ce qui intéresse Dieu, ce n’est pas d’abord la pratique religieuse, la qualité de la prière, c’est le service des frères, et particulièrement des plus petits, des plus pauvres, des plus délaissés.
Elle est pleine de surprises, la liste de ces petits qu’on nous demande de servir en priorité. Elle nous dérange, aussi :
- On veut bien donner à boire et à manger à ceux qui en ont vraiment besoin, mais les accueillir à notre table…
- Recueillir l’étranger, c’est compliqué. Le devoir de fraternité va-t-il jusqu’à contrevenir à ce que dit la loi ? En ouvrant sa porte, ne risque-t-on pas de se retrouver débordés ?
- Visiter les malades, en ce moment ce n’est pas très porteur : hôpitaux et maisons de retraite ne sont pas pressés de s’ouvrir aux visiteurs.
- Mais le pire, c’est aller visiter ceux qui sont en prison. Comment prendre en pitié, comment aimer, des personnes qui finalement ne font que payer leur dette ?
Ce que Dieu attend de nous, c’est de faire un pas en avant, d’entrer en relation avec des personnes avec qui nous n’avons rien de commun. Accueillir un étranger, visiter un malade ou un prisonnier, c’est s’exposer à lui, reconnaître en lui le proche, le prochain, le frère ou la sœur. C’est ouvrir la porte d’un monde inconnu, découvrir que ce nouveau monde est habité par des êtres humains à côté desquels nous passions sans les voir. A ce monde-là, le Christ donne un nom : le Royaume de Dieu.
Homélie du Père Maximin Noudehou
« Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire. »
L’heure de la manifestation de la Gloire du Fils de l’homme est également l’heure de l’accomplissement de la destinée humaine. « Il séparera les hommes les uns des autres, comme le berger sépare les brebis des boucs : il placera les brebis à sa droite, et les boucs à gauche. Alors le Roi dira à ceux qui seront à sa droite : ‘Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la fondation du monde.’ […] Alors il dira à ceux qui seront à sa gauche : ‘Allez-vous-en loin de moi, vous les maudits, dans le feu éternel préparé pour le diable et ses anges.’ »
Nous remarquons d’abord que ce Roi a une attitude de berger, attitude de celui qui prend soin, qui conduit tout le troupeau jusqu’à destination, qui connaît chaque élément de son troupeau. Notre Roi est à notre service jusqu’à la fin des temps parce qu’Il a reçu mission de veiller à ce que nous parvenions au but. Et selon les propos du Roi, le Royaume est préparé pour les brebis depuis la fondation du monde. Ce n’est que là que nous, les humains, nous avons notre place. Car, le feu éternel est préparé uniquement pour le diable et ses anges. Ceux qui s’y retrouvent, les boucs, ont alors subi une mutation profonde ! Ils ont choisi, dans le quotidien de leur existence, de se transformer pour partager une destinée qui n’est pas la leur. Ainsi, la destinée humaine est unique : la destinée humaine est royale et bienheureuse.
Quiconque demeure humain aura part au Divin.
Dans quelle mesure accomplis-tu ton humanité ?
Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire.
Dans ce dernier discours que Jésus adresse à ses disciples, Lui, qui s’est fait homme, Il leur relève que la seule tâche à remplir, c’est d’être humain. Cette mission peut sembler bien difficile. Mais Jésus affirme que cela relève des actes simples du quotidien, du cœur qui se donne. « Car j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ; j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi ! » Ce disant, le Seigneur révèle qu’Il a le visage de chaque être humain et que ses disciples ont à Le rechercher dans chaque personne qu’ils croisent, dans chaque fragilité qu’ils côtoient. À eux de L’embrasser ou non.
Chacun d’entre nous est marqué par l’une ou l’autre de ces fragilités. Chacun d’entre nous éprouve l’un de ces besoin. Chacun d’entre nous est le visage du Christ au cœur de ce monde. Il a choisi d’habiter en nous comme un appel, une attente banale et vitale. Nous avons toujours avec nous quelqu’un qui a faim ou soif, qui est étranger ou nu, qui est malade ou en prison. Il nous est déjà arrivé d’en secourir. Il nous est déjà arrivé aussi de nous y soustraire ! Alors, tant que nous sommes en ce monde, nous pouvons poursuivre le chemin. Il ne s’agit pas de discours mais d’acte. Ainsi, pour être humain, il convient de ne point se dérober aux œuvres de miséricorde.
Ainsi, quand un repas est jeté, c’est la vie humaine que nous arrachons aussi légèrement ; c’est notre Roi que nous renvoyons faire la poubelle ; c’est notre destinée que nous bradons. Quand une soif n’est pas étanchée, c’est le Christ qui est torturé, et c’est notre destinée que nous asséchons. Quand un étranger est accueilli, c’est au Christ, le Roi des rois que nous accordons un palais. Dans nos armoires, nous conservons la chaleur dont, dehors, le Seigneur a besoin. Et c’est notre destinée royale que nous confinons. Quand un prisonnier est visité, c’est le Christ qui est réconforté, et c’est notre destinée bienheureuse qui nous sourit.
Chaque besoin, chaque fragilité sont un cadeau du Roi.
Paroles du Pape François
En présence de fidèles et de jeunes des JMJ, le Pape François a débuté son homélie par «les dernières volontés de Jésus sur la Croix», interrogeant l’assemblée de la manière suivante: «Chacun peut se demander ‘’Est-ce que je les mets en pratique? Est-ce que je fais quelque chose pour celui qui se trouve dans le besoin? Ou bien fais-je seulement du bien aux personnes chères et aux amis? Est-ce que j’aide quelqu’un qui ne peut pas me le rendre? Suis-je ami d’une personne pauvre?’’»
Rêver en grand
«Je suis là, dit Jésus à toi aussi, jeune qui cherche à réaliser les rêves de la vie», a relevé le Primat d’Italie, avant de lancer un appel à ne jamais renoncer «aux grands rêves», et à ne pas se contenter «de ce qui est dû».
«Le Seigneur ne veut pas que nous rétrécissions les horizons, il ne nous veut pas garés sur les côtés de la vie, mais en marche vers de grands objectifs, avec joie et audace. Nous ne sommes pas faits pour rêver des vacances ou de la fin de semaine, mais pour réaliser les rêves de Dieu en ce monde», a bien insisté François à l’égard des jeunes et fidèles du monde entier.
Les œuvres de miséricorde sont les plus belles
Et parmi les œuvres d’une vie, le Pape est clair: celles de miséricorde sont les plus belles. «Si tu as des rêves de vraie gloire, non pas la gloire du monde qui va et vient, mais de la gloire de Dieu, telle est la route», a recommandé l’évêque de Rome, confiant le moyen d’y arriver. «Avec de grands choix».
En effet, au moment du jugement dernier, Dieu se base sur nos choix, a rappelé le Souverain pontife. «Il semble presque ne pas juger. Il tire seulement les conséquences de nos choix, il les met au jour et les respecte. La vie, alors, est le temps des choix forts, décisifs, éternels.»
«Nous devenons nos choix»
Le Saint-Père a poursuivi déconseillant la médiocrité: «Des choix banals mènent à une vie banale, des grands choix rendent grande la vie».
En effet, nous devenons ce que nous choisissons, en bien ou en mal, a-t-il alerté.. «Si nous choisissons de voler nous devenons des voleurs, si nous choisissons de penser à nous-mêmes nous devenons égoïstes, si nous choisissons de haïr nous devenons colériques, si nous choisissons de passer des heures devant le téléphone portable nous devenons dépendants», a détaillé le Successeur de Pierre, indiquant la voie à suivre: «Si nous choisissons Dieu, nous devenons chaque jour plus aimés et si nous choisissons d’aimer nous devenons heureux.»
«On ne possède la vie qu’en la donnant»
Un critère, celui de l’amour. «Jésus sait que si nous vivons fermés et indifférents nous restons paralysés, mais si nous nous dépensons pour les autres, nous devenons libres. Le Seigneur de la vie nous veut pleins de vie et nous donne le secret de la vie: on ne la possède qu’en la donnant», a affirmé François, notant une kyrielle d’obstacles à surmonter.
La crainte, l’insécurité, les questions sans réponse, en sont quelques-uns. «Cependant, l’amour demande d’aller plus loin, de ne pas rester accrochés aux pourquoi de la vie en attendant qu’une réponse arrive du Ciel. Non, l’amour pousse à passer des pourquoi au pour qui, du pourquoi je vis au pour qui je vis, du pourquoi il m’arrive ceci au pour qui puis-je faire du bien. Pour qui?», a exhorté le Souverain pontife.
Penser à faire le bien plutôt qu’à se sentir bien
Non pour soi, car «la vie est déjà pleine de choix que nous faisons pour nous-mêmes»; les diplômes, les amis, une maison, les passe-temps et centres d’intérêts. «Nous risquons ainsi de passer des années à penser à nous-mêmes sans commencer à aimer», prévient le Pape, ornant sa réflexion de la maxime du poète et dramaturge romantique italien, Alessandro Manzoni: «On devrait penser plus à faire le bien, qu’à se sentir bien: et ainsi on finirait aussi par se sentir mieux» (Les fiancés, chap. XXXVIII, 1827).
Consommation, divertissement, droits sans devoir
Selon François, d’autres obstacles minent cette capacité «à faire de grands choix», comme «la fièvre de la consommation, qui empoisonne le cœur de choses superflues»; «l’obsession du divertissement, qui semble être l’unique voie pour s’évader des problèmes alors qu’il n’en est qu’un report»; «se fixer sur les droits à réclamer, en oubliant le devoir d’aider».
L’émotion au lieu du sacrifice
Et puis, «il y a la grande illusion sur l’amour qui semble être quelque chose à vivre à coup d’émotions, alors qu’aimer est avant tout don, choix et sacrifice», a-t-il assuré. Choisir revient donc «à ne passe faire domestiquer par l’homologation, ne pas se laisser anesthésier par les mécanismes des consommations qui désactivent l’originalité, à savoir renoncer aux apparences et au paraître».
Choisir la vie, fuir la banalité
«Choisir la vie, c’est lutter contre la mentalité du utiliser-et-jeter et du tout-et-tout-de-suite.», a ajouté le Pape, prodiguant un ultime conseil pour discerner les choix d’une vie. Deux questions se posent: «Qu’est-ce qui me va de faire?», celle-ci trompe, «parce qu’elle insinue que l’important c’est de penser à soi-même et satisfaire toutes les envies et les pulsions qui viennent».
L’autre, la bonne, «suggérée par l’Esprit Saint», est la suivante: «Qu’est ce qui te fait du bien?» «Qu’est-ce qui me va de faire ou qu’est ce qui me fait du bien? De cette recherche intérieure, peuvent naître des choix banals ou des choix de vie», a conclu le Souverain Pontife invitant tous les jeunes «à vivre», et non pas «vivoter».
Messe de remise de la Croix des JMJ, en la Basilique Saint-Pierre, dimanche 22 Novembre 2020, solennité du Christ-Roi – https://www.vaticannews.va/
Delphine Allaire – Cité du Vatican
Notre Père
Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour. Pardonne nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensé. Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal. Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Par ta miséricorde, libère-nous du péché, rassure-nous devant les épreuves en cette vie où nous espérons le bonheur que tu promets et l’avènement de Jésus le Christ, notre Sauveur. Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen ! Seigneur Jésus-Christ, tu as dit à tes Apôtres : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix ». Ne regarde pas nos péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen ! |
Prière à Marie
Je vous salue Marie pleine de grâce, le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, Maintenant et à l’heure de notre mort. |

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