Bonjour les amis,
Aujourd’hui nous célébrons la naissance d’un grand prophète : Jean Baptiste. Un prophète est quelqu’un qui parle au nom de Dieu. Il est ancré dans le monde et dans son présent, au milieu du peuple, mais il reçoit la Parole de Dieu et est chargé de la retransmettre au peuple pour ouvrir leurs yeux à la volonté de Dieu, pour leur indiquer le chemin de Vie sur lequel Dieu les invite. Dieu guide son peuple, et le prophète est sa voix. Il a souvent été incompris et reconnu plus tard. Par notre baptême, nous aussi sommes appelés à être prophètes. Nous sommes donc appelés à écouter Dieu par la Parole et la prière, à mettre Dieu au centre de notre cœur, de notre vie, et à retransmettre sa Parole tout autour de nous (nous symbolisons cela par les 3 petites croix que nous faisons juste avant la lecture de l’évangile).
Revenons sur la naissance de Jean-Baptiste qui fut pour ses parents un événement inespéré. Ils étaient âgés et ils pensaient que l’avenir ne devait plus leur offrir grand-chose. Mais voilà qu’est survenu l’inouï. Une bonne nouvelle complètement inespéré ! Un fils.
Par sa naissance, Jean-Baptiste nous dit que Dieu n’a pas encore dit son dernier mot dans notre vie et dans le monde. Il a encore de belles surprises à nous faire vivre.
Je crois que nous sommes tous appelés à entendre ce message, à ouvrir les yeux et à reconnaître les heureux événements qui jalonnent notre chemin même si, comme nous méditions hier, il est étroit le chemin de Vie . Ce sont souvent de petits signes qui disent qu’il y a toujours du bon et du bien pour chacun de nous. À travers eux, le Seigneur nous dit : « Ne te ferme pas, ne te replie pas sur toi-même et sur ce qui te pèse. »
Jean-Baptiste encourageait les gens à pratiquer la Loi, à être bons, à partager. Il les appelait à la conversion, à une vie nouvelle. Il essayait de ranimer l’espoir en chacun. Nombreux étaient ceux qui venaient à lui.
Nous pouvons rendre grâce car Jean-Baptiste a beaucoup d’héritiers qui aujourd’hui, comme lui, sèment autour d’eux de l’espoir dans les cœurs dans leur famille, leur village, dans leur travail.
En effet, chacun de nous est une grâce et une espérance semée dans le monde. Par notre baptême, nous sommes tous appelés à être des Jean Baptiste, à ce que toute notre vie soit une invitation, un signe de la présence de Dieu dans le monde. En Jean-Baptiste, nous pouvons tous contempler notre identité et notre mission de baptisé : nous sommes appelés, consacrés et envoyés pour annoncer l’Évangile et êtres des témoins de Jésus-Christ.
Fêter Jean-Baptiste, c’est aussi prendre le temps de reconnaître tous ces prophètes, de les remercier et surtout de prier pour eux afin qu’ils continuer à annoncer Celui qui vient dans notre monde où règnent souvent le manque d’espérance, le défaitisme, la peur.
Le nom de Jean signifie « Dieu fait grâce ». C’est ce que Dieu réalise pour nous chaque jour et il nous donne la joie et la liberté d’être ses filles et ses fils.
Il connait nos souffrances, mais comme il l’a toujours fait, Dieu intervient pour nous ouvrir un chemin de libération comme le dit Jean Baptiste : « Convertissez-vous »
Seigneur, aides-nous à enlever toutes les pierres qui nous font mal, aplanis nos montagnes d’égoïsme, comble tous les fossés creusés par notre indifférence, fais que Jésus renaisse en nous.
Seigneur, fais-nous éprouver l’émerveillement de ceux qui reconnaissent et accueillent la grâce de la foi, pour que nous sachions en révéler Ta présence et Ta beauté à tous nos sœurs et frères, que nous continuions à Te servir avec humilité, sans jamais chercher à prendre Ta place.
Seigneur, nous te confions tous les pères et toutes les mères qui, comme Elizabeth et Zacharie, vivent l’attente ou la naissance d’un enfant, qu’ils puissent également éprouver de la joie et de la reconnaissance pour l’enfant que Tu leur as confié et se réjouir de sa naissance toute leur vie !
Saint Jean Baptiste, intercède pour nous. Que notre Foi soit plus vive, soutiens-nous pendant nos périodes de doute, dans nos combats spirituels. Montre nous aussi le chemin. Conduis-nous, pour que nous entendions cet appel à être prophète et que nous puissions continuer à inviter tous ceux qui croisent notre chemin à reconnaître dans le Christ, le Dieu qui nous appelle à passer des ténèbres à sa si belle lumière.
Belle prière à tous,
Nathalie et Pascal
CHANT
Titre Introduction
qui visite et rachète son peuple.
Il a fait surgir la force qui nous sauve
dans la maison de David, son serviteur,
comme il l’avait dit par la bouche de Saints,
par ses prophètes, depuis les temps anciens :
salut qui nous arrache à l’ennemi,
à la main de tous nos oppresseurs,
amour qu’il montre envers nos pères,
mémoire de son alliance sainte,
serment juré à notre père Abraham,
de nous rendre sans crainte,
afin que délivrés de la main des ennemis
nous le servions, dans la justice et la sainteté
en sa présence, tout au long de nos jours.
Et toi, petit enfant, tu seras appelé prophète du Très-Haut :
tu marcheras devant, à la face du Seigneur, et tu prépareras ses chemins
pour donner à son peuple de connaître le salut
par la rémission de ses péchés,
grâce à la tendresse, à l’amour de notre Dieu,
quand nous visite l’astre d’en haut,
pour illuminer ceux qui habitent les ténèbres et l’ombre de la mort,
pour conduire nos pas au chemin de la paix.
EVANGILE
« Ta femme mettra au monde pour toi un fils, et tu lui donneras le nom de Jean » (Lc 1, 5-17)
Évangile de Jésus Christ selon Saint Luc
Il y avait, au temps d’Hérode le Grand, roi de Judée,
un prêtre du groupe d’Abia, nommé Zacharie.
Sa femme aussi était descendante d’Aaron ;
elle s’appelait Élisabeth.
Ils étaient l’un et l’autre des justes devant Dieu :
ils suivaient tous les commandements et les préceptes du Seigneur
de façon irréprochable.
Ils n’avaient pas d’enfant, car Élisabeth était stérile
et, de plus, ils étaient l’un et l’autre avancés en âge.
Or, tandis que Zacharie,
durant la période attribuée aux prêtres de son groupe,
assurait le service du culte devant Dieu,
il fut désigné par le sort, suivant l’usage des prêtres,
pour aller offrir l’encens dans le sanctuaire du Seigneur.
Toute la multitude du peuple était en prière au-dehors,
à l’heure de l’offrande de l’encens.
L’ange du Seigneur lui apparut,
debout à droite de l’autel de l’encens.
À sa vue, Zacharie fut bouleversé
et la crainte le saisit.
L’ange lui dit :
« Sois sans crainte, Zacharie,
car ta supplication a été exaucée :
ta femme Élisabeth mettra au monde pour toi un fils,
et tu lui donneras le nom de Jean.
Tu seras dans la joie et l’allégresse,
et beaucoup se réjouiront de sa naissance,
car il sera grand devant le Seigneur.
Il ne boira pas de vin ni de boisson forte,
et il sera rempli d’Esprit Saint dès le ventre de sa mère ;
il fera revenir de nombreux fils d’Israël
au Seigneur leur Dieu ;
il marchera devant, en présence du Seigneur,
avec l’esprit et la puissance du prophète Élie,
pour faire revenir le cœur des pères vers leurs enfants,
ramener les rebelles à la sagesse des justes,
et préparer au Seigneur un peuple bien disposé. »
– Acclamons la Parole de Dieu : Louange à toi, Seigneur Jésus !
Méditation du Père Sébastien Antoni (RCF)
Une vieille femme donne vie à un bébé magnifique ! Magnifique, mais anormal… ! On voulait voir l’enfant comme on va voir une curiosité, féliciter le vieux couple bien sûr, et vérifier si c’était bien vrai, si la mère improbable était bien la mère de cet enfant tant espéré ! Celui qui n’était pas comme les autres membres de la famille, si différents qu’il ne pouvait porter décemment le nom de sa ligné, le nom de son père. Mais ce qui est en cause ici, ce n’est pas tellement la signification des deux noms : Zacharie veut dire « Dieu s’est souvenu », et Jean, « Dieu a fait grâce », ce sont, au fond, deux noms équivalents, car pour Dieu, se souvenir, c’est faire grâce, c’est prolonger sa grâce. La différence, qui tranche avec l’histoire de sa lignée est ailleurs: Zacharie serait le nom donné par un homme, le nom d’un père humain et le rappel d’une lignée humaine; tandis que Jean est le nom que Dieu a donné, une sorte de nom-programme pour la vie de celui qui deviendra le précurseur. Le Seigneur lui-même a nommé l’enfant du vieil homme, et c’est là qu’est tout le mystère. Lors de la création, selon la théologie imagée de la Genèse, Dieu avait demandé à l’homme de nommer tous les êtres qui formaient son monde; et voilà qu’à l’inverse Dieu se réserve de nommer certains enfants des hommes, ceux sur qui d’avance il pose sa main. Comme pour rattraper, remettre peut-être les choses à l’endroit, ou au moins dans le bon sens… Jean, « Dieu fait grâce »… le nom programme de celui qui 30 ans plus tard lui ouvrira la voie et la voix !
Homélie du Père Maximin Noudehou
« Que sera donc cet enfant ? »
Elisabeth, la femme stérile est devenue mère. Elle a mis au monde un fils. « Ses voisins et sa famille apprirent que le Seigneur lui avait montré la grandeur de sa miséricorde, et ils se réjouissaient avec elle. » Cette naissance est perçue comme une manifestation grandiose de la miséricorde divine. La joie d’Elisabeth est aussi la joie de ses proches. Il est de l’essence de la joie d’être partagée.
Une naissance, un fait ordinaire, une réalité récurrente, prend ici une dimension particulière. Elle est devenue un événement divin. Nous semblons l’oublier bien souvent. Aussi triviale que soit aujourd’hui la venue au monde d’un enfant, elle demeure une grâce de Dieu. Car, c’est Dieu qui est l’Auteur de la vie, l’Auteur de toute vie. Et pourtant, dans bien des cas, ce don ne suscite pas la joie ! Je pense à toutes ces vies qui, au quotidien, sont éteintes dans les entrailles maternelles et à ces enfants qui regrettent d’avoir vu le jour. Je pense à toutes ces femmes dont les entrailles, un jour, se sont transformées en tombeaux pour diverses raisons. Je songe à toutes celles qui pleurent d’avoir donné la vie et celles qui pleurent de ne pouvoir la donner. Je tends les mains vers le Seigneur pour toutes ces joies manquées…
Toute vie est un projet divin.
Tu es un signe de la grandeur de la miséricorde de Dieu.
Que sera donc cet enfant ?
A la surprise générale, Elisabeth nomme son enfant en l’arrachant aux logiques humaines : « « Non, il s’appellera Jean. » On lui dit : « Personne dans ta famille ne porte ce nom-là ! » » Elle a été bénéficiaire de la grâce de Dieu. Maintenant, elle en devient témoin. Mais, son témoignage n’est pas reçu. Il a fallu que Zacharie atteste pour que les langues se taisent. Il fallu que Zacharie écrive : Jean, c’est-à-dire Dieu fait grâce, pour que l’œuvre de Dieu soit reconnue. Il a fallu qu’il témoigne pour guérir de son mutisme dû à son manque de foi. Elisabeth et Zacharie n’ont pas voulu s’accaparer, s’attribuer l’œuvre de Dieu.
La parole de la femme demeure encore douteuse dans nos communautés. Il y a aussi tant de témoins dont le témoignage n’est pas reçu. Tant de fois, d’une manière ou d’une autre, des parents ont choisi d’exclure Dieu de la vie de leurs enfants, ses enfants. Je tends les mains vers le Seigneur pour tant de témoignages étouffés… Être parents, c’est accueillir la grâce de Dieu et en témoigner.
Quelle œuvre de Dieu proclame ton nom ?
Que sera donc cet enfant ?
Cet enfant suscite l’étonnement de tous. Déjà, il tourne les cœurs vers Dieu. Mais il faudra le temps de la méditation. Il faudra le temps du questionnement, le temps de la patience de Dieu. Il faudra le désert de la croissance.
Nous avons à apprendre du temps de Dieu. Nous avons à apprendre du silence de Dieu pour coopérer à son œuvre. Car, dans chaque vie, la main du Seigneur est active. Elle conduit chacun dans un désert existentiel. C’est un désert que seul Dieu féconde.
Les grandes œuvres s’édifient dans le silence.
Dans quel désert te laisses-tu conduire par Dieu ?
Puissons-nous, par l’intercession de la Très Sainte Vierge Marie et de Saint Jean-Baptiste, savoir écouter Dieu dans le silence de nos cœurs et demeurer sous sa main puissante.
Paroles du Pape François – Solennité de la Nativité de saint Jean-Baptiste
Chers frères et sœurs,
Aujourd’hui, la liturgie nous invite à célébrer la fête de la Nativité de saint Jean-Baptiste. Sa naissance est l’événement qui éclaire la vie de ses parents, Elisabeth et Zacharie, et qui entraîne les parents et les voisins dans la joie et l’émerveillement. Ces parents âgés avaient rêvé et même préparé ce jour-là, mais maintenant ils ne s’y attendaient plus: ils se sentaient exclus, humiliés, déçus: ils n’avaient pas d’enfants. Confronté à l’annonce de la naissance d’un fils (Lc 1,13), Zacharie était resté incrédule, parce que les lois naturelles ne le permettaient pas: ils étaient vieux, âgés; par conséquent, le Seigneur le rendit muet pendant tout le temps de la gestation (cf. v. 20). C’est un signal. Mais Dieu ne dépend pas de nos logiques et de nos capacités humaines limitées. Il faut apprendre à faire confiance et à se taire devant mystère de Dieu et à contempler dans l’humilité et le silence son œuvre, qui se révèle dans l’histoire et qui dépasse si souvent notre imagination.
Et maintenant que l’événement a lieu, maintenant qu’Élisabeth et Zacharie font l’expérience que «rien n’est impossible à Dieu» (Lc 1, 37), leur joie est grande. La page d’Évangile d’aujourd’hui (Lc 1,57-66,80) annonce la naissance et se concentre ensuite sur le moment de l’imposition du nom de l’enfant. Elisabeth choisit un nom étranger à la tradition familiale et elle dit: « Il s’appellera Jean » (v. 60), don gratuit et désormais inattendu, parce que Jean signifie « Dieu a fait grâce ». Et cet enfant sera un héraut, un témoin de la grâce de Dieu pour les pauvres qui attendent son salut avec une foi humble. Zacharie confirme inopinément le choix de ce nom, en l’écrivant sur une tablette – parce qu’il était muet – et «aussitôt sa bouche s’ouvrit et sa langue se délia, et il parlait normalement, en bénissant Dieu» (v. 64).
Tout l’événement de la naissance de Jean-Baptiste est entouré d’un joyeux sentiment d’émerveillement, de surprise et de gratitude. Émerveillement, surprise, gratitude. Les gens sont saisis d’une sainte crainte de Dieu «et dans toute la région montagneuse de la Judée on parlait de toutes ces choses» (v. 65). Frères et sœurs, le peuple fidèle a l’intuition que quelque chose de grand est arrivé, même humble et caché, et il se demande: «Que sera donc cet enfant?» (V. 66). Le peuple fidèle de Dieu est capable de vivre la foi avec joie, avec un sentiment d’émerveillement, de surprise et de gratitude.
Regardons ces gens qui parlaient bien de cette chose merveilleuse, de ce miracle de la naissance de Jean, et ils le faisaient avec joie, ils étaient contents, avec un sentiment d’émerveillement, de surprise et de gratitude. Et en regardant cela, demandons-nous: comment est ma foi? Est-ce une foi joyeuse, ou est-ce toujours la même foi, une foi «plate»? Ai-je un sentiment d’émerveillement quand je vois les œuvres du Seigneur, quand j’entends parler de l’évangélisation ou de la vie d’un saint, ou quand je vois tant de bonnes personnes: est-ce que je perçois la grâce, intérieurement, ou est-ce que rien ne bouge dans mon cœur? Est-ce que je sais percevoir les consolations de l’Esprit ou est-ce que je suis fermé? Demandons-le nous chacun, dans un examen de conscience: comment est ma foi? Est-elle joyeuse? Est-elle ouverte aux surprises de Dieu? Parce que Dieu est le Dieu des surprises. Ai-je « goûté » dans l’âme ce sens de l’émerveillement que donne la présence de Dieu, ce sentiment de gratitude? Pensons à ces mots, qui sont l’âme de la foi: la joie, l’émerveillement, la surprise et la gratitude.
Que la Sainte Vierge nous aide à comprendre que dans chaque personne humaine il y a l’empreinte de Dieu, source de la vie. Qu’elle, qui est Mère de Dieu et notre Mère, nous rende de plus en plus conscients que dans la génération d’un enfant, les parents agissent en tant que collaborateurs de Dieu. Une mission vraiment sublime qui fait de chaque famille un sanctuaire de la vie et que chaque naissance d’un enfant éveille la joie, l’émerveillement, la gratitude.
Place St Pierre, Rome, 24 Juin 2018
Notre Père
Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour. Pardonne nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensé. Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal. Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Par ta miséricorde, libère-nous du péché, rassure-nous devant les épreuves en cette vie où nous espérons le bonheur que tu promets et l’avènement de Jésus le Christ, notre Sauveur. Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen ! Seigneur Jésus-Christ, tu as dit à tes Apôtres : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix ». Ne regarde pas nos péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen ! |
Prier avec Marie
exulte mon esprit en Dieu, mon Sauveur !
Il s’est penché sur son humble servante ;
désormais, tous les âges me diront bienheureuse.
Le Puissant fit pour moi des merveilles ;
Saint est son nom !
Son amour s’étend d’âge en âge
sur ceux qui le craignent.
Déployant la force de son bras, il disperse les superbes.
Il renverse les puissants de leurs trônes, il élève les humbles.
Il comble de biens les affamés,
renvoie les riches les mains vides.
Il relève Israël son serviteur, il se souvient de son amour,
de la promesse faite à nos pères, en faveur d’Abraham et de sa race, à jamais.
Gloire au Père, et au Fils, et au Saint-Esprit,
pour les siècles des siècles.
Amen.
Je vous salue Marie pleine de grâce, le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, Maintenant et à l’heure de notre mort. |

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