Bonjour les amis,
Nous célébrons quelque chose de très beau aujourd’hui, de vibrant et de doux à la fois… nous célébrons le Sacré-Coeur de Jésus. Quel grand mystère que ce cœur-là ! De nombreux mystiques ont eu des appels vibrants à L’honorer. « Mon divin Cœur est si passionné d’amour pour les hommes… » révélera Jésus à Sainte Marguerite-Marie dans une vision à Paray-le-Monial.
Aujourd’hui prenons le temps de nous questionner : qui est Jésus pour moi ? Est-ce ce cœur vibrant d’amour ou ce personnage historique, ce grand philosophe, ce prophète ? Ma foi personnelle a commencé son chemin le jour où je me suis posée cette question… ou plutôt le jour où on me l’a posé. J’avais 17 ans, j’étais dans un partage chrétien et l’animatrice a posé cette question : « Qui est Jésus pour toi ? un ami ? un frère ? » Ma réponse personnelle de l’époque, que je n’ai même pas osé formuler à haute voix – Jésus n’est rien de cela, je ne le connais pas dans mon cœur, simplement dans ce qui m’a été dit de lui, dans les livres et récits – a été l’impulsion d’une longue quête spirituelle.
Comment rencontrer Jésus, comment faire sa connaissance ? Contempler son cœur est un chemin… et il brillera de façon personnelle pour chacun de nous.
En contemplant le Cœur du Christ, les uns peuvent entendre avant tout un appel à la réparation pour les péchés des hommes (2e lecture). D’autres viendront « puiser la joie aux sources vives du salut ». D’autres enfin, les yeux « fixés sur Jésus », se laisseront instruire par lui pour apprendre à le « reconnaître dans leurs frères ».
« Je suis doux et humble de cœur. » C’est ainsi que Jésus nous parle aujourd’hui dans l’Évangile du jour. Dans sa douceur et son humilité qui devaient aller jusqu’à l’acceptation silencieuse de l’humiliation de la croix, il est la révélation du Dieu Amour : Dieu, dit saint Jean dans l’épître, a manifesté son amour en envoyant son Fils pour nous racheter (2e lecture). Mais dès les temps anciens, comme nous le rappelle la première lecture, Dieu avait préparé les hommes à cette révélation en sauvant par amour son peuple de l’oppresseur.
Reprenons cette prière du Pape François :
Dans les difficultés de la vie, prenons courageusement la route avec Jésus et nous ne serons pas seuls. Ne nous laissons pas enlever la joie d’être disciples du Seigneur ! Que Dieu vous bénisse !
Belle prière à tous, et belle fête du Sacré-Cœur de Jésus
Nathalie et Pascal
CHANT
Jésus doux et humble de coeur (canon) Laissons-nous bercer par cette simple demande, pourtant si profonde et puissante : Jésus, doux et humble de coeur, rends mon coeur semblable au tien.
SECONDE LECTURE
« Dieu nous a aimés » (1 Jn 4, 7-16)
Lecture de la première lettre de saint Jean
Bien-aimés, aimons-nous les uns les autres,
puisque l’amour vient de Dieu.
Celui qui aime est né de Dieu et connaît Dieu.
Celui qui n’aime pas n’a pas connu Dieu, car Dieu est amour.
Voici comment l’amour de Dieu s’est manifesté parmi nous :
Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde pour que nous vivions par lui.
Voici en quoi consiste l’amour :
ce n’est pas nous qui avons aimé Dieu, mais c’est lui qui nous a aimés,
et il a envoyé son Fils en sacrifice de pardon pour nos péchés.
Bien-aimés, puisque Dieu nous a tellement aimés,
nous devons, nous aussi, nous aimer les uns les autres.
Dieu, personne ne l’a jamais vu.
Mais si nous nous aimons les uns les autres, Dieu demeure en nous,
et, en nous, son amour atteint la perfection.
Voici comment nous reconnaissons que nous demeurons en lui et lui en nous :
il nous a donné part à son Esprit.
Quant à nous, nous avons vu et nous attestons que le Père a envoyé son Fils
comme Sauveur du monde.
Celui qui proclame que Jésus est le Fils de Dieu,
Dieu demeure en lui, et lui en Dieu.
Et nous, nous avons reconnu l’amour que Dieu a pour nous,
et nous y avons cru.
Dieu est amour :
qui demeure dans l’amour demeure en Dieu, et Dieu demeure en lui.
– Parole du Seigneur –
EVANGILE
« Je suis doux et humble de cœur » (Mt 11, 25-30)
Évangile de Jésus Christ selon Saint Matthieu
En ce temps-là,
Jésus prit la parole et dit :
« Père, Seigneur du ciel et de la terre,
je proclame ta louange :
ce que tu as caché aux sages et aux savants,
tu l’as révélé aux tout-petits.
Oui, Père, tu l’as voulu ainsi dans ta bienveillance.
Tout m’a été remis par mon Père ;
personne ne connaît le Fils, sinon le Père,
et personne ne connaît le Père, sinon le Fils,
et celui à qui le Fils veut le révéler.
Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau,
et moi, je vous procurerai le repos.
Prenez sur vous mon joug,
devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur,
et vous trouverez le repos pour votre âme.
Oui, mon joug est facile à porter,
et mon fardeau, léger. »
– Acclamons la Parole de Dieu : Louange à toi, Seigneur Jésus !
Méditation du Père Emmanuel Pic (RCF)
Ce n’est pas facile de vivre une vie vraiment chrétienne, me dit-on parfois. Le Christ nous veut responsables de notre vie, et de celles d’autres personnes. Cela peut être lourd. Cela impose d’avoir la conscience toujours en éveil. D’être attentif aux autres. De se tenir à l’écoute. De se poser des questions avant de se décider. De faire passer les autres avant soi-même. De mener une vie droite.
C’est vrai, être chrétien, ce n’est pas faire n’importe quoi. Mais Jésus nous dit également que c’est vraiment à la portée de tout le monde, et que ceux qui y réussissent le mieux ne sont pas ceux qui ont étudié la Bible, la théologie, la philosophie ; ce sont au contraire les plus petits. Ils comprennent, eux, que connaître Dieu, ce n’est pas savoir des choses sur lui ; connaître Dieu, c’est le connaître comme père, et cela passe forcément par connaître celui qui est le Fils.
Être disciple du Christ, ce n’est pas non plus se créer des obligations impossibles à remplir, ni une avalanche de règles morales ou rituelles. « Mon joug est facile à porter, dit Jésus, et mon fardeau, léger. » L’unique joug que nous ayons à porter, c’est celui de l’amour, seul commandement digne d’être accompli. Tout autre joug ne fait que nous emplir d’une mauvaise culpabilité, qui nous rend finalement complices du mal.
Être disciple du Christ enfin, c’est accepter qu’on ait besoin d’aide lorsque la vie est trop lourde à porter. Lorsque la croix pèse trop. Lorsqu’on n’en peut plus du fardeau qui pèse sur nos épaules. C’est peut-être alors que l’on comprend la vraie place de Dieu dans nos vies. Il ne peut nous épargner aucun fardeau, aucune croix ; mais Il est capable de rendre léger tout ce que nous portons avec difficulté.
Homélie du Père Maximin Noudehou
« Devenez mes disciples. »
Jésus est dans l’exultation pour l’œuvre d’évangélisation que ses disciples viennent d’accomplir. Il s’exclame : « Père, Seigneur du ciel et de la terre, je proclame ta louange. » Louer le Seigneur n’est possible que pour un cœur ouvert. Louer le Seigneur fait suite à une reconnaissance de Dieu et de son œuvre. C’est un trait majeur du cœur à cœur avec Dieu.
Nous avons, à bien des égards, perdu ce discernement et cette vertu. Nous avons perdu cette capacité à nous émerveiller, à laisser les merveilles de Dieu modeler nos cœurs. Nos cœurs alourdis et insensibles peinent à s’élever. Devenir disciple ou le demeurer, c’est imiter l’humilité du Cœur de Jésus ; c’est savoir, comme Lui, tout rapporter à Dieu.
L’humilité dispose à la louange.
Commence ta journée par la louange.
« Devenez mes disciples. »
Après sa louange au Père, Jésus révèle qu’Il est consolateur : « Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur.» Cela n’est possible qu’à condition de Lui faire confiance. En réalité, son Cœur, ouvert sur la croix, est oasis de paix et de vie pour toute créature.
Nous sommes confrontés à de multiples occupations et préoccupations. Et puisque, malgré tout, nos fragilités nous accablent, de nombreuses assurances nous sont proposées dans tous les domaines comme si cela suffisait. Nous veillons régulièrement à leur renouvellement mais, il nous arrive d’oublier l’Être de qui nous tenons la vie, l’être et le mouvement… Notre sens du devoir et de la responsabilité nous pousse à porter notre vie et, parfois celles des autres, à bout de bras. Et la personne, qui ne semble pas en mesure de porter ce fardeau, est marginalisée dans une société sans cœur… Notre société nous tue par un activisme infernal. Elle exige des performances avec une endurance à toute épreuve, allant jusqu’à une dureté de cœur… Elle privilégie la compétition et a en horreur la compassion. Elle refuse de regarder qui nous sommes pour ne célébrer que ce que nous faisons ou pouvons faire. Nous avons alors tendance à croire que nous ne nous accomplissons que dans le faire. Nous devenons incapables de lever les yeux, de nous tourner vers la Source car elle privilégie l’être. Nous manquons de nous laisser porter comme un tout-petit sur le sein de sa mère. Or, sans Dieu nos vies ne sont que peine et misère. Devenir disciple, c’est demeurer attentif à la douceur du Cœur Sacré de Jésus pour L’imiter.
Le Cœur de Dieu est la destinée de toute vie.
Finis ta journée par l’action de grâces dans l’humilité du cœur.
O Jésus, Doux et Humble de Cœur, rends nos cœurs semblables au Tien.
BONNE FÊTE DU SACRÉ-CŒUR DE JÉSUS
Journée de prière pour la sanctification des prêtres
Paroles du Pape François
Nous avons vu plusieurs fois que Jésus s’exprime avec une tendresse unique, signe de la présence et de la bonté de Dieu.
Arrêtons nous sur un passage émouvant de l’Evangile (cf. Mt 11, 28-30), dans lequel Jésus dit : « Venez à moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous soulagerai […] mettez-vous à mon école, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez soulagement pour vos âmes » (vv. 28-29). L’invitation du Seigneur est surprenante : il appelle à le suivre les personnes simples et marquées par une vie difficile, il appelle à le suivre les personnes qui ont de nombreux besoins et leur promet qu’en Lui elles trouveront le repos et le soulagement. L’invitation est adressée sous forme impérative : « venez à moi », « chargez-vous de mon joug », « mettez-vous à mon école ». Si tous les responsables du monde pouvaient dire cela! Cherchons à saisir la signification de ces expressions.
Le premier impératif est « Venez à moi ». En s’adressant à ceux qui sont las et opprimés, Jésus se présente comme le serviteur du Seigneur décrit dans le livre du prophète Isaïe. Le passage d’Isaïe dit ceci : « Le Seigneur Yahvé m’a donné une langue de disciple pour que je sache apporter à l’épuisé une parole de réconfort » (50, 4). A ces personnes qui ont perdu confiance dans la vie, l’Evangile associe souvent les pauvres (cf. Mt 11, 5) et les petits (cf. Mt 18, 6). Il s’agit de ceux qui ne peuvent pas compter sur leurs propres moyens, ni sur des amitiés importantes. Il ne peuvent avoir confiance qu’en Dieu. Conscients de leur condition humble et misérable, ils savent qu’ils dépendent de la miséricorde du Seigneur, attendant de Lui l’unique aide possible. Dans l’invitation de Jésus, ils trouvent finalement la réponse à leurs attentes : en devenant ses disciples, ils reçoivent la promesse de trouver le soulagement pour toute la vie. Une promesse qui au terme de l’Evangile est étendue à toutes les personnes : « Allez donc, — dit Jésus aux apôtres — de toutes les nations faites des disciples » (Mt 28, 19). Les années de jubilé … les pèlerins franchissent la porte de la miséricorde ouverte dans les cathédrales, dans les sanctuaires, dans de nombreuses églises du monde, dans les hôpitaux, dans les prisons. Pourquoi franchissent-ils cette porte de la miséricorde? Pour trouver Jésus, pour trouver l’amitié de Jésus, pour trouver le soulagement que seul Jésus donne. Ce chemin exprime la conversion de chaque disciple qui se met à la suite de Jésus. Et la conversion consiste toujours à découvrir la miséricorde du Seigneur. Celle-ci est infinie et inépuisable : la miséricorde du Seigneur est grande! En traversant la porte sainte, nous professons donc « que l’amour est présent dans le monde, et que cet amour est plus puissant que les maux de toutes sortes dans lesquels l’homme, l’humanité et le monde sont plongés » (Jean-Paul II enc. Dives in misericordia, n. 7).
Le deuxième impératif dit : « Chargez-vous de mon joug ». Dans le contexte de l’Alliance, la tradition biblique utilise l’image du joug pour indiquer le lien étroit qui lie le peuple à Dieu, et en conséquence la soumission à sa volonté exprimée dans la Loi. En polémique avec les scribes et les docteurs de la loi, Jésus place sur ses disciples son joug, dans lequel la Loi trouve son accomplissement. Il veut leur enseigner qu’ils découvriront la volonté de Dieu à travers sa personne : à travers Jésus, pas à travers les lois et les prescriptions froides que Jésus lui-même condamne. Il suffit de lire le chapitre 23 de Matthieu! Lui, Jésus, se trouve au centre de leur relation avec Dieu, il est au cœur des relations entre les disciples et il se présente comme le centre de la vie de chacun. En recevant le « joug de Jésus », chaque disciple entre ainsi en communion avec Lui et participe au mystère de sa croix et à son destin de salut.
Il s’ensuit le troisième impératif : « Mettez-vous à mon école ». Jésus présente à ses disciples un chemin de connaissance et d’imitation. Jésus n’est pas un maître qui avec sévérité impose aux autres des poids que lui-même ne porte pas : telle était l’accusation que lui lançaient les docteurs de la loi. Il s’adresse aux humbles et aux petits, aux pauvres, aux nécessiteux parce que Lui-même s’est fait petit et humble. Il comprend les pauvres et ceux qui souffrent parce qu’Il est lui-même pauvre et éprouvé par les douleurs. Pour sauver l’humanité, Jésus n’a pas parcouru un chemin facile; au contraire, son chemin a été douloureux et difficile. Comme le rappelle la lettre aux Philippiens : « Il s’humilia plus encore, obéissant jusqu’à la mort, et à la mort sur une croix! » (2, 8). Le joug que les pauvres et les opprimés portent est le même joug qu’Il a porté avant eux : c’est pourquoi il s’agit d’un joug léger. Il a chargé sur ses épaules les douleurs et les péchés de toute l’humanité. Pour le disciple, recevoir le joug de Jésus signifie donc recevoir sa révélation et l’accueillir : en Lui la miséricorde de Dieu s’est chargée des pauvretés des hommes, en donnant ainsi à tous la possibilité du salut. Mais pourquoi Jésus est-il capable de dire ces choses ? Parce qu’Il s’est fait tout à tous, proche de tous, des plus pauvres ! C’était un pasteur parmi les personnes, parmi les pauvres : il travaillait toute la journée avec eux. Jésus n’était pas un prince. Cela est mauvais pour l’Eglise quand les pasteurs deviennent des princes, éloignés des personnes, éloignés des plus pauvres : ce n’est pas l’esprit de Jésus. Jésus réprimandait ces pasteurs, et Jésus disait d’eux aux gens : « Faites ce qu’ils disent, pas ce qu’ils font ».
Chers frères et sœurs, nous connaissons nous aussi des moments de lassitude et de déception. Rappelons-nous alors ces paroles du Seigneur, qui nous apportent tant de réconfort et nous permettent de comprendre si nous plaçons nos forces au service du bien. En effet, parfois notre lassitude est causée par le fait d’avoir placé notre confiance dans des choses qui ne sont pas l’essentiel, parce que nous nous sommes éloignés de ce qui vaut vraiment la peine dans la vie. Le Seigneur nous enseigne à ne pas avoir peur de le suivre, parce ce que l’espérance que nous plaçons en Lui ne sera pas déçue. Nous sommes donc appelés à apprendre de Lui ce que signifie vivre de miséricorde pour être des instruments de miséricorde. Vivre de miséricorde pour être des instruments de miséricorde : vivre de miséricorde signifie sentir que nous avons besoin de la miséricorde de Jésus, et quand nous sentons que nous avons besoin de pardon, de réconfort, nous apprenons à être miséricordieux avec les autres. Garder le regard fixé sur le Fils de Dieu nous fait comprendre combien de chemin nous avons encore à parcourir; mais dans le même temps, cela nous donne la joie de savoir que nous marchons avec Lui et que nous ne sommes jamais seuls. Courage, donc, courage ! Ne nous laissons pas ôter la joie d’être des disciples du Seigneur. « Mais, père, je suis un pécheur, comment puis-je faire? » — « Laisse-toi guider par le Seigneur, ouvre ton cœur, sens sur toi son regard, sa miséricorde, et ton cœur sera rempli de joie, de la joie du pardon, si tu t’approches pour demander pardon ». Ne nous laissons pas voler l’espérance de vivre cette vie avec Lui et avec la force de son réconfort. Merci.
Dans les difficultés de la vie, prenons courageusement la route avec Jésus et nous ne serons pas seuls. Ne nous laissons pas enlever la joie d’être disciples du Seigneur ! Que Dieu vous bénisse !
Pape François, Audience Générale, 14 septembre 2016
Notre Père
Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour. Pardonne nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensé. Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal. Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Par ta miséricorde, libère-nous du péché, rassure-nous devant les épreuves en cette vie où nous espérons le bonheur que tu promets et l’avènement de Jésus le Christ, notre Sauveur. Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen ! Seigneur Jésus-Christ, tu as dit à tes Apôtres : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix ». Ne regarde pas nos péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen ! |
Prière à Marie
Si tu heurtes le rocher des épreuves.
Si les flots de l’ambition t’entraînent,
Si l’orage des passions se déchaîne :
R. Regarde l’étoile, invoque Marie,
Si tu la suis, tu ne crains rien !
Regarde l’étoile, invoque Marie,
Elle te conduit sur le chemin !
2. Dans l’angoisse et les périls, le doute,
Quand la nuit du désespoir te recouvre.
Si devant la gravité de tes fautes
La pensée du jugement te tourmente :
3. Si ton âme est envahie de colère,
Jalousie et trahison te submergent.
Si ton coeur est englouti dans le gouffre,
Emporté par les courants de tristesse :
4. Elle se lève sur la mer, elle éclaire,
Son éclat et ses rayons illuminent.
Sa lumière resplendit sur la terre,
Dans les cieux et jusqu’au fond des abîmes.
Coda :
Si tu la suis, tu ne dévies pas,
Si tu la pries, tu ne faiblis pas.
Tu ne crains rien, elle est avec toi,
Et jusqu’au port, elle te guidera.
Je vous salue Marie pleine de grâce, le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, Maintenant et à l’heure de notre mort. |

#VieFraternelle #Jésus #SoyonsVivantsEnsemble #SaintEsprit #Evangile #Prière #Prier
Sacré travail d’avoir récupéré les homélies! J’ai beaucoup apprécié les textes!
Pas simple de répondre à la question il est vrai !
Même si je viens de sortir d’une retraite silence de 4 jours avec les exercices spirituels ignaciens, ce qu’il me vient est : » Jésus est mon berger » le ps 22/23 me vient ensuite !
Jésus était venu aussi chercher les riches parmi les pauvres, les petits… enfin il était petit c’est vrai Zachée 😀 !
Très bon week end à vous deux!
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L’Identité du Christ Jésus est la marque que porte chaque Chrétien qui reflète le Christ même
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