Bonjour les amis,
Chaque soir, pendant les mois de confinement et même par après, nous sommes sortis à 20h sur le pas de notre porte, ou nous nous sommes mis aux fenêtres, pour un geste symbolique de soutien aux soignants et à tous ceux qui s’activaient pour nous : nous les avons applaudi(e)s. Ce geste, au début timide et discret, s’est fait l’élan du cœur de tout un peuple, une nation en souffrance qui reconnaissait celles et ceux qui se dévouaient pour le bien de tous. Aujourd’hui par un heureux hasard, nous célébrons notre fête nationale et nous faisons aujourd’hui mémoire de Saint Camille de Lellis, qui mena d’abord une vie dissolue avant de se dévouer en tant que soignant auprès des plus souffrants après avoir été bouleversé à la vue de malades laissés à l’abandon.
Les textes du jour nous parlent du jugement… le Seigneur nous interpelle : changez de vie, ouvrez les yeux, changez vos cœurs ... L’exemple de Saint Camille nous montre qu’il n’est jamais trop tard pour se convertir et se mettre au service des autres.
A ceux qui l’ont servi dans leurs frères, le Seigneur dit ses paroles magnifiques :
« Venez les bénis de mon Père. J’étais malade et vous m’avez visité… Vraiment, je vous le dis, chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait ».
Ne nous inquiétons pas de l’heure du jugement, mais portons notre attention sur l’heure présente, sur ceux qui nous entourent et qui souffrent. C’est là que nous trouverons le Seigneur, et l’épanouissement de notre âme.
Prions avec le Pape François, pour que le monde de demain ne soit pas comme le monde « d’hier » :
Dieu Tout-Puissant, Qui es présent dans tout l’univers
Et dans la plus petite de tes créatures,
Toi qui entoures de ta tendresse tout ce qui existe,
Répands sur nous la force de ton amour pour que nous
Protégions la vie et la beauté.
Inonde-nous de paix, pour que nous vivions comme
Frères et sœurs, sans causer de dommages à personne.
Ô Dieu des pauvres, Aide-nous à secourir les abandonnés
Et les oubliés de cette terre qui valent tant à tes yeux.
Guéris nos vies,
Pour que nous soyons des protecteurs du monde
Et non des prédateurs,
Pour que nous semions la beauté et non la pollution ni la destruction.
Touche les cœurs
De ceux qui cherchent seulement des profits aux dépens de la terre et des pauvres.
Apprends-nous à découvrir la valeur de chaque chose,
À contempler, émerveillés,
À reconnaître que nous sommes profondément unis
À toutes les créatures sur notre chemin vers ta lumière infinie.
Merci parce que tu es avec nous tous les jours.
Soutiens-nous, nous t’en prions, dans notre lutte
Pour la justice, l’amour et la paix.
Belle prière à tous,
Nathalie et Pascal
CHANT
Nos mains vers le Ciel (Frat 2017) Levons nos mains vers le ciel pour célébrer une nation fraternelle, en chemin vers le Seigneur !
Tu fais de nous ta demeure (ta demeure)
Viens révéler ton amour, en toi nous serons vivant pour toujours
Levons nos mains vers le ciel
Louer l’éternel
Levons nos mains vers le ciel
Pour le fraternel
Toi le souffle vivifiant (vivifiant)
Viens souffler des quatres vents (quatres vents)
Nos vies seront relevées et dans un esprit nouveau libérées
Levons nos mains vers le ciel
Louer l’éternel
Levons nos mains vers le ciel
Pour le fraternel
Toi le souffle missionnaire (missionnaire)
Viens souffler sur notre terre (notre terre)
Toi l’esprit qui nous envoie porter jusqu’au bout du monde notre joie
Levons nos mains vers le ciel
Louer l’éternel
Levons nos mains vers le ciel
Pour le fraternel
Levons nos mains vers le ciel
Louer l’éternel
Levons nos mains vers le ciel
Pour le fraternel
EVANGILE
« Au jour du Jugement, Tyr et Sidon et le pays de Sodome seront traités moins sévèrement que vous » (Mt 11, 20-24)
Évangile de Jésus Christ selon Saint Matthieu
En ce temps-là,
Jésus se mit à faire des reproches
aux villes où avaient eu lieu la plupart de ses miracles,
parce qu’elles ne s’étaient pas converties :
« Malheureuse es-tu, Corazine !
Malheureuse es-tu, Bethsaïde !
Car, si les miracles qui ont eu lieu chez vous
avaient eu lieu à Tyr et à Sidon,
ces villes, autrefois, se seraient converties,
sous le sac et la cendre.
Aussi, je vous le déclare :
au jour du Jugement,
Tyr et Sidon seront traitées moins sévèrement que vous.
Et toi, Capharnaüm, seras-tu donc élevée jusqu’au ciel ?
Non, tu descendras jusqu’au séjour des morts !
Car, si les miracles qui ont eu lieu chez toi
avaient eu lieu à Sodome,
cette ville serait encore là aujourd’hui.
Aussi, je vous le déclare :
au jour du Jugement,
le pays de Sodome sera traité moins sévèrement que toi. »
– Acclamons la Parole de Dieu : Louange à toi, Seigneur Jésus !
Méditation du Père Jean-Marie Petitclerc (RCF)
Et si plutôt que toujours vouloir trouver une explication, nous osions bien simplement te dire ce matin, Jésus, que nous avons du mal à te suivre … D’où vient ta colère, Toi que notre pape François ne cesse de nous présenter comme le visage de la miséricorde de Dieu ! Qu’est-ce donc qui Te pousse à prononcer ces malédictions, Toi qui ne cesses de témoigner des bénédictions de ton Père ?
Oui, nous le savons, tu es prêt à pardonner toutes les bassesses et vilénies des hommes, mais il est une chose que tu ne supportes pas, c’est de pécher contre l’Esprit de Vérité … c’est l’hypocrisie.
Entendons-nous bien ! Ce que tu reproches à tous les habitants de ces villes, ce n’est pas leur aveuglement, car tu es toujours prêt à nous guérir de nos aveuglements. Non, ce que tu leur reproches, au contraire, c’est de voir … de savoir ce qu’il y a à faire … et de refuser de le faire car il s’agirait d’une trop forte remise en cause … d’un changement de direction, ce que signifie le mot « conversion », utilisé ici non pas dans le sens qu’il a en mathématiques, où il s’agit d’écrire différemment la même chose (2/4 = ½), mais dans le domaine du ski, lorsqu’il s’agit de s’arrêter devant l’obstacle, et de repartir dans l’autre sens.
C’est ce refus de se convertir … de repartir dans le bon sens que dénonce Jésus… S’installer dans le mensonge ne peut pas mener au bonheur. Voici alors que Tu ne maudis pas ces villes mais que Tu les plains en les qualifiant de malheureuses …
Oui, Seigneur, une fois éclairés par ta Parole, donne-nous aujourd’hui le courage de mettre nos actes en conformité avec elle … En cette journée de fête nationale, où nous mettons à l’honneur tous nos soignants, puissions-nous ne pas oublier trop vite toutes les résolutions que nous avons prises durant le temps de confinement. Puisse « le monde d’après » ne pas reproduire à l’identique « le monde d’avant » !
Homélie du Père Maximin Noudehou
« Malheureuse es-tu, Corazine ! »
Durant sa mission, Jésus a gratifié Corazine, Bethsaïde et Capharnaüm de sa prévenance divine. Plusieurs miracles s’y sont déroulés. Jésus constata que ces villes sont restées fermées à la grâce du Salut. Les miracles sont donc des appels à la conversion. Ils sont au service de l’œuvre du Salut. Corazine, Bethsaïde et Capharnaüm sont comme les sols infructueux de la parabole du semeur. Jésus ne les maudit pas. Il constate leur misère spirituelle et la dénonce. C’est encore un cri du Cœur divin… C’est le signe que le Seigneur ne les abandonne pas.
Chaque miracle est un clin d’œil, une visite du Seigneur. C’est une manière pour Dieu de frapper à la porte de nos cœurs, de solliciter notre foi. Ce qu’Il en attend, c’est le fruit de la conversion.
En réalité, toute notre vie est un torrent de miracles ! Il ne suffit pas d’être témoin ou bénéficiaire des miracles pour être sauvé. Il convient d’en tirer profit pour revenir à notre Dieu. Deux attitudes sont dangereuses pour le chrétien.
Il y a la course au merveilleux, au sensationnel, aux miracles. Ces derniers flattent le cœur, suscitent une satisfaction apparente mais ils sont sans lendemain de Salut. La seconde attitude est celle de l’indifférence aux œuvres divines. Dans les deux cas, le véritable miracle ne se produit pas : celui de la conversion, fruit de l’amour pour Dieu. Ces deux attitudes marquent notre monde. Et bien des cœurs demeurent imperméables à la grâce. Leur Salut est compromis. Malheureusement, il y a des pasteurs du Peuple de Dieu qui perdent de vue cet unique essentiel pour privilégier un feu d’artifice de faits extraordinaires, étranges. Ils ne sont pas des serviteurs de Dieu.
Toute œuvre du Seigneur concourt au Salut.
De toi, que dira le Seigneur ?
Puissions-nous, par l’intercession de la Très Sainte Vierge Marie, prendre résolument le chemin de la conversion.
Paroles du Pape François

En résonance avec l’Évangile du jour, voici 3 méditations du Pape François autour de 3 paraboles, qui nous parlent de la grâce de la vérité intérieure, celle du cœur, et de l’importance de la Parole, de son écoute, de sa méditation, de sa mise en pratique pour faire germer cette vérité du cœur, ainsi que du pardon, de la miséricorde, et de la compassion qui sont des images concrètes de cette vérité en nous et de notre conversion.
Il est de notre responsabilité de nous convertir en réponse à la Parole de Dieu.
Les hypocrites ne connaissent pas la vérité du cœur
«Le Seigneur nous donne la grâce de la vérité intérieure». C’est la prière du Pape François lors de la messe à la Maison Sainte-Marthe ce vendredi 20 octobre 2017. Le Saint-Père a expliqué que le «vrai pardon de Dieu» est gratuit, «vient de sa grâce, de sa volonté». La sainteté explique le Pape, est «de recevoir toujours ce pardon» et d’y répondre par nos actes.
Dans l’évangile selon Saint Luc, Jésus nous met en garde sur ceux qui font semblant d’être saint. «Ce sont des hypocrites», explique le Pape. À l’intérieur, tout est sale, de l’extérieur, ils veulent apparaître justes et bons, «se font voir quand ils jeûnent, prient ou donnent l’aumône». Mais dans le cœur il n’y a rien, «il n’y a pas de substance», la «vérité est nulle» déplore François. «Ceux-ci maquillent l’âme, la sainteté est un maquillage pour eux. Jésus nous demande toujours d’être sincères dans le cœur». Voilà pourquoi le Pape donne ce conseil: «quand vous priez, allez le faire en secret; et quand vous donnez l’aumône, que votre main gauche ne sache pas ce que fait la droite, faites-le secrètement». Ceux qui ne sont pas en vérité mais «dans la justification de l’apparence», sont des «bulles de savon» qui n’existeront plus demain.
Jésus «nous demande d’être cohérents dans notre vie» rappelle le Pape, entre ce que nous faisons et ce que nous vivons dans notre cœur. «Le faux fait tellement mal, l’hypocrisie fait si mal». Mais c’est un mode de vie qui devient vite une habitude. C’est pourquoi François appelle à ne pas accuser les autres, mais à apprendre «la sagesse de s’accuser soi-même» sans couvrir nos fautes devant le Seigneur.
Maison Sainte-Marthe ce vendredi 20 octobre 2017
La Parole de Dieu, une semence féconde à accueillir et faire germer
Ce dimanche 12 juillet 2020 le Pape François nous parle du sens de la Parole de Dieu. En prenant appui sur l’Évangile selon saint Matthieu (13,1-23), qui relate la parabole du semeur, le Saint-Père a expliqué comment recevoir cette «semence féconde».
Le Pape François a rappelé que la Parole de Dieu, symbolisée par les semences, «n’est pas une Parole abstraite, mais c’est le Christ lui-même, le Verbe du Père qui s’est incarné dans le sein de Marie». Ainsi accueillir la Parole de Dieu «signifie accueillir la personne du Christ». Et le Saint-Père a observé les différentes façons de la recevoir, mettant en garde contre un accueil qui ne serait pas fertile.
Il y a tout d’abord le risque de la distraction, «un grand danger de notre temps». «Assaillis par tant de bavardages, par tant d’idéologies, par les possibilités permanentes de se distraire à la maison et à l’extérieur, on peut perdre le goût du silence, du recueillement, du dialogue avec le Seigneur, au point de risquer de perdre la foi».
L’enthousiasme momentané peut également représenter un écueil dans la mesure où il reste superficiel et «n’assimile pas la parole de Dieu». Le Saint-Père l’a comparé à «un terrain pierreux» avec peu de terre où la semence germe vite mais se dessèche rapidement car elle ne prend pas racine. Ainsi, «face à la première difficulté, une souffrance, un trouble de la vie, cette foi encore faible se dissout, comme la semence qui tombe au milieu des pierres se dessèche».
Chacun de nous possède en son cœur la semence de la Parole
Le troisième danger mis en exergue a été celui des préoccupations mondaines, un thème que le Saint-Père développe très régulièrement depuis le début de son pontificat, et qui consisterait à accueillir la Parole de Dieu comme un terrain où poussent des buissons épineux. Tromperie de la richesse, du succès agirait alors comme des épines étouffant la Parole et la privant de fruit.
«Le bon terrain», celui qui est fertile est celui où «la semence prend et porte du fruit». Une semence qui représente «ceux qui écoutent la Parole, l’accueillent, la conservent dans leur cœur et la mettent en pratique dans la vie de tous les jours» a souligné le Pape, en rappelant que «la parabole du semeur est un peu la “mère” de toutes les paraboles, parce qu’elle parle de l’écoute de la Parole». Une Parole, semence féconde et efficace en elle-même que «Dieu répand partout avec générosité, sans se soucier du gaspillage».
Personne n’est exclu, a insisté le Saint-Père, «chacun de nous est un terrain sur lequel tombe la semence de la Parole». Tous, «si nous le voulons, nous pouvons devenir un bon terrain, défriché et cultivé avec soin, pour faire mûrir la semence de la Parole». «Elle est déjà présente dans notre cœur», mais, a précisé le Pape, il nous revient de la faire la faire fructifier en distinguant parmi tant de voix et tant de paroles, celle du Seigneur, l’unique qui nous rend libres. Le Saint-Père a alors encouragé à «s’habituer à écouter la Parole de Dieu» invitant à avoir toujours avec soi une Bible.
Pape François, Angelus, dimanche 12 juillet 2020
La miséricorde est le vrai visage de l’amour
Ce dimanche 14 juillet, le Pape a commenté la parabole du «bon Samaritain», «paradigmatique de la vie chrétienne» ; un «trésor» qui est devenu «le modèle de la manière dont doit agir un chrétien». François prie la Vierge afin qu’elle donne aux fidèles «la grâce d’avoir et de croître dans la compassion» ; qu’elle les aide à comprendre et, surtout, à vivre toujours plus «le lien indissoluble qui existe entre l’amour pour Dieu notre Père et l’amour concret et généreux pour nos frères».
«Si en chemin, tu vois étendu par terre un sans-abri (…) ne te demande pas si cet homme est ivre, demande-toi si ton cœur ne s’est pas endurci, s’il n’est pas devenu un glaçon». Commentant la célèbre parabole du bon Samaritain qui aide l’homme tabassé et dépouillé par des brigands, le Pape a appelé chacun à ne pas «se laisser emporter par l’insensibilité égoïste». La capacité de compassion, explique-t-il, est devenue «la pierre de touche du chrétien et même de l’enseignement de Jésus», lui-même manifestant la compassion du Père envers nous.
«Soyez miséricordieux comme votre Père est miséricordieux». Voilà l’invitation du Pape pour qui «la miséricorde à l’égard d’une vie humaine dans un état de nécessité est le vrai visage de l’amour». C’est ainsi que l’on devient de vrais disciples de Jésus et que se manifeste le visage du Père.
A la demande posée par le docteur de la loi sur ce qui est nécessaire pour avoir en héritage la vie éternelle, Jésus invite à trouver la réponse dans les Écritures : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de toute ton intelligence, et ton prochain comme toi-même». Mais « qui est ce prochain ? »
Pour lui répondre, Jésus propose cette belle parabole. Il choisit comme figure positive un Samaritain, sachant pertinemment que ces derniers sont considérés comme des étrangers au peuple élu par les habitants de Judée. De cette manière explique François, «il veut dépasser les préjugés, en montrant que même un étranger, un homme qui ne connaît pas le vrai Dieu et ne fréquente pas son temple est capable de se comporter selon sa volonté, en manifestant de la compassion pour son frère dans le besoin et en lui apportant son secours avec tous les moyens à sa disposition».
Contrairement au prêtre et au lévite qui avaient croisé l’homme avant lui sans l’aider par peur d’être contaminés par son sang, le Samaritain ne place pas une règle humaine liée au culte, avant «le grand commandement de Dieu qui veut, avant toute chose la miséricorde»
Être capable de compassion est la clé
Jésus choisit donc comme modèle une personne qui n’avait pas la foi. Cet homme «aimant son frère comme soi-même, démontre qu’il aime Dieu – un Dieu qu’il ne connaît pas- de tout son cœur et de toutes ses forces, et exprime en même temps une vraie religiosité et une pleine humanité». Il invite ainsi les fidèles à songer à toutes les personnes qu’ils connaissent et qui sont, peut-être agnostiques, mais qui font le bien. «Être capable de compassion, c’est la clé» affirme-t-il.
La question n’est pas qui est mon prochain mais qui est le prochain de l’homme tombé aux mains des bandits. Jésus nous fait comprendre, explique le Pape, que «ce n’est pas nous qui, selon nos critères, définissons qui est notre prochain et qui ne l’est pas, mais c’est la personne dans une situation de besoin qui doit pouvoir reconnaître qui est son prochain, qui ‘a fait preuve de pitié envers lui’».
Le Pape qui prie la Vierge Marie afin qu’elle «nous aide à comprendre et surtout à vivre toujours plus le lien indissoluble qui existe entre l’amour pour Dieu notre Père et l’amour concret et généreux pour nos frères ; qu’elle nous donne la grâce d’avoir et de croître dans la compassion».
Notre Père
Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour. Pardonne nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensé. Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal. Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Par ta miséricorde, libère-nous du péché, rassure-nous devant les épreuves en cette vie où nous espérons le bonheur que tu promets et l’avènement de Jésus le Christ, notre Sauveur. Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen ! Seigneur Jésus-Christ, tu as dit à tes Apôtres : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix ». Ne regarde pas nos péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen ! |
Prière à Marie
Avec le Pape François, demandons l'intercession de Marie : « Oh Marie, tu brilles toujours sur notre chemin en signe de salut et d’espoir. Nous te faisons confiance, reine des malades, toi qui a gardé une foi ferme alors que tu as partagé la douleur de Jésus au pied de la croix. Toi, salut du peuple romain, tu sais ce dont nous avons besoin et nous sommes sûrs que tu exauceras nos demandes, tout comme tu as fait revenir la joie et la fête lors des noces de Cana en Galilée, après un moment d’épreuve. Aide-nous, mère de l’amour divin, à nous conformer à la volonté du Père et à faire ce que Jésus nous dit, Lui qui a pris sur lui nos souffrances et a été chargé de nos douleurs pour nous porter à travers la croix à la joie de la résurrection. Amen. Sous ta protection, nous nous réfugions, sainte mère de Dieu. Ne méprise pas les demandes que nous t’adressons dans le besoin. Au contraire, délivre-nous de tout danger, Oh glorieuse et bénie Vierge Marie. »
Je vous salue Marie pleine de grâce, le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, Maintenant et à l’heure de notre mort. |

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