Bonjour les amis,
Nous sommes Dimanche… un jour particulier, un jour où nous pouvons souffler, nous reposer, un jour de ressourcement seul, en couple, en famille, entre amis. Vers quelle source nous dirigeons-nous en ce jour ? Quels sont nos choix qui dessineront les contours de ce jour ? Nous vous invitons à prendre ce temps de prière pour relire nos actes du jour, nos choix, nos priorités. Où est le Seigneur dans ce que je vis ? Dans les choix que je fais ? Quelle est sa place ? Comment est-ce que je l’accueille dans ma vie ?
Dans l’évangile de ce jour, le Seigneur nous appelle à le rejoindre, à le choisir, à le placer au centre de nos vies, en haut de la pile de nos priorités. D’une façon qui peut paraître radicale, il nous appelle à le préférer à tout. Sommes-nous prêts à faire ce pas d’un abandon total à Celui qui nous aime ainsi ?
Les paroles du jour nous invite à l’accueil. Qu’est ce que signifie accueillir ? sincèrement, totalement ?
Accueillir dans notre vie, dans notre pays, dans notre voisinage, dans notre communauté, dans notre maison, dans notre famille, dans notre cœur ou tout simplement à côté de nous dans le train. L’accueil est multiple, c’est un acte quotidien, et ce n’est pas un acte anodin.
Accueillir, c’est oser aimer, c’est vaincre des peurs, c’est faire confiance, être prêt à l’inattendu mais aussi risquer d’être déçu, mais c’est aussi la promesse d’une découverte, d’un chemin à parcourir.
Accueillir c’est porter de l’intérêt, regarder, écouter, écouter vraiment, accepter sincèrement, accepter d’être dérangé, puis et surtout faire preuve d’amour. En effet, seul l’amour nous permet d’accepter la différence, les changements, et les épreuves avec confiance
Mais l’amour doit transfigurer toutes les petites décisions ou acceptations de nos journées. Si l’on aime vraiment l’autre, qui nous est proposé ou parfois imposé, nous accueillerons alors dans le même dynamisme les grandes décisions de notre vie, et les petites contrariétés, échecs ou manques, les petits imprévus de la vie.
Dieu se présente toujours dans l’inattendu et jamais dans la routine ou alors pour nous en sortir ! Dieu est l’inédit, l’inouï, l’imprévisible, qu’il mette fin à une longue attente comme pour Anne ou Sara ou qu’il nous donne à peine le temps d’envisager ce qui nous arrive comme pour Marie. Dieu bouscule, agit et propose en même temps nous laissant la liberté d’un oui spontané et joyeux. Si l’on se refuse à Dieu, Il n’insiste pas, Il ne renonce pas mais ne force jamais notre liberté. Dieu est patient mais il se présente souvent avec l’impatience de l’amour.
La plus grande surprise de ma vie, l’événement qui l’a changée a été de savoir que j’étais aimé de Dieu. Quelle grâce et quel changement ce fut pour moi de reconnaître et d’accueillir cet amour ! Je retrouve cela dans la Parole avec Marie, Pierre, Madeleine, Elie, Jérémie, Moïse, Osée…
Mon accueil de Dieu se fait souvent dans des moments de silence et de prière mais mon accueil doit aussi s’exprimer concrètement dans mes relations fraternelles, dans le travail… tout au long de ma journée. Par chacun de ces accueils spontanés parfois insignifiants, Dieu donne sens à ma vie. Tous ces accueils quotidiens de mon prochain me conduisent vers l’accueil définitif et total de Dieu.
Belle prière à tous,
Nathalie et Pascal
CHANT
Jésus sois le centre
Sois le feu dans mon cœur, sois le vent dans mes voiles, sois la raison de ma vie, Jésus, Jésus.
Jésus, sois le centre, sois mon espoir, sois mon chant, Jésus.
Jésus, sois ma vision, sois mon chemin, sois mon guide, Jésus.
Jésus, sois le centre, sois ma lumière, sois ma source, Jésus.
EVANGILE
« Celui qui ne prend pas sa croix n’est pas digne de moi.
Qui vous accueille m’accueille » (Mt 10, 37-42)
Évangile de Jésus Christ selon Saint Matthieu
En ce temps-là, Jésus disait à ses Apôtres :
« Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n’est pas digne de moi ;
celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n’est pas digne de moi ;
celui qui ne prend pas sa croix et ne me suit pas n’est pas digne de moi.
Qui a trouvé sa vie la perdra ;
qui a perdu sa vie à cause de moi la gardera.
Qui vous accueille m’accueille ;
accueille Celui qui m’a envoyé.
Qui accueille un prophète en sa qualité de prophète
recevra une récompense de prophète ;
qui accueille un homme juste en sa qualité de juste
recevra une récompense de juste.
Et celui qui donnera à boire, même un simple verre d’eau fraîche,
à l’un de ces petits en sa qualité de disciple,
amen, je vous le dis : non, il ne perdra pas sa récompense. »
– Acclamons la Parole de Dieu : Louange à toi, Seigneur Jésus !
Méditation du Père Nicolas de Boccard (RCF)
L’écrivain Christian Bobin écrit : Si Dieu n’est pas dans nos histoires d’amour, alors nos histoires ternissent, s’effritent et s’effondrent. Qu’il s’agisse des relations entre les parents et les enfants, ou des relations entre conjoints, nous ne savons pas si elles réussiront. Une bonne éducation ne garantit pas que l’enfant ne tournera pas mal, un amour attentif pour son conjoint ne garantit pas que le mariage n’échouera pas, parce que nous ne maîtrisons pas l’autre. Si nous avons tout misé sur ces relations humaines, nous serons forcément déçus : elles doivent nécessairement s’ouvrir à Dieu, dans la lumière de la Croix : accepter de tout perdre, pour tout recevoir et de s’en remettre à Dieu dans les joies comme dans les peines. Il faut accepter de perdre pour gagner, de s’abandonner pour se trouver. Saint Irénée que nous fêtons en ce jour le disait admirablement : « Ce n’est pas toi qui fais Dieu, mais Dieu qui te fait. Si donc tu es l’ouvrage de Dieu, attends patiemment la Main de ton Artiste, qui fait toute chose en temps opportun ».
Ce disant, notons bien que Jésus ne nous demande pas de ne plus aimer une parenté— que l’on peut être amené à quitter — ou une paternité, une maternité — à laquelle on peut choisir de renoncer. Il nous demande simplement de L’aimer, lui, davantage, par-dessus tout et plus que tout car il est tout en tous et même tout en tout (1 Co 15,28 ; Col 3,11). Et que sa joie est de nous combler d’amour en réponse à notre amour (Jn 5,10-12).
Aujourd’hui, à la fin de notre passage d’évangile, le disciple est qualifié de « petit », et c’est à lui que l’on donne à boire. Curieux paradoxe ! Il est témoin de la vérité et il est cependant invité à l’humilité. Après nous avoir appris à ne préférer rien ni personne à l’amour du Christ, l’Évangile nous invite enfin à accueillir ce même Christ en ses envoyés. Rien n’est plus beau, au regard de Dieu notre Père, que de nous accueillir mutuellement, fût-ce autour d’un verre d’eau fraîche, mais avec au cœur un véritable amour fraternel. Ce qui plaît par-dessus tout au Dieu de tout amour, c’est que nous devenions des artisans de paix et d’unité, sans rien exiger mais en recevant avec gratitude.
Comment comprendre cela, sinon que la vérité est liée à cette humilité. Si le disciple se présente comme celui qui sait tout, il passe à côté du message qu’il veut transmettre. Cette humilité permet tout simplement de ne pas être propriétaire, mais serviteur à la suite du Christ. L’amour agapê repose sur cette humilité, cette humilité qui coupe court à toute dispute, à tout conflit, parce qu’elle est respectueuse et s’efface devant l’autre et devant Dieu.
Homélie du Père Maximin Noudehou
« Qui a perdu sa vie à cause de moi la gardera. »
Les paroles de Jésus sont troublantes.
« Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n’est pas digne de moi ; celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n’est pas digne de moi ; celui qui ne prend pas sa croix et ne me suit pas n’est pas digne de moi. » Jésus réclame un amour préférentiel pour Lui. Il serait donc plus important que la famille et les commodités personnelles. Être digne du Christ nécessiterait de se rendre indigne des siens et de soi-même : beaucoup en font encore l’expérience.
Dans nos vies, l’amour demeure le facteur déterminant. Et l’objet de notre amour devient le moteur ou le maître de notre existence. Dans notre quotidien marqué par la dictature de l’avoir, du pouvoir et du plaisir, certains ont déjà réalisé ce que le Seigneur demande ! La famille ne constitue plus leur priorité voire leur préoccupation. Pour leur positionnement dans la société, certains d’entre nous ont déjà fait l’option de sacrifier leurs commodités ! Ces personnes s’abîment dans le travail, dans leurs activités et dans leurs réseaux.
Face à cette réalité, Seigneur, tes injonctions prennent du sens ! Tu demandes que l’amour soit le vecteur de notre relation avec Toi. Tu te poses comme l’unique essentiel. Tout le reste n’est qu’illusion. Tu veux affiner notre discernement.
Jésus-Christ n’est pas un accessoire.
Qui est-ce qui mobilise ton cœur ?
« Qui a perdu sa vie à cause de moi la gardera. »
Aucune vie ne vaut la peine d’être vécue sans le Christ. Voilà une vérité fort violente et accablante ! Se centrer sur soi, c’est choisir la mort. Se centrer sur le Christ, c’est s’ouvrir à la vie. Car, sans Lui, rien n’est.
Si nous prenons les propos du Seigneur au sérieux, nous ne pouvons qu’avoir le vertige. Il nous déstabilise. Nous sommes tiraillés. Alors qu’il nous est dit que la personne qui nous accompagne toute notre vie n’est que nous-même — et que, par conséquent, nous devons n’être qu’à nous —, le Seigneur nous fait comprendre que, n’avoir que nous comme compagnon, c’est cheminer avec une ombre. Pouvons-nous douter de Lui ? Il a donné la preuve suprême de son Amour pour nous. Il s’est perdu pour nous afin que nous nous retrouvions. (Cf. Isaïe 52, 13 — 53, 12)
Jésus-Christ n’est pas un accessoire
Pour qui vis-tu ?
« Qui a perdu sa vie à cause de moi la gardera.«
Jésus finit par une exhortation à l’accueil de ses envoyés : « Qui vous accueille m’accueille ; et qui m’accueille accueille Celui qui m’a envoyé. » Il montre ainsi à ses disciples combien ils ont du prix aux yeux de Dieu. C’est, à la fois, un honneur et une lourde responsabilité. D’où la nécessité pour eux aussi de Le choisir radicalement.
Il leur fait comprendre également que Le choisir, c’est aimer ses amis et se dévouer pour eux.
Nos pays ont l’habitude des représentations diplomatiques. Et nous savons les honorer. Il serait incompréhensible de notre part de ne point savoir honorer les ambassadeurs du Seigneur. D’une certaine manière, Il nous inscrit dans la dimension communautaire de notre relation avec Lui. Il Lui a plu de se rendre présent à nous par nos semblables. Il a pris ce risque. Il nous demande également de faire le pari gagnant de Le reconnaître et de Le servir en ses disciples.
Le disciple du Christ n’est pas un accessoire
Comment se traduit ton amour pour Jésus ?
Puissions-nous, par l’intercession de la Très Sainte Vierge Marie, T’aimer, Seigneur, par-dessus tout et te servir en tes amis.
Parole du Pape François
Dans notre dernier bout de chemin de catéchèses sur la famille, ouvrons les yeux sur la façon dont celle-ci vit la responsabilité de communiquer la foi, de transmettre la foi, aussi bien en son sein qu’à l’extérieur.
Dans un premier temps, certaines expressions évangéliques peuvent nous venir à l’esprit, qui semblent opposer les liens de la famille et le fait de suivre Jésus. Par exemple, ces paroles fortes que nous connaissons tous et avons entendues : « Qui aime son père ou sa mère plus que moi n’est pas digne de moi. Qui aime son fils ou sa fille plus que moi n’est pas digne de moi. Qui ne prend pas sa croix et ne suit pas derrière moi n’est pas digne de moi » (Mt 10, 37-38).
Naturellement, Jésus n’entend pas par là effacer le quatrième commandement, qui est le premier grand commandement envers les personnes. Les trois premiers sont en rapport à Dieu, et ce verset est en rapport aux personnes. Et nous ne pouvons pas non plus penser que le Seigneur, après avoir accompli son miracle pour les époux de Cana, après avoir consacré le lien conjugal entre l’homme et la femme, après avoir restitué fils et filles à la vie familiale, nous demande d’être insensibles à ces liens ! L’explication n’est pas là. Au contraire, quand Jésus affirme la primauté de la foi en Dieu, il ne trouve pas de comparaison plus significative que les sentiments familiaux. Et d’autre part, ces mêmes liens familiaux, au sein de l’expérience de la foi et de l’amour de Dieu, sont transformés, sont « investis » d’un sens plus grand et deviennent capables de se dépasser, pour créer une paternité et une maternité plus amples, et pour accueillir comme des frères et sœurs ceux qui se trouvent aux confins de tout lien également. Un jour, à celui qui lui dit qu’il y avaient dehors sa mère et ses frères qui le cherchaient, Jésus répondit, indiquant à ses disciples : « Voici ma mère et mes frères ! Quiconque fait la volonté de Dieu, celui-là m’est un frère et une sœur et une mère » (Mc 3, 34-35).
La sagesse des sentiments qui ne s’achètent ni ne se vendent est le meilleur don du génie familial. C’est précisément en famille que nous apprenons à grandir dans cette atmosphère de sagesse des liens. Leur « grammaire » s’apprend là, autrement il est bien difficile de l’apprendre. Et c’est précisément le langage à travers lequel Dieu se fait comprendre de tous.
L’invitation à mettre les liens familiaux dans le domaine de l’obéissance de la foi et de l’alliance avec le Seigneur ne les gêne pas ; au contraire, elle les protège, les libère de l’égoïsme, les met à l’abri de la dégradation, les sauve pour la vie qui ne meurt pas. La diffusion d’un style familial dans les relations humaines est une bénédiction pour les peuples : elle ramène l’espérance sur la terre. Quand les sentiments familiaux se laissent convertir au témoignage de l’Évangile, ils deviennent capables de choses impensables, qui font toucher du doigt les œuvres de Dieu, ces œuvres que Dieu accomplit dans l’histoire, comme celles que Jésus a accomplies pour les hommes, les femmes, les enfants qu’il a rencontrés. Un seul sourire miraculeusement arraché au désespoir d’un enfant abandonné, qui recommence à vivre, nous explique mieux que mille traités théologiques l’action de Dieu dans le monde. Un seul homme et une seule femme, capables de risquer et de se sacrifier pour le fils de quelqu’un d’autre et pas seulement pour le leur, nous expliquent des choses de l’amour que beaucoup de scientifiques ne comprennent plus. Et là où il y a ces sentiments familiaux, naissent ces gestes du cœur qui sont plus éloquents que les mots. Le geste de l’amour… Cela fait réfléchir.
La famille qui répond à l’appel de Jésus remet l’administration du monde à l’alliance de l’homme et de la femme avec Dieu. Pensez au développement de ce témoignage, aujourd’hui. Imaginons que le gouvernail de l’histoire (de la société, de l’économie, de la politique) soit remis — enfin ! — à l’alliance de l’homme et de la femme, afin qu’ils le gouvernent avec le regard tourné vers la génération suivante. Les thèmes de la terre et de la maison, de l’économie et du travail, joueraient une musique bien différente !
Si nous redonnons un rôle — à partir de l’Église — à la famille qui écoute la Parole de Dieu et la met en pratique, nous deviendrons comme le bon vin des noces de Cana, nous fermenterons comme le levain de Dieu !
En effet, l’alliance de la famille avec Dieu est appelée aujourd’hui à contrecarrer la désertification communautaire de la ville moderne. Mais nos villes ont été désertées par manque d’amour, par manque de sourire. Il y a tant de divertissements, tant de choses pour perdre du temps, pour faire rire, mais il manque l’amour. Le sourire d’une famille est capable de vaincre cette désertification de nos villes. Et cela est la victoire de l’amour de la famille. Aucune ingénierie économique et politique n’est en mesure de substituer cet apport des familles. Le projet de Babel érige des gratte-ciel sans vie. L’Esprit de Dieu, en revanche, fait fleurir les déserts (cf. Is 32, 15). Nous devons sortir des tours et des salles blindées des élites, pour fréquenter à nouveau les maisons et les espaces ouverts des multitudes, ouvertes à l’amour de la famille.
La communion des charismes — ceux qui sont donnés au sacrement du mariage et ceux qui sont accordés à la consécration pour le Royaume de Dieu — est destinée à transformer l’Église en un lieu pleinement familial pour la rencontre avec Dieu. Avançons sur ce chemin, ne perdons pas l’espérance. Là où il y a une famille ayant de l’amour, cette famille est capable de réchauffer le cœur de toute une ville avec son témoignage d’amour.
Priez pour moi, prions les uns pour les autres, afin que nous devenions capables de reconnaître et de soutenir les visites de Dieu. L’Esprit apportera une joyeuse pagaille dans les familles chrétiennes, et la ville de l’homme sortira de la dépression !
Pape François, Audience générale, Mercredi 2 septembre 2015
Notre Père
Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour. Pardonne nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensé. Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal. Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Par ta miséricorde, libère-nous du péché, rassure-nous devant les épreuves en cette vie où nous espérons le bonheur que tu promets et l’avènement de Jésus le Christ, notre Sauveur. Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen ! Seigneur Jésus-Christ, tu as dit à tes Apôtres : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix ». Ne regarde pas nos péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen ! |
Prière à Marie
Si tu heurtes le rocher des épreuves,
Si les flots de l’ambition t’entraînent,
Si l’orage des passions de déchaines
Regarde l’étoile, Invoque Marie,
Si tu la suis, tu ne crains rien.
Regarde l’étoile, Invoque Marie,
Elle te conduit sur le chemin.
Quand l’angoisse et les périls, le doute,
Quand la nuit du désespoir te recouvre,
Si devant la gravité de tes fautes,
La pensée du Jugement te tourmente:
Regarde l’étoile, Invoque Marie,
Si tu la suis, tu ne crains rien.
Regarde l’étoile, Invoque Marie,
Elle te conduit sur le chemin.
Si ton âme est envahie de colère,
Jalousie et trahison te submergent,
Si ton coeur est englouti dans le gouffre,
Emporté par les courants de tristesse
Regarde l’étoile, Invoque Marie,
Si tu la suis, tu ne crains rien.
Regarde l’étoile, Invoque Marie,
Elle te conduit sur le chemin.
Elle se lève sur la mer, elle éclaire,
Son éclat et ses rayons illuminent,
Sa lumière resplendit sur la Terre,
Dans les cieux et jusqu’au fond des abîmes
Regarde l’étoile, Invoque Marie,
Si tu la suis, tu ne crains rien.
Regarde l’étoile, Invoque Marie,
Elle te conduit sur le chemin
Je vous salue Marie pleine de grâce, le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, Maintenant et à l’heure de notre mort. |

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Merci pour vos textes ! Bonne soirée
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