Bonjour les amis,
En ce lundi, nous vous invitons d’abord à lire, goûter cette magnifique lettre de St Paul, 1ère lecture du jour. C’est un appel clair au don de soi dans la confiance, la générosité, et dans la joie :
À semer trop peu, on récolte trop peu ; à semer largement, on récolte largement.
Que chacun donne comme il a décidé dans son cœur, sans regret et sans contrainte,
car Dieu aime celui qui donne joyeusement.
Et Dieu est assez puissant pour vous donner toute grâce en abondance, afin que vous ayez, en toute chose et toujours, tout ce qu’il vous faut, et même que vous ayez en abondance
de quoi faire toute sorte de bien.
L’Écriture dit en effet de l’homme juste : Il distribue, il donne aux pauvres ; sa justice demeure à jamais.
Dieu, qui fournit la semence au semeur et le pain pour la nourriture, vous fournira la graine ; il la multipliera, il donnera la croissance à ce que vous accomplirez dans la justice.(2 Co 9, 6-10)
Aujourd’hui nous fêtons Saint Laurent, martyr romain. Cet homme a fait que sa vie a pu porter beaucoup de fruits. Les mots de St Paul, les paroles de Jésus de ce jour nous rappellent que le cœur de la vie chrétienne est le don de soi.
Le pape François nous dit bien que la vie, premier don de Dieu, doit être aimée et défendue. Faire le don de soi, c’est se libérer de considérations égoïstes et de s’ouvrir à l’autre ce qui apporte la paix et la joie.
Accepter de donner sa vie, c’est la consacrer à semer l’amour du Christ, à aider mes frères et soeurs, à servir le Seigneur chaque jour, ce qui est une forme de mort car cela implique de renoncer quotidiennement à d’autres plaisirs terrestres plus immédiats mais éphémères, alors le Seigneur pourra porter du fruit à travers chacun de nous. Si nous ne vivons que pour nous-mêmes, nous sommes comme ce grain de blé qui reste seul, inutile.
Ma vie est un don de Dieu, alors aujourd’hui, je pourrais réfléchir de quelle manière le Seigneur m’appelle à faire ce don de moi-même ? Qu’est ce qui m’encourage à ce don et qu’est ce qui me freine?
Grâce à la prière, au service de nos frères, nous pouvons être touchés par l’amour et sentir plus précisément que la vie, la vie véritable, dans toute sa plénitude, dans sa totalité, est une relation avec celui qui est la source de la vie. Si nous sommes en relation avec celui qui ne meurt pas, qui est lui-même la vie et l’amour, alors nous sommes vraiment dans la vie.
Je peux regarder ma vie, à la lumière de la parole, et voir si elle est réellement une relation avec le Christ ?
Seigneur, à ta suite et à l’image de saint Laurent, donne-moi la grâce d’entrer dans la même dynamique de don de moi-même.
Donner par Amour est la seule chose qui puisse donner sens à ma vie dans un monde où prédominent les valeurs du profit et de l’intérêt personnel.
Seigneur, que ton Esprit d’Amour vienne dilater mon cœur et ouvrir mes mains !
Belle prière à tous,
Nathalie et Pascal
CHANT
Enfant de Dieu Par ce chant
C’est Toi qui m’as façonné, mon nom Tu l’as prononcé Et dans le feu baptisé aujourd’hui je me lèverai
Mon cœur est dans l’allégresse en entendant Sa promesse Je suis rempli de Sa grâce, en Lui j’ai trouvé ma place
C’est un chant de liberté qui dans mon cœur est monté Enfant de Dieu j’ai trouvé, ma véritable identité
EVANGILE
« Si quelqu’un me sert, mon Père l’honorera » (Jn 12, 24-26)
Évangile de Jésus Christ selon Saint Jean
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples :
« Amen, amen, je vous le dis :
si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il reste seul ;
mais s’il meurt, il porte beaucoup de fruit.
Qui aime sa vie la perd ;
qui s’en détache en ce monde
la gardera pour la vie éternelle.
Si quelqu’un veut me servir, qu’il me suive ;
et là où moi je suis, là aussi sera mon serviteur.
Si quelqu’un me sert, mon Père l’honorera. »
Méditation du Père François Lestang (RCF)
Servir, se détacher, mourir. C’est la route qu’a prise Jésus, et c’est la route qu’il m’invite à prendre aujourd’hui. Peut-être, en ce temps de vacances, me serait-il plus agréable d’entendre d’autres verbes, par exemple : être servi, s’attacher, vivre. Après tout, nous l’avons bien mérité, non, après un tel printemps marqué par la pandémie et la distanciation, par la crainte de la mort et par l’admirable service de tant de nos contemporains ? Mais Jésus est clair : le suivre, c’est servir, se détacher, mourir.
La promesse d’un tel parcours est aussi claire : ce n’est rien de moins que la vie, et même la vie éternelle, à condition de passer par le service, le détachement, la mort. En fait, le parcours à suivre est celui de l’amour, celui d’un amour qui ne met pas la main sur l’autre, mais qui le respecte et qui le sert, dans la juste distance, dans le détachement de moi-même, dans une forme de mort à moi-même, à mes appétits, à mes égoïsmes.
En cela, qui veut suivre Jésus n’est pas du tout protégé de la mort, mais il s’y expose, parce qu’il a confiance dans la Parole de Jésus, parce qu’il a confiance que le chemin qui passe par la Croix est le seul qui ouvre vraiment à la vie.
Seigneur, tu connais mes résistances à ton appel à servir, à me détacher, à mourir, à te suivre jusqu’au bout. Donne-moi la force, en ce matin, d’entendre avec foi ton appel, et de dire avec le psalmiste : « me voici, mon Dieu, je viens faire ta volonté ». Oui, Dieu notre père, que ta volonté soit faite, dans ma vie, aujourd’hui.
Homélie du Père Maximin Noudehou
« Si quelqu’un me sert, mon Père l’honorera. »
Ce que Jésus enseigne à ses disciples relève d’une autre logique :
La fécondité se révèle dans la mort.
Aimer sa vie conduit à sa perte.
La vie éternelle est au prix du détachement.
Ainsi, vivre suppose un don total et permanent de soi. Car, la vie, qui toujours se reçoit, ne peut pas s’épanouit autrement. Le Seigneur nous en a donné la preuve par sa propre Vie. Nous ne pouvons pas nous épanouir si l’autre n’est pas pour nous une nécessité. Autrui n’est pas l’enfer. L’enfer vient plutôt de l’enfer-mement. Puisqu’il nous est si difficile d’intégrer cette réalité de la vie, le Seigneur, dans la mesure où nous croyons en Lui et voulons servir sa Grandeur, nous demande de Le suivre jusqu’en sa demeure. Or le chemin qui mène en sa demeure c’est le service des autres. Et la demeure de Dieu, c’est le prochain. C’est dans cette dynamique que nous serons honorés du Pere, c’est-à-dire introduits dans la Source de la vie pour habiter en Dieu.
Ce que l’on donne fleurit. Ce que l’on garde pourrit
Que décides-tu aujourd’hui ?
Seigneur, à l’exemple de la Vierge Marie et de St Laurent, voici ma vie.
Paroles du Pape François
Dans la matinée du samedi 15 septembre 2018, Le pape a fait mémoire de don Pino Puglisi, assassiné par la mafia en 1993, le pape François a célébré la messe sur la grande esplanade du Foro Italico, à Palerme (Italie). Ces paroles liées à l’évangile d’aujourd’hui sont puissantes et radicales.
Aujourd’hui, Dieu nous parle de victoire et de défaite. Dans la première lecture, saint Jean présente la foi comme « la victoire qui a triomphé du monde » (1 Jn 5, 4), alors que dans l’Évangile il rapporte la phrase de Jésus : « Qui aime sa vie la perd » (Jn 12, 25).
Voilà la défaite : celui qui aime sa propre vie perd. Pourquoi ? Certainement pas parce que vous devez avoir la vie en haine : la vie doit être aimée et défendue, c’est le premier don de Dieu ! Ce qui conduit à la défaite c’est d’aimer sa propre vie, c’est-à-dire aimer ce qui est à soi. Qui vit pour soi perd, c’est un égoïste, comme on dit. Le contraire semble vrai. Celui qui vit pour lui-même, qui multiplie son chiffre d’affaires, qui réussit, qui satisfait pleinement ses besoins apparaît un gagnant aux yeux du monde. La publicité martèle cette idée – l’idée de se chercher, de l’égoïsme – pourtant Jésus n’est pas d’accord et la renverse. Selon lui, celui qui vit pour lui-même ne perd pas seulement quelque chose, mais toute sa vie ; tandis que celui qui se donne trouve le sens de sa vie et est gagnant.
Il faut donc choisir : l’amour ou l’égoïsme. L’égoïste pense prendre soin de sa vie et il s’attache aux choses, à l’argent, au pouvoir, au plaisir. Alors le diable a les portes ouvertes. Le diable « entre par les poches », si tu es attaché à l’argent. Le diable fait croire que tout va bien mais en réalité le cœur est anesthésié par l’égoïsme. L’égoïsme est un anesthésiant très puissant. Cette voie se termine toujours mal : à la fin on reste seul, avec un vide intérieur. La fin des égoïstes est triste : vides, seuls, entourés seulement de ceux qui veulent hériter. C’est comme le grain de blé de l’Évangile : s’il reste fermé sur lui-même, il reste seulement dans le sol. Si au contraire il s’ouvre et meurt, il porte du fruit en surface.
Mais vous pourriez me dire : se donner, vivre pour Dieu et pour les autres c’est un grand effort pour rien, le monde ne tourne pas comme ça : pour avancer, vous n’avez pas besoin de grains de blé, vous avez besoin d’argent et de pouvoir. Mais c’est une grande illusion : l’argent et le pouvoir ne libèrent pas l’homme, ils le rendent esclave. Voyez : Dieu n’exerce pas son pouvoir pour résoudre nos maux et ceux du monde. Son chemin c’est toujours celui de l’amour humble : seul l’amour libère intérieurement et donne la paix et la joie. C’est pourquoi le vrai pouvoir, le pouvoir selon Dieu, c’est le service. C’est Jésus qui le dit. Et la voix la plus forte ce n’est pas celle de qui crie le plus. La voix la plus forte, c’est la prière. Et le plus grand succès ce n’est pas sa propre renommée, comme le paon, non. La plus grande gloire, le plus grand succès est son propre témoignage.
Chers frères et sœurs, nous sommes appelés aujourd’hui à choisir de quel côté nous ranger : vivre pour soi-même – la main fermée ou donner sa vie – la main ouverte. Ce n’est qu’en donnant sa vie que l’on vainc le mal. Un prix élevé, mais c’est seulement comme cela [qu’on vainc le mal]. C’est ce que don Pino enseigne : il ne vivait pas pour se faire voir, il ne vivait pas d’appels anti-mafia, et ne se contentait pas non plus de ne rien faire de mal, mais il semait le bien, tant de bien. Sa logique semblait perdante, alors que la logique du portefeuille semblait gagnante. Mais le père Pino avait raison : la logique du dieu-argent est toujours perdante. Regardons en nous. Avoir pousse toujours à vouloir : j’ai une chose et immédiatement j’en veux une autre, et puis une autre encore, toujours davantage, sans fin. Plus tu as, plus tu veux : c’est une mauvaise dépendance. C’est une sale dépendance. C’est comme une drogue. Celui qui se gonfle de choses éclate. Au contraire, celui qui aime se retrouve lui-même et découvre combien il est beau d’aider, combien il est beau de servir ; il trouve la joie en lui et le sourire à l’extérieur, comme don Pino.
Il y a vingt-cinq ans aujourd’hui, lorsqu’il est mort, le jour de son anniversaire, il a couronné sa victoire par un sourire, ce sourire qui a empêché son tueur de dormir la nuit, comme il l’a dit : « Il y avait comme une lumière dans ce sourire ». Le père Pino était désarmé, mais son sourire traduisait la force de Dieu : pas une lueur aveuglante, mais une lumière douce qui creuse et illumine le cœur. C’est la lumière de l’amour, du don, du service. Nous avons besoin de beaucoup de prêtres du sourire. Nous avons besoin de chrétiens du sourire, non pas parce qu’ils prennent les choses à la légère, mais parce qu’ils n’ont pour richesse que la joie de Dieu, car ils croient en l’amour et vivent pour servir. C’est en donnant sa vie que l’on trouve la joie, car il y a plus de joie à donner qu’à recevoir (cf. Ac 20, 35). Alors, je voudrais vous demander : voulez-vous vivre comme cela vous aussi ? Voulez-vous donner votre vie sans attendre que les autres fassent le premier pas ? Voulez-vous faire le bien sans attendre un retour, sans attendre que le monde devienne meilleur ? Chers frères et sœurs, voulez-vous vous risquer sur cette route, prendre des risques pour le Seigneur ?
Don Pino l’a fait, il savait ce qu’il risquait, mais il savait surtout que le véritable danger dans la vie ce n’est pas de prendre des risques, c’est de vivoter dans le confort, les demi-mesures et les raccourcis. Que Dieu nous libère d’une vie au rabais, où l’on se contente de demi-vérités. Les demi-vérités ne satisfont pas le cœur, elles ne font pas de bien. Que Dieu nous libère d’une vie étriquée, qui tourne autour de « peccadilles ». Qu’il nous libère de la pensée que tout va bien si pour moi cela va, et que l’autre se débrouille. Qu’il nous libère de la conviction que nous sommes justes si nous ne faisons rien pour combattre l’injustice. Celui qui ne fait rien pour combattre l’injustice n’est ni un homme ni une femme juste. Qu’il nous libère de la conviction que nous sommes bons seulement en nous abstenant de faire du mal. « C’est une bonne chose – a dit un saint – de ne pas faire le mal. Mais c’est une mauvaise chose de ne pas faire le bien » [Saint Alberto Hurtado]. Seigneur, donne-nous le désir de faire le bien ; de chercher la vérité en détestant ce qui est faux ; de choisir le sacrifice, pas la paresse ; l’amour, pas la haine ; le pardon, pas la vengeance.
Aux autres, il faut donner la vie, aux autres, il faut donner la vie, pas la leur enlever. On ne peut pas croire en Dieu et haïr son frère, lui ôter la vie par haine. La première lecture rappelle : « Si quelqu’un dit : “J’aime Dieu” et qu’il déteste son frère, c’est un menteur » (1 Jn 4, 20). Un menteur, parce qu’il fait mentir la foi qu’il dit avoir, la foi qui professe le Dieu-amour. Le Dieu-amour répudie toute violence et aime tous les hommes. Donc le mot haine doit être effacé de la vie chrétienne ; par conséquent, on ne peut pas croire en Dieu et dominer son frère. On ne peut croire en Dieu et être mafieux. Qui est mafieux ne vit pas en chrétien, parce qu’il blasphème le nom du Dieu-amour par sa vie. Aujourd’hui, nous avons besoin d’hommes et de femmes d’amour, pas d’hommes et de femmes d’honneur ; de service, pas de domination. Nous devons marcher ensemble, pas courir après le pouvoir. Si la litanie mafieuse est : « Tu ne sais pas qui je suis », celle du chrétien est : « J’ai besoin de toi ». Si la menace de la mafia est : « Tu me le paieras », la prière chrétienne c’est : « Seigneur, aide-moi à aimer ». C’est pourquoi je dis aux mafieux : changez, frères et sœurs ! Arrêtez de penser à vous-mêmes et à votre argent. Tu sais, vous savez, qu’« un linceul n’a pas de poches ». Vous ne pourrez rien emporter avec vous. Convertissez-vous au vrai Dieu de Jésus-Christ, chers frères et sœurs ! Je vous le dis à vous, mafieux : si vous ne le faites pas, votre vie sera perdue et ce sera la pire des défaites.
Aujourd’hui, l’Évangile se termine par l’invitation de Jésus : « Si quelqu’un veut me servir, qu’il me suive » (v. 26). Qu’il me suive, c’est-à-dire qu’il se mette en route. On ne peut pas suivre Jésus avec des idées, il faut se donner de la peine. « Si chacun fait quelque chose, on peut faire beaucoup », répétait don Pino. Combien d’entre nous mettent ces paroles en pratique ? Aujourd’hui, devant lui, demandons-nous : que puis-je faire ? Que puis-je faire pour les autres, pour l’Église, pour la société ? N’attends pas que l’Église fasse quelque chose pour toi, commence toi-même. N’attends pas que la société le fasse, commence toi-même ! Ne pense pas à toi-même, ne fuis pas tes responsabilités, choisis l’amour ! Entends la vie de gens dans le besoin, écoute ton peuple. Ayez peur de la surdité, de ne pas écouter votre peuple. C’est le seul populisme possible : écouter ton peuple, le seul « populisme chrétien » : entendre et servir le peuple, sans crier pour accuser et susciter des conflits.
C’est ce qu’a fait le père Pino, pauvre parmi les pauvres de sa terre. Dans sa chambre la chaise où il étudiait était cassée. Mais la chaise n’était pas le centre de sa vie, parce qu’il ne s’asseyait pas pour se reposer, mais il vivait en route pour aimer. Voilà la mentalité gagnante. Voilà la victoire de la foi, qui vient du don de soi quotidien. Voilà la victoire de la foi qui apporte le sourire de Dieu sur les routes du monde. Voilà la victoire de la foi, qui naît du scandale du martyre. « Nul n’a plus grand amour que celui-ci : donner sa vie pour ses amis » (Jn 15, 13). Ces paroles de Jésus, écrites sur la tombe de don Puglisi, rappellent à tous que donner sa vie a été le secret de sa victoire, le secret d’une vie belle. Aujourd’hui, chers frères et sœurs, choisissons nous aussi une vie belle. Ainsi soit-il.
Notre Père
Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour. Pardonne nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensé. Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal. Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Par ta miséricorde, libère-nous du péché, rassure-nous devant les épreuves en cette vie où nous espérons le bonheur que tu promets et l’avènement de Jésus le Christ, notre Sauveur. Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen ! Seigneur Jésus-Christ, tu as dit à tes Apôtres : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix ». Ne regarde pas nos péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen ! |
Prière avec Marie, Bernadette, et son père
Pour répandre vos mots d’amour Vous qui un jour m’avez élue
Je vous bénis, je vous salue
Madame, Vous qui faîtes de votre mieux
Fille de paix, mère de Dieu Vous qui donnez au dépourvu
Je vous bénis, je vous salue
Madame, Dont le cœur brûle comme une flamme
Avec l’amour pour oriflamme Sauvez leurs corps, sauvez leurs âmes
Madame, Vous qui entendez les prières
Des pauvres pêcheurs sur la Terre Vous notre sœur, vous notre mère Emplissez-nous de la lumière
Madame, Vous qui avez donné l’enfant
Le fruit parfait de votre sang Pour les humains faibles et nus
Je vous bénis, je vous salue
Madame, Vous qui apportez à ce monde
Des feux de joie qui nous inondent Vous qui nous aimez tant et plus
Je vous bénis, je vous salue
Madame, Dont le cœur brûle comme une flamme
Avec l’amour pour oriflamme Sauvez leurs corps, sauvez leurs âmes
Madame, Vous qui entendez les prières
Des pauvres pêcheurs sur la Terre Vous notre sœur, vous notre mère Emplissez-nous de la lumière
Madame, Vous qui m’avez choisie un jour
Pour répandre vos mots d’amour Vous qui un jour m’avez élue
Je vous bénis et vous salue
Je vous salue Marie pleine de grâce, le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, Maintenant et à l’heure de notre mort. |

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