De l’ombre à la lumière

Bonjour les amis,

Alors que ma foi se faisait plus vivante et fervente, j’ai commencé à connaître la solitude et la tristesse qu’engendre la séparation avec des amis chers. Malgré ma foi, je ressentais de la vulnérabilité, une fragilité, mon incapacité à changer, cette distance qui me séparait encore de Dieu. La vie m’a gâté mais certaines expériences m’ont aussi blessé de mille façons. Cela a créé des vides, qui ont été néanmoins comme autant d’ouvertures vers quelque chose de plus grand, de plus beau, de plus vrai. Ce « plus » est entré en moi par un « moins ». Il a pénétré en moi par ces blessures que j’aurais voulu éviter, mais que j’ai finalement appris à accueillir et à assumer.

Oui, j’ai dû traverser des déserts, mais « ce qui embellit le désert, c’est qu’il cache un puits quelque part » nous dit le Petit Prince de Saint-Exupéry.
Oui, j’ai dû traverser des nuits, mais n’est-ce pas dans la nuit que j’ai découvert les étoiles ?

D’où m’est venu la force de traverser ces déserts ? Quelles sont ces sources qui m’ont aidé à soigner mes blessures ? Quelles sont les étoiles que j’ai pu admirer dans mes nuits ? Qu’est-ce qui continue aujourd’hui encore à m’encourager ?
Ces sources sont devenues pour moi des ressources pour transformer les périodes de désert en moment de grâce.
Ces étoiles allumées dans mes nuits m’ont guidé et gardé. Elles sont des « bonnes étoiles ».

Que sont ces sources et ces étoiles ?
Pour un chrétien convaincu, la réponse est rapide. En fait il n’y a pas plusieurs sources, ni plusieurs étoiles. Mais une seule source et une seule « bonne étoile » : c’est Dieu dans tout son Amour. Un amour qui ne se cherche pas, un amour qui ne se comprend pas, un amour qui s’expérimente et qui se vit au plus profond de chacun de nous. Un amour immense, comme un père ou une mère aime ses enfants et plus encore, comme un homme amoureux aime sa femme et plus encore.
J’entends si souvent Dieu me redire : « Tu as du prix à mes yeux, tu comptes beaucoup pour moi et je t’aime » (Esaïe 43,4). Cela me réchauffe le cœur.
Si Dieu m’aime à ce point, je comprends aussi que je dois être bienveillant avec moi-même. Il m’appelle à L’aimer, Lui et mon prochain. Il m’appelle donc à prendre soin tous ceux qui m’entourent mais aussi, et d’abord, peut être à prendre soin de moi, à ne pas me négliger. J’ai parfois l’impression qu’il est plus intime en moi que moi-même, et en même temps il est plus grand que tout. Petit, humble, et immense à la fois… cela le résume bien, non?
C’est cette foi dans l’amour immense et personnel de Dieu pour moi qui me fait vivre, qui guérit mes plaies. C’est son amour qui est le puits dans mon désert et l’étoile dans ma nuit.
Cet Amour est tellement beau, si intense que j’aurais envie que tous le ressentent. Je ne comprends toujours pas pourquoi ce n’est pas le cas, et pourquoi cette foi que j’affiche avec joie et enthousiasme peut blesser certaines personnes aimées, pour quelles raisons elles peuvent rejeter cet Amour parfois avec violence et colère, comment cela peut même nuire à notre amitié. Quelles blessures, quelles douleurs, quels manques en elles cet amour peut il raviver ?
Cela crée une solitude en moi, une solitude difficile à vivre. Alors je me souviens qu’Il est là et qu’Il m’accompagne. Je récite le Psaume : « Le Seigneur est mon berger, je ne manque de rien ». Cette incompréhension se transforme alors en besoin de Parole du Seigneur, en besoin de prière et en reconnaissance en Dieu.
La prière est pour moi fondamentale et contribue à me faire grandir dans Son amour et à m’unir encore plus à Lui. Ce n’est pas toujours facile de voir et de comprendre ce que Dieu attend de moi, mais avec confiance et patience une lumière se fait peu à peu dans mon esprit, et je commence à discerner Sa volonté. Cette petite musique que l’on appelle l’Esprit-Saint habite en moi, et me prévient des pièges du mal. Elle m’aide à traverser les périodes de souffrance et à les vivre dans la foi et dans l’amour.
Comme il est hors de question de renier ma foi et mon enthousiasme à la vivre dans la lumière, je prie le Seigneur pour que mes amis puissent guérir de leurs blessures et puissent s’ouvrir à Son Amour, ou tout au moins puissent accepter ma foi et « être contents pour moi » comme mes enfants me l’ont déjà dit.
C’est peut être aussi l’Esprit-Saint qui me garde dans la reconnaissance pour le Seigneur et dans la louange quoiqu’il arrive. Même dans les situations difficiles qui semblent perdurer, la gratitude m’habite et elle permet, je pense, à Dieu d’agir. De nouveaux chemins s’ouvrent alors dans nos cœurs à tous.
« Mon âme, bénis le Seigneur et n’oublie aucun de ses bienfaits » ! (Ps 103,2)
Les Exercices spirituels d’Ignace de Loyola sont une aide fondamentale pour moi en faisant mémoire de tous les grâces que Dieu m’accorde. Alors mon cœur ne peut que s’enflammer d’amour par le souvenir de tout ce que je reçois de Lui. En restant droit, confiant et reconnaissant dans l’épreuve, je rayonne de cet Amour qui se déverse ainsi aussi sur mes proches et mes amis. Je crois que c’est le plus beau cadeau que je puisse leur faire.
Lorsqu’une relation bat de l’aile, il y a en moi une source qui crie « j’ai soif ! ». Seul Dieu peut assouvir mon immense soif d’amitié et il m’a donné le dialogue de la prière, la force de sa Parole et des frères et sœurs parmi lesquels il s’infiltre pour nous combler.

Seigneur, Toi qui es Amour infini, Toi qui es présent en tout et en tous, Toi qui peut tout, inonde tous les cœurs de ce monde de Ton Amour, inonde toutes les âmes de Ton Esprit, donne nous la force du pardon, éclaire nos ténèbres et montre à tous la beauté de ta lumière.
Donne à tous de choisir de vivre en toute liberté dans la joie de ton Amour, de vivre comme membre de Ton Royaume.

Belle prière à tous,
Nathalie et Pascal

CHANT

Pour moi tu l’as fait (Glorious) Viens porter nos vies et tout réconcilier. Au cœur de chaque homme vient déposer l’espoir, viens nous couvrir de Ta tendresse.

Même si pour moi tu devais t’abaisser
Pour porter ma vie et tout réconcilier
Me montrer le père qui m’a tant aimé
Je sais que pour moi tu l’as fait
Je sais que pour moi tu l’as fait
Même si tu devais quitter toute gloire
Venir t’incarner épouser notre histoire
Au cœur de chaque homme déposer l’espoir
Je sais que pour moi tu l’as fait
Je sais que pour moi tu l’as fait

Car mon dieu tient toujours ses promesses
Me couvrant de tendresse
Voici quel est mon dieu
Car il fait Toutes choses nouvelles
Sa grâce est éternelle Il a ouvert les cieux
Voici quel est mon dieu

Même si la croix devenait ton fardeau
Le poids de ce monde l’oubli dans le tombeau
Pour essuyer toutes larmes et tous sanglots
Je sais que pour moi tu l’as fait
Je sais que pour moi tu l’as fait

Car mon dieu tient toujours ses promesses
Me couvrant de tendresse
Voici quel est mon dieu
Car il fait Toutes choses nouvelles
Sa grâce est éternelle
Il a ouvert les cieux
Voici quel est mon dieu

Même si ta vie devait être oubliée
En prenant la place du serviteur caché
Pour que je revive en ta fidélité
Je sais que pour moi tu l’as fait
Je sais que pour moi tu l’as fait

Car mon dieu tient toujours ses promesses
Me couvrant de tendresse
Voici quel est mon dieu
Car il fait Toutes choses nouvelles
Sa grâce est éternelle
Il a ouvert les cieux
Voici quel est mon dieu

EVANGILE

« Ne craignez pas ceux qui tuent le corps » (Mt 10, 26-33)

Évangile de Jésus Christ selon Saint Matthieu

En ce temps-là, Jésus disait à ses Apôtres :
« Ne craignez pas les hommes ;
rien n’est voilé qui ne sera dévoilé,
rien n’est caché qui ne sera connu.
Ce que je vous dis dans les ténèbres,
dites-le en pleine lumière ;
ce que vous entendez au creux de l’oreille,
proclamez-le sur les toits.
Ne craignez pas ceux qui tuent le corps
sans pouvoir tuer l’âme ;
craignez plutôt celui qui peut faire périr dans la géhenne
l’âme aussi bien que le corps.
Deux moineaux ne sont-ils pas vendus pour un sou ?
Or, pas un seul ne tombe à terre sans que votre Père le veuille.
Quant à vous, même les cheveux de votre tête sont tous comptés.
Soyez donc sans crainte :
vous valez bien plus qu’une multitude de moineaux.
Quiconque se déclarera pour moi devant les hommes,
moi aussi je me déclarerai pour lui
devant mon Père qui est aux cieux.
Mais celui qui me reniera devant les hommes,
moi aussi je le renierai devant mon Père qui est aux cieux. »

– Acclamons la Parole de Dieu : Louange à toi, Seigneur Jésus !

Méditation du Père Emmanuel Pic (RCF)

« Rien n’est voilé qui ne sera dévoilé. Rien n’est secret qui ne sera connu. » Ce n’est pas là une petite formule en passant, un proverbe qui n’engage pas plus que cela…, comme si Jésus disait: « tout finit par se savoir » ! Non, en disant cela, Jésus insiste pour dire que la lumière de ses mots, de ses œuvres, de ses gestes… bref sa présence dans le monde est déjà victorieuse, dévoilant au monde ses richesses. Si nous sommes porteurs de ce que Dieu révèle, il n’y a rien à craindre, rien ! La vérité, même lente à se manifester comme le serait une naissance difficile, est promise. Rien à craindre les promesses de Dieu seront et sont toutes tenues ! Celui qu’il faut craindre, nous dit Jésus, c’est Celui qui a le pouvoir de vouer à la géhenne, c’est-à-dire Dieu lui-même, lui seul est maître de l’irréversible, le maître de la mort et de la vie. Mais comprenons-nous bien, le mot craindre change de sens, quand on passe de la crainte des hommes apparenté à la terreur… à ce que le monde juif appelait « la crainte de Dieu ». La crainte de Dieu, au sens biblique, c’est un mélange de respect et d’affection ; c’est, en quelque sorte, la délicatesse de l’homme en réponse à la délicatesse de Dieu. C’est pourquoi, alors que la peur des hommes, de leur jugement détruit notre confiance, la crainte de Dieu, au sens biblique, réveille sans cesse en nous le meilleur de nous-mêmes et ouvre à la tendresse de notre Dieu qui s’occupe si bien des moineaux et compte tous les cheveux de notre tête.

Homélie du Père Maximin Noudehou

« Vous valez bien plus qu’une multitude de moineaux. »
Voilà une parole très réconfortante et rassurante. Et pourtant, Dieu semble absent quand viennent les épreuves et les souffrances. Pour que les Apôtres ne chancellent pas, Jésus leur annonce que la persécution leur est inévitable s’ils Lui restent fidèles. Par la même occasion, Il les invite à ne point avoir peur : « *Ne craignez pas les hommes.* » En réalité, ces derniers sont bien limités. Ils ne peuvent garder indéfiniment cachées ni leurs intentions, ni leurs manigances. Ils ne peuvent pas faire triompher les ténèbres. Ils ne peuvent pas imposer le silence à la Parole de Dieu. *Leur force est relative car la toute-puissance de Dieu est avec les Apôtres*. Et, contrairement à ce que certains prétendent, ce Dieu est Lumière.

Face à l’adversité des hommes, il convient, pour nous, de savoir l’attitude à adopter tout en ayant à l’esprit que la foi chrétienne n’est pas de l’obscurantisme…
La persécution est inhérente à la foi chrétienne
Comment manifestes-tu la foi en Christ ?

« Vous valez bien plus qu’une multitude de moineaux. »
Jésus éveille ses Apôtres par rapport à ce qui est primordial : « Ne craignez pas ceux qui tuent le corps sans pouvoir tuer l’âme ; craignez plutôt celui qui peut faire périr dans la géhenne l’âme aussi bien que le corps. » Les Apôtres doivent alors se préoccuper de l’essentiel qu’est l’âme et son salut. C’est ce qui est capital pour Dieu, Lui qui est la Vie.

La force de nuisance de nos semblables nous effraie parce que nous accordons plus de prix à nos corps qu’à nos âmes. Nous oublions que le Salut de l’âme fait celui du corps. Cette dangereuse inversion nous éloigne de Dieu, le Seul qui a pouvoir sur nos âmes. Nous perdons de vue la Providence divine qui veille sur ses plus petites créatures, comme le moineau. Cette inversion pourrait nous amener à renier le Seigneur par nos pratiques et nos paroles. Nous semblons oublier l’Amour qui a présidé à notre création et le prix que le Seigneur a payé pour notre Salut.

« Personne ne peut rien arracher de la main de Dieu. » (Jn 10, 27-30)
Mais toi, tu peux t’arracher à Dieu !

Seigneur, par l’intercession de la Vierge Marie, fais-nous collaborer à notre Salut.

Paroles du Pape François

Dans l’Evangile d’aujourd’hui (cf. Mt 10, 26-33), après avoir appelé et envoyé ses disciples en mission, le Seigneur Jésus les instruit et les prépare à affronter les épreuves et les persécutions qu’ils rencontreront. Partir en mission, ce n’est pas faire du tourisme, et Jésus avertit les siens: «Vous rencontrerez des persécutions». Il les exhorte ainsi: «N’allez donc pas les craindre! [les hommes]. Rien, en effet, n’est voilé qui ne sera révélé […]. Ce que je vous dis dans les ténèbres, dites-le au grand jour […]. Ne craignez rien de ceux qui tuent le corps, mais ne peuvent tuer l’âme» (vv. 26-28). Ils ne peuvent tuer que le corps, ils n’ont pas le pouvoir de tuer l’âme: de ceux-là, n’ayez pas peur. L’envoi en mission par Jésus ne garantit pas aux disciples le succès, de même qu’il ne les met pas à l’abri des échecs ni des souffrances. Ils doivent tenir compte de la possibilité du refus comme de la persécution. Cela fait un peu peur, mais c’est la vérité.

Le disciple est appelé à conformer sa vie au Christ qui a été persécuté par les hommes, a connu le refus, l’abandon et la mort sur la croix. Il n’existe pas de mission chrétienne à l’enseigne de la tranquillité! Les difficultés et les tribulations font partie de l’œuvre d’évangélisation, et nous sommes appelés à trouver dans celles-ci l’occasion de vérifier l’authenticité de notre foi et de notre relation avec Jésus. Nous devons considérer ces difficultés comme la possibilité d’être encore davantage des missionnaires et de grandir dans cette confiance en Dieu, notre Père, qui n’abandonne pas ses enfants à l’heure de la tempête. Dans les difficultés du témoignage chrétien dans le monde, nous ne sommes jamais oubliés, mais toujours assistés par la sollicitude attentionnée du Père. C’est pourquoi, dans l’Evangile d’aujourd’hui, Jésus rassure ses disciples à trois reprises en disant: «N’ayez pas peur!»

De nos jours aussi, frères et sœurs, la persécution contre les chrétiens est présente. Nous prions pour nos frères et sœurs qui sont persécutés et nous louons Dieu, parce qu’en dépit de cela ils continuent à témoigner de leur foi avec courage et avec fidélité. Que leur exemple nous aide à ne pas hésiter à prendre position pour le Christ, en lui rendant témoignage courageusement dans les situations de chaque jour, y compris dans des contextes apparemment tranquilles. En effet, l’absence d’hostilité ou de tribulations peut aussi être une forme d’épreuve. A notre époque aussi, le Seigneur nous envoie aussi non seulement comme «des brebis au milieu des loups», mais comme des sentinelles au milieu de gens qui ne veulent pas être éveillés de leur torpeur mondaine, qui ignorent les paroles de Vérité de l’Evangile, en se construisant leurs propres vérités éphémères. Et si nous allons dans ces milieux, ou si nous y vivons, et que nous disons les Paroles de l’Evangile, cela dérange et on nous regarde de travers.

Mais en tout cela, le Seigneur continue de nous dire, comme il le disait aux disciples de son temps: «N’ayez pas peur!». N’oublions pas ces mots: quand nous affrontons des difficultés, des persécutions, des choses qui nous font souffrir, écoutons toujours la voix de Jésus dans notre cœur: «N’ayez pas peur! N’aie pas peur, avance! Je suis avec toi!». N’ayez pas peur de ceux qui se moquent de vous et vous maltraitent, et n’ayez pas peur de ceux qui vous ignorent ou vous honorent par «devant», mais par «derrière» combattent l’Evangile. Il y a tant de personnes qui, par devant, nous font des sourires et qui, par derrière, combattent l’Evangile. Nous en connaissons tous. Jésus ne nous laisse pas seuls parce que nous sommes précieux pour Lui. C’est pour cela qu’il ne nous laisse pas seuls: chacun de nous est précieux pour Jésus, et Il nous accompagne.

Que la Vierge Marie, modèle d’adhésion humble et courageuse à la Parole de Dieu, nous aide à comprendre que dans le témoignage de la foi ce ne sont pas les succès qui comptent, mais la fidélité, la fidélité au Christ, en reconnaissant en toute circonstance, même les plus problématiques, le don inestimable d’être ses disciples missionnaires.

Pape François, Angélus, Dimanche 25 juin 2017

Notre Père

Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous  aujourd’hui  notre  pain  de  ce  jour.
Pardonne  nous  nos  offenses,  comme  nous  pardonnons  aussi  à  ceux qui nous ont offensé.
Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal.

Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Par ta miséricorde, libère-nous du péché, rassure-nous devant  les  épreuves  en  cette  vie  où  nous  espérons  le  bonheur  que  tu  promets  et  l’avènement  de  Jésus  le Christ,  notre  Sauveur.

Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen !

Seigneur  Jésus-Christ,  tu  as  dit  à  tes  Apôtres  :  « Je  vous  laisse  la  paix,  je  vous  donne  ma  paix ». Ne  regarde  pas  nos  péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen !

Prier Marie avec Ste Bernadette de Lourdes

Madame,
Vous qui m’avez choisie un jour
Pour répandre vos mots d’amour
Vous qui un jour m’avez élue
Je vous bénis, je vous salue

Madame,
Vous qui faites de votre mieux
Fille de Paix, mère de Dieu
Vous qui donnez aux dépourvus,
Je vous bénis, je vous salue.

Madame,
Dont le cœur brûle comme une flamme
Avec l’amour pour oriflamme
Sauvez leurs corps, Sauvez leurs âmes

Madame
Vous qui entendez les prières
De tous les pêcheurs sur la Terre
Vous notre sœur, Vous notre mère,
Emplissez nous de la lumière

Madame,
Vous qui avez donné l’enfant,
Le fruit parfait de votre sang
Pour les humains faibles et nus
Je vous bénis, je vous salue.

Madame,
Vous qui apportez à ce monde
Des feux de joie qui vous inondent
Vous qui nous aimez tant et plus
Je vous bénis, je vous salue

Madame,
Dont le cœur brûle comme une flamme
Avec l’amour pour oriflamme
Sauvez leurs corps, Sauvez leurs âmes

Madame,
Vous qui entendez les prières
De tous les pêcheurs sur la Terre
Vous notre sœur, Vous notre mère,
Emplissez nous de la lumière

Madame,
Vous qui m’avez choisie un jour
Pour répandre vos mots d’amour
Vous qui un jour m’avez élue
Je vous bénis, je vous salue




Je vous salue Marie pleine de grâce, le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.

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