Prenons le temps d’écouter notre petite voix intérieure !

Bonjour les amis,

Ne vous êtes-vous jamais senti dépassé par les événements ? par l’accumulation de nouvelles qui peuvent apparaitre mauvaises au premier abord ? senti comme vide d’espoir ? Qu’ai-je fait au Seigneur pour mériter cela ? Je mets tout mon amour dans ce que je fais et je reçois cela en retour !
Il est des démons intérieurs qui reviennent au pas de course si on leur ouvre la porte, et des démons extérieurs, comme ces personnes de bon conseil qui nous expliquent après la bataille ce qu’il fallait faire.

« Voici que moi, je vous envoie comme des brebis au milieu des loups. Soyez donc prudents comme les serpents, et candides comme les colombes.» « Quand on vous livrera, ne vous inquiétez pas de savoir ce que vous direz ni comment vous le direz : ce que vous aurez à dire vous sera donné à cette heure-là. Car ce n’est pas vous qui parlerez, c’est l’Esprit de votre Père qui parlera en vous »
Dans ces moments de faiblesse, de doute, là où les démons tentent de nous déstabiliser, disons tout de suite : Stop ! Et souvenons-nous de ces paroles de Jésus – « ne vous inquiétez pas », « l’Esprit de votre Père parlera en vous «  – pour ne laisser entrer en nous que la lumière et dissoudre nos faiblesses et nos doutes dans l’Amour de Dieu.

Nous sommes en mission pour Jésus. Quelle belle expérience que d’être envoyé en mission par Jésus ! Jésus ne nous cache pas les difficultés que nous pourrons rencontrer mais la mission est le lieu par excellence où nous pouvons expérimenter notre proximité à Lui. Non seulement il s’agit de dire ce que Jésus dit, de faire ce que Jésus fait, mais il s’agit de laisser l’Esprit de Dieu parler en nous et à travers nous. Avoir confiance et nous laisser faire ! On redit souvent cela mais ce n’est pas facile à vivre dans les difficultés.
Nous pouvons vivre cette expérience en particulier lorsque nous sommes dépassés par les événements, lorsque nous nous retrouvons dans des situations inédites ou compliquées. Là, à ce moment là, nous devons être particulièrement attentifs à la voix intérieure de l’Esprit Saint qui vient discrètement nous guider et mettre dans notre bouche les paroles de Jésus. Là encore ce n’est pas si simple mais il faut juste nous calmer, nous poser et écouter cette petite voix. Elle est là, toujours bienveillante. Quand nous arrivons à l’entendre, quelle joie, quelle chaleur, quel réconfort ! Les doutes s’effacent et nous abordons les difficultés d’une autre manière, avec confiance. Nous ne sommes plus seuls face aux problèmes et cela change tout. J’ai vécu cela ce matin.

N’ayons pas peur et même réjouissons-nous de ces situations compliquées de prime abord, mais où le Seigneur nous permet d’être missionnaires !

Belle prière à tous,
Nathalie et Pascal

CHANT

Le Saint Esprit descendra (chant de l’Emmanuel) D’où vient cette voix intérieure ? Du Saint Esprit que le Seigneur fait descendre sur nous dans ces moments où nous en avons besoin. Il parle en nous et à travers nous.

1. Notre Père, répands sur nous l’Esprit Dont tu as rempli Jésus-Christ.
Par ta force, nous irons proclamer Qu’il est vivant, ressuscité

R. Le Saint-Esprit descendra dans nos cœurs, Nous recevrons la force du Très-Haut,
Pour aller jusqu’aux confins de la terre, Et nous serons les témoins de Jésus. (bis)

Coda : Alléluia, Alléluia….

2. Notre Père, illumine nos cœurs De la lumière de Jésus !
Ouvre nos yeux, viens chasser notre peur, Par l’espérance du Salut.

3. Notre Père, viens répandre en nos cœurs, L’Esprit de force et de douceur.
Que nos âmes, par lui soient consacrées, Nous t’offrons nos vies à jamais !

EVANGILE

« Ce n’est pas vous qui parlerez, c’est l’Esprit de votre Père » (Mt 10, 16-23)

Évangile de Jésus Christ selon Saint Matthieu

En ce temps-là, Jésus disait à ses Apôtres :
« Voici que moi, je vous envoie
comme des brebis au milieu des loups.
Soyez donc prudents comme les serpents,
et candides comme les colombes.
Méfiez-vous des hommes :
ils vous livreront aux tribunaux
et vous flagelleront dans leurs synagogues.
Vous serez conduits devant des gouverneurs et des rois
à cause de moi :
il y aura là un témoignage pour eux et pour les païens.
Quand on vous livrera,
ne vous inquiétez pas de savoir
ce que vous direz ni comment vous le direz :
ce que vous aurez à dire
vous sera donné à cette heure-là.
Car ce n’est pas vous qui parlerez,
c’est l’Esprit de votre Père qui parlera en vous.
Le frère livrera son frère à la mort,
et le père, son enfant ;
les enfants se dresseront contre leurs parents
et les feront mettre à mort.
Vous serez détestés de tous à cause de mon nom ;
mais celui qui aura persévéré jusqu’à la fin,
celui-là sera sauvé.
Quand on vous persécutera dans une ville,
fuyez dans une autre.
Amen, je vous le dis :
vous n’aurez pas fini de passer dans toutes les villes d’Israël
quand le Fils de l’homme viendra. »

– Acclamons la Parole de Dieu : Louange à toi, Seigneur Jésus !

Méditation du Pasteur Nicole Fabre (RCF)

Voilà un texte qui met en valeur la ruse des serpents, quand elle est alliée à la simplicité, la candeur des colombes. Et nous pouvons dire l’inverse : voilà un texte qui fait l’éloge de la candeur… quand elle est alliée à la ruse des serpents. Pourtant, dans la genèse, la ruse du serpent est très négative pour nous, lecteurs de la Bible. Et la candeur est si souvent désincarnée.  Peut-être justement parce qu’il n’y avait aucune bienveillance qui l’accompagnait. Mais comment vivre ce qui peut nous paraître comme un écartèlement ? La clef donnée par le texte est toujours la même que celle donnée ces jours derniers : ne vous inquiétez pas de savoir comment parler ou que dire. L’Esprit de votre Père qui parlera en vous. L’essentiel est de continuer à nous appuyer sur ce lien indéfectible de la présence du Père, donnée par l’Esprit qui fait sa demeure en nous. Car sans ce lien vital, nous tombons dans la ruse et l’amertume, ou dans la candeur désincarnée. Or ni l’un, ni l’autre ne rend témoignage de cette vie toute autre proposée par le Père, chemin ouvert par le Fils et que l’Esprit ne cesse de rendre actif en nous et dans le monde.

Père, garde nous dans la confiance en ta présence concrète à nos côtés. Qu’elle fasse naître en nous ce témoignage unique de ton amour au cœur de la violence, de ta sagesse au cœur de tout ce qui est insensé.

Homélie du Père Maximin Noudehou

« Soyez donc prudents… et candides… » À ceux qu’Il veut envoyer en mission, Jésus recommande une attitude aux antipodes de celles de leurs auditeurs : « Voici que moi, je vous envoie comme des brebis au milieu des loups. » En demandant à ses disciples d’être des brebis, Jésus les invite non seulement à accepter leur fragilité mais surtout à demeurer dans la communion avec Lui, le Berger, à reconnaître qu’Il est avec eux, qu’Il les guide, les protège, les nourrit. Mais, la confiance en Lui ne saurait les inscrire dans la passivité, bien au contraire ! « Soyez donc prudents comme les serpents,et candides comme les colombes. » Nul envoyé ne peut, sans danger, se couper de Celui qui l’envoie. L’hostilité de l’environnement ne saurait justifier, de notre part, une quelconque renonciation à la fidélité au Christ et à l’abandon total à sa Volonté. La prudence et la candeur sont l’expression du réalisme qui doit nous caractériser. Elles témoignent également d’un appel radical à la vertu. Comme le dit Saint Paul, nous ne pouvons pas prendre pour modèle, le monde présent. (Cf. Rm 12, 2) Nos cœurs doivent rester attachés au Christ pour L’imiter.
Le Mal ne saurait servir de repère de vie.
Dans quelle mesure persévères-tu dans le Bien et la Vertu ?

« Soyez prudents… et candides… »
Jésus fait comprendre à ses disciples que la persécution est inhérente à la mission. « Méfiez-vous des hommes : ils vous livreront aux tribunaux et vous flagelleront dans leurs synagogues. […] Vous serez détestés de tous à cause de mon nom ; mais celui qui aura persévéré jusqu’à la fin, celui-là sera sauvé. » Cette persécution viendrait de toute part.
Au cœur de cette épreuve inévitable, nous avons à demeurer constants, à garder les yeux fixés sur le Christ. (Cf. Hé 12, 2) Rien ne devrait nous détourner de la mission qui nous est confiée. Notre détermination devra s’enraciner dans la quête du Salut. Ce faisant, nous serons des témoins pour tous.
Pour le disciple du Christ, la croix et la gloire s’embrassent.
Dans quelle mesure persévères-tu dans l’amour du Christ ?

« Soyez prudents… et candides… »
Jésus signifie à ses disciples que, dans la persécution, la fidélité de Dieu ne peut être prise à défaut. Dieu reste uni à son fidèle et le défend. « Quand on vous livrera, ne vous inquiétez pas de savoir ce que vous direz ni comment vous le direz : ce que vous aurez à dire vous sera donné à cette heure-là. Car ce n’est pas vous qui parlerez, c’est l’Esprit de votre Père qui parlera en vous. »
Au cœur de la persécution, nous avons à demeurer à l’écoute du Seigneur. Ainsi, ce qui nous est demandé comme disciples du Christ, en toutes circonstances, c’est la fidélité et l’intimité avec le Seigneur. Demeurer un instrument du Christ nous conduit au Salut. (Cf. Ga 2, 20)
Il est fidèle, notre Dieu.
Dans quelle mesure persévères-tu l’écoute de l’Esprit Saint ?

Puissions-nous, par l’intercession de la Très Sainte Vierge Marie, demeurer fidèles au Seigneur envers et contre tout.

Paroles du Pape François

Après avoir manifesté son autorité en réalisant des guérisons, des expulsions de démons et manifesté son désir de voir le monde apaisé intérieurement, le Seigneur prépare ses douze apôtres à la mission qu’ils auront à vivre au milieu d’un monde hostile à tout changement. Un monde qui ressemble beaucoup au nôtre et auquel le pape François a essayé de donner une réponse pour aujourd’hui dans son exhortation Gaudete et exsultate  au quatrième chapitre, dont voici quelques extraits.

110. Dans le grand tableau de la sainteté que nous proposent les béatitudes et Matthieu 25, 31-46, je voudrais recueillir certaines caractéristiques ou expressions spirituelles qui, à mon avis, sont indispensables pour comprendre le style de vie auquel Jésus nous appelle…Je me référerai uniquement à quelques aspects de l’appel à la sainteté dont j’espère qu’ils résonneront de manière spéciale.
111. Ces caractéristiques que je voudrais souligner ne sont pas toutes celles qui peuvent composer un modèle de sainteté, mais elles sont au nombre de cinq, les grandes manifestations de l’amour envers Dieu et le prochain que je considère d’une importance particulière, vu certains risques et certaines limites de la culture d’aujourd’hui. Dans cette culture se manifestent : l’anxiété nerveuse et violente qui nous disperse et nous affaiblit ; la négativité et la tristesse ; l’acédie commode, consumériste et égoïste ; l’individualisme et de nombreuses formes de fausse spiritualité sans rencontre avec Dieu qui règnent dans le marché religieux actuel.
Endurance, patience et douceur
112. La première de ces grandes caractéristiques, c’est d’être centré, solidement axé sur Dieu qui aime et qui soutient. Grâce à cette force intérieure, il est possible d’endurer, de supporter les contrariétés, les vicissitudes de la vie, et aussi les agressions de la part des autres, leurs infidélités et leurs défauts : « Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? » (Rm 8, 31). Voilà la source de la paix qui s’exprime dans les attitudes d’un saint. Grâce à cette force intérieure, le témoignage de sainteté, dans notre monde pressé, changeant et agressif, est fait de patience et de constance dans le bien. C’est la fidélité de l’amour, car celui qui s’appuie sur Dieu (pistis) peut également être fidèle aux frères (pistós) ; il ne les abandonne pas dans les moments difficiles, il ne se laisse pas mener par l’anxiété et reste aux côtés des autres même lorsque cela ne lui donne pas de satisfactions immédiates.
113. Saint Paul invitait les Romains à ne « rendre à personne le mal pour le mal » (Rm 12, 17), à ne pas vouloir se « faire justice à [eux]-mêmes » (v. 19), et à ne pas se laisser vaincre par le mal, mais à être vainqueurs « du mal par le bien » (v. 21). Cette attitude n’est pas un signe de faiblesse mais de la vraie force, car Dieu lui-même « est lent à la colère, mais grand par sa puissance » (Na 1, 3). La Parole de Dieu nous met en garde : « Aigreur, emportement, colère, clameurs, outrages, tout cela doit être extirpé de chez vous, avec la malice sous toutes ses formes » (Ep 4, 31).
114. Il nous faut lutter et être attentifs face à nos propres penchants agressifs et égocentriques pour ne pas permettre qu’ils s’enracinent : « Emportez-vous, mais ne commettez pas le péché : que le soleil ne se couche pas sur votre colère » (Ep 4, 26). Quand des circonstances nous accablent, nous pouvons toujours recourir à l’ancre de la supplication qui nous conduit à demeurer encore dans les mains de Dieu et près de la source de la paix : « N’entretenez aucun souci ; mais en tout besoin recourez à l’oraison et à la prière, pénétrées d’action de grâces, pour présenter vos requêtes à Dieu. Alors la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, prendra sous sa garde vos cœurs et vos pensées » (Ph 4, 6-7).
116. La force intérieure qui est l’œuvre de la grâce nous préserve de la contagion de la violence qui envahit la vie sociale, car la grâce apaise la vanité et rend possible la douceur du cœur. Le saint ne consacre pas ses énergies à déplorer les erreurs d’autrui ; il est capable de faire silence devant les défauts de ses frères et il évite la violence verbale qui dévaste et maltraite, parce qu’il ne se juge pas digne d’être dur envers les autres, mais il les estime supérieurs à lui-même (cf. Ph 2, 3).
118. L’humilité ne peut s’enraciner dans le cœur qu’à travers les humiliations. Sans elles, il n’y a ni humilité ni sainteté. Si tu n’es pas capable de supporter et de souffrir quelques humiliations, tu n’es pas humble et tu n’es pas sur le chemin de la sainteté. La sainteté que Dieu offre à son Église vient à travers l’humiliation de son Fils. Voilà le chemin ! L’humiliation te conduit à ressembler à Jésus, c’est une partie inéluctable de l’imitation de Jésus-Christ : « Le Christ […] a souffert pour vous, vous laissant un modèle afin que vous suiviez ses traces » (1 P 2, 21). Pour sa part, il exprime l’humilité du Père qui s’humilie pour marcher avec son peuple, qui supporte ses infidélités et ses murmures (cf. Ex 34, 6-9 ; Sg 11, 23-12, 2 ; Lc 6, 36). C’est pourquoi les Apôtres, après l’humiliation, étaient « tout joyeux d’avoir été jugés dignes de subir des outrages pour le Nom de Jésus » (Ac 5, 41).
119. Je ne me réfère pas uniquement aux situations cruelles de martyre, mais aux humiliations quotidiennes de ceux qui se taisent pour sauver leur famille, ou évitent de parler bien d’eux-mêmes et préfèrent louer les autres au lieu de se glorifier, choisissent les tâches les moins gratifiantes, et même préfèrent parfois supporter quelque chose d’injuste pour l’offrir au Seigneur : « Si, faisant le bien, vous supportez la souffrance, c’est une grâce auprès de Dieu » (1 P 2, 20). Il ne s’agit pas de marcher la tête basse, de parler peu ou de fuir la société. Parfois précisément, parce que libéré de l’égocentrisme, quelqu’un peut oser discuter gentiment, réclamer la justice ou défendre les faibles face aux puissants, bien que cela lui attire des conséquences négatives pour son image.
120. Je ne dis pas que l’humiliation soit quelque chose d’agréable, car ce serait du masochisme, mais je dis qu’il s’agit d’un chemin pour imiter Jésus et grandir dans l’union avec lui. Cela ne va pas de soi et le monde se moque d’une pareille proposition. C’est une grâce qu’il nous faut demander : ‘‘Seigneur, quand arrivent les humiliations, aide-moi à sentir que je suis derrière toi, sur ton chemin’’.
121. Cette attitude suppose un cœur pacifié par le Christ, libéré de cette agressivité qui jaillit d’un ego démesuré. La même pacification que réalise la grâce nous permet de garder une assurance intérieure et de supporter, de persévérer dans le bien même en traversant « un ravin de ténèbres » (Ps 23, 4), ou même si une armée vient « camper contre moi » (Ps 27, 3). Fermes dans le Seigneur, le Rocher, nous pouvons chanter : « En paix, tout aussitôt, je me couche et je dors : c’est toi, Seigneur, qui m’établis à part, en sûreté » (Ps 4, 9). En définitive, le Christ « est notre paix » (Ep 2, 14), il vient « guider nos pas dans le chemin de la paix » (Lc 1, 79). Il a communiqué à sainte Faustine Kowalska : « L’humanité ne trouvera pas la paix tant qu’elle ne se tournera pas avec confiance vers ma miséricorde divine »[98]. Ne tombons donc pas dans la tentation de chercher l’assurance intérieure dans le succès, dans les plaisirs vides, dans la possession, dans la domination des autres ou dans l’image sociale : « Je vous laisse la paix ; c’est ma paix que je vous donne ; je ne vous la donne pas comme le monde la donne » (Jn 14, 27).

Ne ne pouvons que vous encourager à lire et relire cet ouvrage

Tiré de l’exortation apostolique Gaudete et Exsultate du Pape François,

Notre Père

Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous  aujourd’hui  notre  pain  de  ce  jour.
Pardonne  nous  nos  offenses,  comme  nous  pardonnons  aussi  à  ceux qui nous ont offensé.
Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal.

Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Par ta miséricorde, libère-nous du péché, rassure-nous devant  les  épreuves  en  cette  vie  où  nous  espérons  le  bonheur  que  tu  promets  et  l’avènement  de  Jésus  le Christ,  notre  Sauveur.

Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen !

Seigneur  Jésus-Christ,  tu  as  dit  à  tes  Apôtres  :  « Je  vous  laisse  la  paix,  je  vous  donne  ma  paix ». Ne  regarde  pas  nos  péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen !

Prière à Marie

R/ Ave Maria, entends nos prières,
Ô Mère, éclaire nos nuits et nos jours!
Prie pour nous tes enfants!
Ave Maria, chemin de lumière,
Ô Mère, mystère d’amour!


Debout, près de la croix,
Entends nos « pourquoi »!
Le chemin est étroit,
Ô MARIE STELLA!

Visage de la foi,
Cantique de joie,
Étoile pour nos pas,
SALVE REGINA!

Pour arriver là-bas,
Vers LUI avec Toi,
Tu nous ouvres les bras,
SANCTA MARIA!




Je vous salue Marie pleine de grâce, le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.

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