On a tous quelque chose en nous de Saint Thomas

Bonjour les amis,

Aujourd’hui en ce dernier jour d’école, nous fêtons Saint Thomas.
Thomas fait partie des premiers disciples choisis par Jésus. Il est celui qui questionne, lorsque Jésus annonce son départ : »Seigneur nous ne savons pas où tu vas, comment saurions nous le chemin ? » Et Jésus de lui répondre : « Je suis le chemin, la vérité et la vie« .

Thomas est celui qui veut s’assurer que le ressuscité est bien celui qu’on a crucifié. Il est celui qui doute, celui qui veut comprendre, qui veut des preuves. Il met des conditions à sa foi. Mais il est aussi très loyal: quand il est convaincu, il est prêt à suivre Jésus jusqu’à la mort, à Béthanie par exemple. Quand il touche les plaies du ressuscité, il affirme « Mon Seigneur et mon maître« . Quand il dit oui, c’est un oui définitif.

Thomas signifie Jumeau. Cela m’a toujours rappelé que faire les choses à deux, vivre à deux, cheminer à deux, regarder à deux dans la même direction, est toujours plus beau que de le faire tout seul.
Je crois que nous avons tous un peu de Thomas en nous. Nos doutes, notre besoin de preuves, notre questionnement permanent, notre envie de comprendre, notre engagement total lorsque nous sommes convaincus, notre besoin de l’autre.
Avec Thomas, laissons-nous questionner par la parole de Dieu, et n’hésitons pas à questionner le Seigneur dans nos cœur à cœur avec Lui, et demandons aussi la grâce de dire des vrais « oui » à Jésus.
« Heureux ceux qui croient sans avoir vu. » C’est bien évidemment à nous que cette parole s’adresse.
Seigneur, que s’accomplisse en nous cette béatitude !
Ceux qui ont vu et touché comme Thomas, ont cru et nous témoignent que Jésus est ressuscité.
Seigneur, aide-moi à croire. La foi est un don qui vient de Toi. Un don qui nous fait participer de Ta vie. Aide-moi à voir toute ma vie, même les plus petites choses, avec foi. Que le regard de la foi devienne habituel en moi. Et avec saint Thomas, je pourrai me mettre à genoux devant toi tous les jours de ma vie et redire ces paroles : « Mon Seigneur et mon Dieu ! »

Si vous en avez le temps, méditez ce texte de St Paul, 1ère lecture du jour :
Frères, vous n’êtes plus des étrangers ni des gens de passage, vous êtes concitoyens des saints, vous êtes membres de la famille de Dieu, car vous avez été intégrés dans la construction qui a pour fondations les Apôtres et les prophètes ; et la pierre angulaire, c’est le Christ Jésus lui-même.
En lui, toute la construction s’élève harmonieusement pour devenir un temple saint dans le Seigneur. En lui, vous êtes, vous aussi, des éléments d’une même construction pour devenir une demeure de Dieu par l’Esprit Saint.

Repensons à tous les prophètes et apôtres qui nous ont marqués et à qui nous sommes particulièrement attachés, eux qui nous accompagnent dans notre chemin de foi.
Contemplons cette image de la construction qu’est le peuple de Dieu, et de la pierre que nous sommes tous. Pensons au ciment qui nous lie, nous les pierres. Pensons à Jésus, pierre angulaire de cette construction, celle qui fait tenir l’édifice.
Repensons à des paroles de Jésus qui ont aidé à nous sculpter et à nous intégrer harmonieusement dans ce monument, même s’il reste encore des aspects bancals et mal ajustés dans nos vies.
Seigneur, fortifie notre foi, que nous soyons des pierres solides et ajustées de ta construction.

Bel été à tous les écoliers, collégiens, lycéens, étudiants, enseignants. Que ces deux mois de repos ensoleillé soient propices à parler encore plus à Dieu, à Lui parler de votre vie, à vous rafraîchir avec la parole de Dieu, vous mettre à l’ombre des ailes du Seigneur, à vous reposer dans les bras de Marie, et à exprimer votre amour au Seigneur dans le silence de la prière. Partagez votre joie, votre foi avec le plus grand nombre, car plus on les partage, plus ils grandissent.
Que vous puissiez vous ressourcer physiquement, moralement, et spirituellement !

Faisons nôtre pour cet été, ce poème de Charles Singer :
Depuis le temps que j’attends de me libérer de l’emploi du temps
Avec la répétition des contraintes et des horaires imposés
Et des gestes à répéter Aussi lourds que des pierres !
Voici le temps pour regarder le ciel
Et me baigner dans la musique, pour traîner calmement
Comme un oiseau dans le vent, pour m’envoler sur les pages de mon livre
sans que soit fixée en moi, pareille écharde,
la permanente obligation du travail toujours à terminer !
Voici le temps où les jours sont des trésors
qui me sont donnés, pour trouver le goût du silence
et la couleur du bonheur, pour changer de regard
et m’étonner devant les visages que je croyais connaître,
pour casser les habitudes et distribuer mon sourire,
pour aller doucement et parler sans être pressé
par la course de chaque jour.
Voici le temps pour prier Dieu et me tourner vers lui et lui dire
comme à un ami qu’on retrouve après un long travail :
‘’Vraiment, Seigneur, je suis heureux d’être près de toi.
Merci pour les vacances !
Je te le demande : apprends-moi à prendre ce temps
pour mettre la fraîcheur dans mon esprit et mon cœur !’’

Belle prière à tous,
Nathalie et Pascal

CHANT

Ce nom si merveilleux Posons-nous un instant pour gouter le délice qu’il y a à chanter la beauté et la grandeur du nom de Jésus… Lui notre Roi

Tu étais là dès la création
Fils unique du Dieu Très-Haut
Les mystères de Ta gloire révélés
En Toi Christ notre Seigneur

Ô ce nom est si merveilleux
Ô ce nom est si merveilleux
Le nom de Jésus-Christ mon Roi
Ô ce nom est si merveilleux
Sa beauté est sans pareille
Ô ce nom est si merveilleux
Le nom de Jésus

Tu n’as pas voulu les Cieux sans nous
Alors Jésus Tu es venu
Ton amour a vaincu mon péché
(Plus) rien ne peut nous séparer

Ô ce Nom est si glorieux
Ô ce Nom est si glorieux
Le nom de Jésus-Christ mon Roi
Ô ce Nom est si glorieux
Sa beauté est sans pareille
Ô ce Nom est si glorieux
Le nom de Jésus

La terre a tremblé
Le voile s’est déchiré
Désarmant la mort et le péché
Les cieux chantent Ta gloire
L’écho de Ta victoire
Car Tu es le Roi ressuscité

Tu es sans rival
Tu es sans égal
Dieu Tu triomphes à tout jamais
À Toi soit le règne
À Toi soit la gloire
(Car) Ton Nom surpasse tout autre nom

Ô ce nom est victorieux
Ô ce nom est victorieux
Le Nom de Jésus-Christ mon Roi
Ô ce nom est victorieux
Sa puissance est sans pareille
Ô ce nom est victorieux
Le nom de Jésus

EVANGILE

« Mon Seigneur et mon Dieu ! » (Jn 20, 24-29)

Évangile de Jésus Christ selon Saint Matthieu

L’un des Douze, Thomas (dont le nom signifie : Jumeau),
n’était pas avec eux quand Jésus était venu.
Les autres disciples lui disaient :
« Nous avons vu le Seigneur ! »
Mais il leur déclara :
« Si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous,
si je ne mets pas mon doigt à l’endroit des clous,
si je ne mets pas la main dans son côté,
non, je ne croirai pas ! »
Huit jours plus tard, les disciples se trouvaient de nouveau dans la maison,
et Thomas était avec eux.
Jésus vient, alors que les portes étaient verrouillées,
et il était là au milieu d’eux.
Il dit : « La paix soit avec vous ! »
Puis il dit à Thomas :
« Avance ton doigt ici, et vois mes mains ;
avance ta main, et mets-la dans mon côté :
cesse d’être incrédule,
sois croyant. »
Thomas lui dit alors :
« Mon Seigneur et mon Dieu ! »
Jésus lui dit :
« Parce que tu m’as vu, tu crois.
Heureux ceux qui croient sans avoir vu. »

– Acclamons la Parole de Dieu : Louange à toi, Seigneur Jésus !

Cette parole si profonde nous invite à un cri du cœur pour proclamer à la face du monde notre credo … Oui Je Crois !

Oui je crois en Dieu le Père
Oui je crois en Jésus Christ
Rédempteur de notre terre
Oui je crois au Saint Esprit

Je crois en Dieu
le Père tout puissant
Créateur du ciel et de la terre

En Jésus Christ
son fils notre Seigneur
Qui a été conçu du Saint Esprit

Oui je crois en Dieu le Père
Oui je crois en Jésus Christ
Rédempteur de notre terre
Oui je crois au Saint Esprit

Jésus est né
de la Vierge Marie
A souffert sous Ponce Pilate

Roi crucifié
mort et enseveli
Il est descendu jusqu’aux enfers

Oui je crois en Dieu le Père
Oui je crois en Jésus Christ
Rédempteur de notre terre
Oui je crois au Saint Esprit

Le troisième jour
il est ressuscité
Le fils de Dieu
est monté jusqu’aux cieux

Il est assis à la droite du Père
D’où il viendra juger
les vivants et les morts

Oui je crois en Dieu le Père
Oui je crois en Jésus Christ
Rédempteur de notre terre
Oui je crois au Saint Esprit

Oui je crois
en son Esprit Saint
A la Sainte Eglise Catholique

Oui je crois
à la communion des Saints
A la rémission des péchés
A la résurrection de la chair
A la vie éternelle
amen

Oui je crois en Dieu le Père
Oui je crois en Jésus Christ
Rédempteur de notre terre
Oui je crois au Saint Esprit
Oui je crois au Saint Esprit
Oui je crois au Saint Esprit

Méditation du Père Nicolas de Boccard (RCF)

Thomas ne voulait pas admettre la résurrection et le Christ est venu se manifester à lui. « Si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous, si je ne mets pas mon doigt à l’endroit des clous, si je ne mets pas la main dans son côté, non, je n’y croirai pas » : somme toute, une telle requête n’est-elle pas normale ? En effet, serait-il bien raisonnable d’engager toute sa vie à la suite de ce prétendu ressuscité sans un minimum de garanties ?
Ce qui est touchant c’est que Jésus va consentir à cette demande de Thomas. En invitant son Apôtre à avancer la main et à la mettre dans son côté, il va bien lui donner une « preuve » tangible de sa résurrection. Mais en même temps, il lui intime de cesser d’être incrédule et de devenir croyant. Thomas peut alors accueillir la grâce et prononcer dans l’Esprit la plus belle profession de foi des évangiles : « Mon Seigneur et mon Dieu ! ». L’Esprit Saint lui a donné de reconnaître en Jésus, le Fils de Dieu, vainqueur du monde.
Son incrédulité a été la cause d’une certitude encore plus grande en la résurrection. Chacun de nous, à la suite de Thomas, est amené à poser cet acte de foi en rejoignant la communauté des croyants : l’Eglise. L’Eglise, disait Bossuet, c’est le « Christ continué ». Oui, Il continue son histoire, à travers son Eglise, à travers nous. Tâchons de ne pas l’abîmer et de transmettre à nos frères la joie de croire, de nous retrouver, de partager ensemble la même passion, le même amour que celui de Dieu pour notre monde.

Homélie du Père Maximin Noudehou

« Non, je ne croirai pas ! »
Le jour même de sa résurrection, Jésus apparaît à ses disciples enfermés. Mais Thomas, alors absent, refuse de croire ses compagnons. Du moins, il pose les conditions de son adhésion : « Si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous, si je ne mets pas mon doigt à l’endroit des clous, si je ne mets pas la main dans son côté, non, je ne croirai pas ! » Ce que Thomas demande correspond aux signes de la Passion du Christ, preuve de son Amour infini pour l’humanité.
Heureuse absence ! Elle offre, à la communauté des disciples, l’occasion de rendre témoignage. Ils assument ainsi leur mission. L’absence physique ou spirituelle de nos frères et sœurs en humanité s’offre désormais à nous comme un défi de témoignage et non de critique. Elle est un appel à l’ouverture. Elle nous interpelle dans notre capacité à proposer la foi chrétienne à celles et ceux qui nous semblent si loin mais qui, en réalité, sont si proches. Une communauté, dans laquelle la critique prospère, renonce à sa mission de témoignage et de sortie. Ce que les frères jumeaux de saint Thomas attendent de nous, c’est que nous manifestions le Christ crucifié, c’est-à-dire son Amour rédempteur.
Nul ne peut témoigner du Ressuscité dans l’ignorance de sa Passion.
Dans quelle mesure la Croix du Christ fait-elle partie de ta vie ?

« Non, je ne croirai pas ! »
Si Thomas a réintégré la communauté, c’est dire que la communauté, elle aussi, a intégré sa demande. Elle a accueilli sa différence. Elle a acquiescé à la remise en cause de son témoignage. Alors le Seigneur, le tout Autre, peut se manifester, à nouveau, à elle et en elle, et lui offrir sa Paix. Il peut, Lui aussi, rejoindre les différences et la soif de son Amour. Thomas a alors compris  et cru : « « Mon Seigneur et mon Dieu ! » Jésus lui dit : « Parce que tu m’as vu, tu crois. Heureux ceux qui croient sans avoir vu. » » Jésus invite Thomas à une foi dépouillée, une foi qui s’enracine dans la foi de la communauté.
A la vue des signes de la Croix du Christ, Thomas reconnaît son Dieu et Seigneur. A la vue des plaies, Thomas confesse Celui qui guérit toutes les blessures du monde.
Croire sans voir, c’est faire confiance au témoignage de la communauté malgré les limites de celle-ci.
Dans la communauté, Dieu fortifie la foi.
A quelle communauté appartiens-tu ?

Seigneur, par l’intercession de la Très Sainte Vierge Marie et de St Thomas, viens enraciner notre foi.

Paroles du Pape François

Il faut sortir de nous-mêmes et aller sur les routes de l’homme pour découvrir que les plaies de Jésus sont visibles aujourd’hui encore sur le corps de tous nos frères qui ont faim, soif, qui sont nus, humiliés, esclaves, qui se trouvent en prison et à l’hôpital. Et c’est précisément en touchant ces plaies, en les caressant, qu’il est possible d’« adorer le Dieu vivant parmi nous ». La célébration de la fête de saint Thomas apôtre a offert au Pape François l’occasion de revenir sur un concept qui lui tient particulièrement à cœur : mettre les mains dans la chair de Jésus. Le geste de Thomas qui met le doigt dans les plaies de Jésus ressuscité a été en effet le thème central de l’homélie de la Messe du 3 juillet. L’on peut comprendre quelle était l’intention du Seigneur à l’égard de Thomas. En partant de son incrédulité, il ne l’a pas tant conduit à affirmer la résurrection, mais plutôt sa divinité. « Et Thomas, a dit le Pape, adore le Fils de Dieu. Mais pour adorer, pour trouver Dieu, le Fils de Dieu, il a dû mettre le doigt dans ses plaies, mettre la main sur son côté. Tel est le chemin ». Il n’en existe pas d’autre. Naturellement « dans l’histoire de l’Église, a poursuivi le Pontife, il y a eu quelques erreurs dans le chemin vers Dieu. Certains ont cru que le Dieu vivant, le Dieu des chrétiens » pouvait se trouver en allant « plus haut dans la méditation ». Mais cela est « dangereux ; combien se perdent sur ce chemin et n’arrivent jamais ? » a dit le Pape. « Ils arrivent peut-être à la connaissance de Dieu, mais pas de Jésus Christ, Fils de Dieu, seconde personne de la Trinité. Ils n’arrivent pas à lui. C’est le chemin des gnostiques ; ils sont bons, ils travaillent, mais cela n’est pas le chemin juste, il est très compliqué » et ne conduit pas à bon port. D’autres, a poursuivi le Pape, « ont pensé que pour arriver à Dieu nous devons êtres bons, mortifiés, austères et ils ont choisi la voie de la pénitence, uniquement la pénitence, le jeûne. Ceux-là non plus ne sont pas arrivés au Dieu vivant, à Jésus Christ Dieu vivant ». Ces derniers, a-t-il ajouté, « sont les pélagiens, qui croient que par leur effort ils peuvent arriver. Mais Jésus nous dit cela : “Sur le chemin nous avons rencontré Thomas”. Mais comment puis-je trouver les plaies de Jésus aujourd’hui ? Je ne peux pas les voir comme Thomas les a vues. On trouve les plaies de Jésus en accomplissant des œuvres de miséricorde, en donnant au corps, au corps et aussi à l’âme, mais je souligne au corps de ton frère couvert de plaies, parce qu’il a faim, parce qu’il a soif, parce qu’il est nu, parce qu’il est humilié, parce qu’il est esclave, parce qu’il est en prison, parce qu’il est à l’hôpital. Ce sont les plaies de Jésus aujourd’hui. Cela n’est pas suffisant, a encore ajouté le Pape, de constituer « une fondation pour aider toutes les personnes », ni de faire « tant de bonnes choses pour les aider ». Tout cela est important, mais ne serait qu’un comportement de philanthropes. En revanche, a dit le Pape François, « nous devons toucher les plaies de Jésus, nous devons caresser les plaies de Jésus. Nous devons soigner les plaies de Jésus avec tendresse. Nous devons littéralement embrasser les plaies de Jésus ». La vie de saint François a changé quand il a embrassé le lépreux, car il « a touché le Dieu vivant et a vécu en adoration ». « Ce que Jésus nous demande de faire avec nos œuvres de miséricorde est ce que Thomas avait demandé : entrer dans les plaies ».

Méditation matinale, Chapelle de la maison Sainte Marthe, Mercredi 3 juillet 2013

Notre Père

Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous  aujourd’hui  notre  pain  de  ce  jour.
Pardonne  nous  nos  offenses,  comme  nous  pardonnons  aussi  à  ceux qui nous ont offensé.
Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal.

Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Par ta miséricorde, libère-nous du péché, rassure-nous devant  les  épreuves  en  cette  vie  où  nous  espérons  le  bonheur  que  tu  promets  et  l’avènement  de  Jésus  le Christ,  notre  Sauveur.

Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen !

Seigneur  Jésus-Christ,  tu  as  dit  à  tes  Apôtres  :  « Je  vous  laisse  la  paix,  je  vous  donne  ma  paix ». Ne  regarde  pas  nos  péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen !

Prière à Marie

Je vous salue, Marie, comblée de grâce
Le Seigneur est avec vous
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus, votre Enfant est béni
Sainte Marie, mère de Dieu
Priez pour nous, pauvres pècheurs
Maintenant et à l’heure de la mort
Amen, Amen, Alleluia