Aimer c’est tout donner

Bonjour les amis,

Aujourd’hui nous souhaitons vous accueillir par un témoignage, celui de Pascal.

Il y a longtemps, j’étais jeune, rempli de rêves et d’espoirs, j’avais des sorties, quelques envies matérielles, et pratiquement aucune envie spirituelle, même si j’avais complètement suivi « le cursus du jeune chrétien ». J’avais peu pour vivre, je me sentais un peu seul, mais je me sentais libre, sans me soucier de l’avenir. Peut-être à défaut de connaitre autre chose, j’aimais cette vie et je donnais tout pour elle, dans mes études, dans le sport, dans ma vie de famille.

Puis un jour, j’ai rencontré, un peu « par hasard » celle qui allait devenir la femme de ma vie. Peu à peu, nous avons appris à nous connaitre et à vivre ensemble. Nous étions heureux ensemble dans une vie d’étudiants simple et sans souci. Nous avions très peu pour vivre mais nous étions heureux ensemble, et nous aimions cette vie ancrée dans le présent, emplie de travail, de sorties, d’amour. Nous donnions tout pour cette vie sans argent, sans grand besoin mais heureuse. Le Seigneur est alors entré dans ma vie un peu plus concrètement, même s’il n’était pas encore au centre de notre vie. Aucun regret de la vie d’avant, puisque j’ai l’impression d’avoir commencé à vivre à cette époque.

Puis nous nous sommes mariés; nous continuions cette vie à deux, cette vie de jeunes ingénieurs. Petits salaires, mais des emplois passionnants et enrichissants. Beaucoup de voyages, de petits plaisirs, de sorties. Une impression de liberté. Une vie sereine, emplie d’amour. Nous aimions cette vie, nous donnions tout pour notre couple, notre travail, sans regret de la vie d’avant puisque nous étions encore plus vivants.

Puis le 1er enfant, le 2nd, …., un changement de vie complet. Moins de sorties, moins de voyages, moins de liberté du moins en apparence, mais tellement d’amour, de joie, et de bonheur avec les nouveaux arrivants. Nous avons sans nous en rendre compte abandonné la vie de jeunes amoureux pour adopter cette vie de parents, tout naturellement. Tout notre temps était consacré aux enfants, sans aucun regret de la vie d’avant, malgré les nuits blanches et les difficultés vite oubliées. Dieu était peu présent dans nos têtes, même si nous œuvrions pour la paroisse, mais Il nous accompagnait à chaque instant (ça nous l’avons compris plus tard). Et puis de si belles rencontres grâce aux baptêmes des enfants, un prêtre exceptionnel, des amis pour la vie. Là encore nous avons tout donné dans cette vie.

Puis les enfants sont devenus adolescents, nos activités associatives étaient tournées vers les enfants ; l’école, le collège, le lycée, le catéchisme, le sport, la musique… Tout ce que nous avons vécu, les nombreuses rencontres, le retour progressif vers l’église, les spectacles,…tout cela grâce à nos enfants. Nous avons aussi commencé à avoir des activités communes avec les enfants (sports, jeux…), une vraie vie de famille unie. Bien sûr, beaucoup de temps passé dans la voiture pour les amener chez les copains ou copines. Une magnifique et très riche période pour laquelle nous avons tout donné, et sans regret de la vie d’avant. Le Seigneur était de plus en plus présent dans notre vie, grâce à la messe.

Enfin les adolescents sont devenus de jeunes adultes. Ils ont commencé à faire des choix de vie, de métiers, de petits amis. Ils sont devenus plus autonomes. Nous n’avons jamais cherché à projeter sur eux nos rêves déçus de gloire ou de métier rêvé ; nous les avons écoutés, aidés à se questionner, à faire des choix profonds, à prendre des chemins de vie, d’ouverture vers une vie où ils seraient heureux. Ils ont trouvé eux-mêmes les réponses. La seule chose qui nous importait était qu’ils soient heureux, qu’ils aient confiance en eux, qu’ils soient lumineux. Nous avons tout donné pour cela. Jésus est alors devenu un membre à part entière de notre famille. Quelle joie, quel bonheur de voir comment nous enfants et parents avons grandis ensemble.

Aucun regret des vies passées, puisque le meilleur reste à venir.

Aimer c’est tout donner. Nous avons tout donné avec joie, enthousiasme, confiance pour les êtres aimés : conjoint, enfants, famille, amis, collègues, paroisse,…et puis Jésus à qui nous devons tout ce que nous avons vécu; Jésus, le dernier entrant dans la famille mais qui n’est pas prêt d’en sortir. A nous de tout donner pour Lui.

Que nous confie ce témoignage ? Peut-être qu’être heureux, c’est vivre dans le présent en ne regrettant rien du passé et ne se souciant pas de l’avenir. Comment réussir cela ? Peut-être en ayant confiance que le Seigneur nous accompagne et nous guide, en nous contentant de ce que l’on a et en rendant grâce pour cela, simplement et sans comparaison avec ce qu’ont les autres.

Nous ne sommes pas riches de ce que nous avons, mais nous sommes riches de ce que nous sommes, de ce que nous vivons chaque jour. Aujourd’hui rendons grâce au Seigneur pour ces richesses qui sont en nous.

Nous avons aussi une pensée très émue pour notre Père Emmanuel qui nous a tout donné pendant ses quelques années avec nous, malgré la maladie et les souffrances, et qui va rejoindre une nouvelle paroisse à la rentrée prochaine. Nous pouvons rendre grâce pour Père Emmanuel, pour Père Michel et Père Paul, pour tous ces prêtres qui nous accompagnent sur notre chemin de foi… ils ont donné leur vie à Dieu, et à nous aussi ! Qu’ils soient bénis !

Belle prière à tous,
Nathalie et Pascal

CHANT

Aimer c’est tout donner, quelle plus grande preuve d’amour que de donner sa vie pour ceux que l’on aime ?

Voici le plus grand amour, c’est de donner sa vie
Pour tous ceux que l’on aime et ceux que l’on bénit
Nous ne sommes fait que pour aimer

Aimer c’est tout donner, aimer c’est tout donner
Aimer c’est tout donner et se donner soi-même
Et redire à jamais de toute éternité,
Aimer c’est tout donner
Et se donner soi-même, et se donner soi-même

Sans amour à quoi bon vivre, et à quoi bon chanter
Sans amour à quoi bon rire, et à quoi bon rêver
Nous ne sommes fait que pour aimer

Aimer c’est tout donner, aimer c’est tout donner
Aimer c’est tout donner et se donner soi-même
Et redire à jamais de toute éternité,
Aimer c’est tout donner
Et se donner soi-même, et se donner soi-même

Aimer c’est tout donner.

EVANGILE

« Ma chair est la vraie nourriture, et mon sang est la vraie boisson … » (Jn 6, 51-58)

Évangile de Jésus Christ selon Saint Jean

En ce temps-là, Jésus disait aux foules des Juifs :
« Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel :
si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement.
Le pain que je donnerai, c’est ma chair,
donnée pour la vie du monde. »
Les Juifs se querellaient entre eux :
« Comment celui-là peut-il nous donner sa chair à manger ? »
Jésus leur dit alors :
« Amen, amen, je vous le dis :
si vous ne mangez pas la chair du Fils de l’homme,
et si vous ne buvez pas son sang, vous n’avez pas la vie en vous.
Celui qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle ;
et moi, je le ressusciterai au dernier jour.
En effet, ma chair est la vraie nourriture,
et mon sang est la vraie boisson.
Celui qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi,
et moi, je demeure en lui.
De même que le Père, qui est vivant, m’a envoyé,
et que moi je vis par le Père, de même celui qui me mange,
lui aussi vivra par moi.
Tel est le pain qui est descendu du ciel :
il n’est pas comme celui que les pères ont mangé.
Eux, ils sont morts ;
celui qui mange ce pain vivra éternellement. »

Acclamons la Parole de Dieu. Louange à Toi Seigneur Jésus

Méditation du Père Emmanuel Pic (RCF)

Donner sa vie… voilà un projet qui à première vue nous paraît difficile, héroïque, vain peut-être. Les images qui nous viennent sont celles d’hommes et de femmes qui s’engagent tout entier dans une cause à laquelle ils se consacrent à fond, jusqu’à mourir parfois. Ce sont les martyrs, les héros de la guerre ou de la résistance, celles et ceux qui donnent leur vie pour leur foi ou pour leur patrie, les soignants que nous avons fêtés tous les soirs pendant deux mois… Beau geste, beau témoignage. Mais est-ce bien pour moi ? En suis-je capable ? Est-ce bien raisonnable, quand j’ai charge de famille, quand j’exerce des responsabilités, de prendre de tels risques ?
Quand nous entendons ces phrases de Jésus qui dit qu’il donne sa chair, sa propre vie, nous pensons évidemment, et c’est normal, au sens qu’il donne à sa mort.
Il y a une autre manière de comprendre le don de soi, moins spectaculaire peut-être, mais tout aussi réelle : donner sa vie à quelqu’un, c’est l’aimer pour de vrai. « Je donnerais ma vie pour toi » : ces mots ne sont pas réservés à quelques héros, mais nous sommes tous capables de les prononcer un jour dans notre vie, parce que nous avons tous, un jour, rencontré quelqu’un pour qui nous pourrions donner notre vie.
Ce don de soi se vit au quotidien. Ce sont les parents, qui donnent tout pour la chair de leur chair : être père, être mère, ce n’est pas seulement donner la vie une fois pour toutes, mais c’est la donner chaque jour, donner de soi, donner de son temps, donner de l’amour à un point tel que l’autre prend soudain plus d’importance que soi-même. Ce sont les amoureux, les époux, à partir du moment où ils acceptent d’entrer dans l’amour par cette porte-là.
Il y a bien des manières d’aimer, certaines sont égoïstes, d’autres nombrilistes, d’autres intéressées ; l’amour à la manière de Jésus est don de soi sans réserve à la personne que l’on aime.

Homélie du Père Maximin Noudehou

SOLENNITÉ DU TRÈS SAINT-SACREMENT DU CORPS ET DU SANG DU CHRIST
« Celui qui me mange, lui aussi vivra par moi. » A ces Juifs qui ont bénéficié de la multiplication des pains et qui, demandant un signe, évoquent l’expérience de leurs pères au désert avec Moïse, Jésus répond : « Je suis le pain vivant qui est descendu du ciel ».
Il se présente comme pain, c’est-à-dire comme nourriture, comme réponse à l’un de leurs besoins fondamentaux : manger. Ce pain n’est pas fait de mains d’homme. Il est pétri par Dieu et envoyé par Lui. Dieu est Boulanger-Restaurateur.
Jésus prépare ces auditeurs à ce festin et précise : « Le pain que je donnerai, c’est ma chair, donnée pour la vie du monde. » Ainsi, au menu de ce repas, il y a de la chair et du sang.
Parce que Jésus a fait du pain, sa chair, sa chair est devenue le Pain, notre Pain. Et depuis, le pain devient sa Chair en nos mains, en son Corps qu’est l’Église. Depuis, notre pain quotidien nous renvoie à tant de chairs qui, comme le froment, sont broyées et pétries par le sang. Chaque pain nous renvoie à tant de labeurs humains parfois inhumains, tant de larmes, tant de chairs souillées, tant de vies brisées par des lois et des conditions de travail injustes. Chaque pain nous renvoie aussi à tant des chômeurs qui souffrent de ne point en avoir ou qui en reçoivent avec un sentiment profond d’indignité ou d’abus, tant de liens familiaux rompus par la quête du pain, par son abondance ou son absence. Chaque pain nous renvoie désormais à tant de génies déployés avec générosité et persévérance, tant de créativités concrétisées dans le silence d’un atelier ou d’un laboratoire, tant de patience, de joie, de solidarité, de tendresse, de communion au travail. Ce pain est le fruit de la terre et du travail des hommes. Chaque pain vit de la vie des hommes, qui est venue de Dieu, et qui est vie de Dieu. Il s’entend alors que ce pain devient la Chair de Celui qui, ayant pris chair, a partagé notre labeur. Le Seigneur récapitule ainsi en Lui-même, toute cette humanité.

Jésus est le Pain vivant.
Quelle gratitude de ta part pour toutes les vies que tu manges ?

Celui qui me mange, lui aussi vivra par moi
« Les juifs se querellaient entre eux ». Oui, le Pain vivant, l’Eucharistie, le Christ a toujours suscité et suscitera toujours dans le monde querelles, oppositions, interrogations car non seulement c’est la vie qui est en jeu mais c’est surtout la vie en Dieu, la vie éternelle qui est en jeu. C’est la relation d’amour avec Dieu qui est en débat. Par ce sacrement, Jésus se place au cœur des crises de l’humanité où la vie et la mort continuent de s’affronter.

Chaque Eucharistie, chaque communion, chaque évocation du Corps et du Sang du Christ, chaque adoration nous met en débat avec nos semblables sur notre rapport à la vie présente, au travail, à la vie éternelle. Nous sommes ainsi invités, chaque fois, à rendre compte de notre foi en Christ. Nous sommes invités à proclamer qu’un travail n’est fécond que s’il cumule en Christ, s’il est réalisé dans la mouvance de l’Esprit Saint qui a fécondé les entrailles de la Vierge Marie de qui le Verbe a pris chair. Nous sommes mis en demeure de témoigner que ce n’est pas la Covid-19 qui devrait nous rendre attentifs à notre vie pour la vie des autres ; que ce n’est point elle qui devrait nous conduire à arrêter notre course effrénée à la quête du pain, même le dimanche. Nous sommes, chaque fois, appelés à choisir la vie qui nous convient.

Sans Christ, le pain tue.
De quelle vie vis-tu ?

Seigneur, par l’intercession de la Vierge Marie, Mère du Pain de vie, donne-nous toujours faim et soif de Toi.
BONNE FÊTE DU TRÈS SAINT-SACREMENT

Paroles du Pape François

L’Eucharistie, Jésus Pain de vie, est le cœur battant de l’Église et régénère en nous le dynamisme de l’amour.

«Si vous ne mangez la chair du Fils de l’homme et ne buvez son sang, vous n’aurez pas la vie en vous» (v. 53). Avec la chair apparaît également ici le sang. Dans le langage biblique, la chair et le sang expriment l’humanité concrète. Les gens et les disciples eux-mêmes ont l’intuition que Jésus les invite à entrer en communion avec Lui, à Le «manger», à manger son humanité, pour partager avec Lui le don de la vie pour le monde. Rien à voir avec des triomphes et des mirages de succès! C’est précisément le sacrifice de Jésus qui se donne lui-même pour nous.

Ce pain de vie, sacrement du Corps et du Sang du Christ, nous est donné gratuitement à la table de l’Eucharistie. Autour de l’autel, nous trouvons ce qui nous rassasie et étanche notre soif spirituellement, aujourd’hui et pour l’éternité. Chaque fois que nous participons à la Messe, dans un certain sens, nous anticipons le ciel sur la terre, car de la nourriture eucharistique, le Corps et le Sang de Jésus, nous apprenons ce qu’est la vie éternelle. Elle est vivre pour le Seigneur: «Celui qui me mange, lui aussi vivra par moi» (v. 57), dit le Seigneur. L’Eucharistie nous façonne pour que nous ne vivions pas seulement pour nous-mêmes, mais pour le Seigneur et pour nos frères. Le bonheur et l’éternité de la vie dépendent de notre capacité de rendre fécond l’amour évangélique que nous recevons dans l’Eucharistie.

Jésus, comme à cette époque, répète également à chacun de nous aujourd’hui: «Si vous ne mangez la chair du Fils de l’homme et ne buvez son sang, vous n’aurez pas la vie en vous» (v. 53). Frères et sœurs, il ne s’agit pas d’une nourriture matérielle, mais d’un pain vivant et vivifiant, qui communique la vie même de Dieu. Quand nous faisons la communion, nous recevons la vie même de Dieu. Pour avoir cette vie, il est nécessaire de se nourrir de l’Evangile et de l’amour pour nos frères. Face à l’invitation de Jésus à nous nourrir de son Corps et de son Sang, nous pourrions ressentir la nécessité de discuter et de résister, comme l’ont fait les personnes dont a parlé l’Evangile d’aujourd’hui. Cela se produit quand nous avons des difficultés à modeler notre existence sur celle de Jésus, à agir selon ses critères et non selon les critères du monde. En nous nourrissant de cette nourriture, nous pouvons entrer en pleine harmonie avec le Christ, avec ses sentiments, avec ses comportements. Cela est très important: aller à la Messe et communier, car recevoir la communion c’est recevoir ce Christ vivant, qui nous transforme à l’intérieur et nous prépare pour le ciel.

Pape François, extraits de l’Angélus, 19 Août 2018

Notre Père

Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous  aujourd’hui  notre  pain  de  ce  jour.
Pardonne  nous  nos  offenses,  comme  nous  pardonnons  aussi  à  ceux qui nous ont offensé.
Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal.

Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Par ta miséricorde, libère-nous du péché, rassure-nous devant  les  épreuves  en  cette  vie  où  nous  espérons  le  bonheur  que  tu  promets  et  l’avènement  de  Jésus  le Christ,  notre  Sauveur.

Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen !

Seigneur  Jésus-Christ,  tu  as  dit  à  tes  Apôtres  :  « Je  vous  laisse  la  paix,  je  vous  donne  ma  paix ». Ne  regarde  pas  nos  péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen !

Prière à Marie, Tendresse dans nos vies

R/ Marie tendresse dans nos vies
Marie chemin qui mène à Lui
Ton oui, fleurit dans notre vie
Merci pour ce cadeau béni

 
S’il te plaît Sainte Vierge, obtiens nous de Jésus
De faire un beau silence pour habiter chez Lui
 
S’il te plaît Sainte Vierge, obtiens nous de Jésus
D’accueillir Sa présence pour mieux Lui dire oui
 
S’il te plaît Sainte Vierge, obtiens nous de Jésus
De choisir l’espérance pour fleurir l’aujourd’hui
 
S’il te plait Vierge Marie, demande à Jésus de m’apprendre à faire un beau silence.
S’il te plait Vierge Marie, demande à Jésus de m’apprendre à écouter Sa Parole comme toi.
S’il te plait Vierge Marie, demande à Jésus de m’apprendre à dire oui de tout mon cœur.
S’il te plait Vierge Marie, prie pour nous le Seigneur Jésus, Il écoute puisque tu es sa maman et que, nous aussi, nous sommes tes enfants.

#VieFraternelle #Jésus #SoyonsVivantsEnsemble

%d blogueurs aiment cette page :