Heureux celui qui met sa foi dans le Seigneur !

Chers amis,

Depuis 1992, l’Église universelle célèbre le 11 février, jour de la fête de Notre-Dame de Lourdes, la Journée Mondiale du malade qui se décline en un Dimanche de la Santé, cette année le 13 février, pour rappeler que l’accompagnement des personnes souffrantes et la préservation du don de santé sont des priorités évangéliques. L’Eglise est présente sur le terrain de l’accompagnement, au sein des aumôneries hospitalières avec ses équipes de bénévoles qui œuvrent aux côtés d’associations laïques où tant de personnes de bonne volonté s’engagent aussi.
En ce dimanche, encourageons tous ces volontaires, qui partout en France dans les plus petits villages et les plus grands hôpitaux, dans la discrétion et la simplicité, se rendent présents au jour le jour à l’autre, malade, seul, isolé. Invitons-les à approfondir leur engagement, à poursuivre leur formation, à donner du sens à ce service et à cette mission.
Alors en ce dimanche dédié à la santé, que Ta miséricorde, Seigneur, soit dans nos cœurs, qu’elle nous aide à Te prier, pour nos sœurs et nos frères.

Seigneur, bénis tous ceux qui mettent leur foi en Toi en engageant toute leur vie à mettre leur temps et leurs talents au service de l’Eglise comme Tu le veux. Ensemble, nous Te prions.
Seigneur, avec le pape François, nous Te prions tout particulièrement pour les religieuses et les consacrées, en les remerciant pour leur mission et leur courage, afin qu’elles continuent à trouver de nouvelles réponses aux défis de notre temps. Ensemble, nous Te prions.
Seigneur, nous Te prions pour les responsables politiques, et en particulier pour les candidats aux élections présidentielles. Aide-les à découvrir Ta loi et à s’y plaire à exercer l’autorité comme un service rendu au peuple. Ensemble, nous Te prions.
Seigneur, en contemplant Jésus ressuscité d’ entre les morts, nous Te prions pour celles et ceux qui sont éprouvés par le deuil. Donne-leur foi en Toi, confiance en Ta promesse que toutes et tous nous ressusciterons et que nous nous reverrons tous. Ensemble, nous Te prions.
Seigneur, en ce dimanche de la santé, nous Te confions tous les souffrants, en particulier tous ceux qui ont reçu le sacrement de l’onction des malades. Et, Seigneur, fais que soient heureux ceux qui sont au service des malades, des handicapés, des personnes âgées. Nous Te confions aussi tous les accompagnants, les familles des malades qui œuvrent dans l’ombre, dans la solitude, parfois dans le désespoir… Aide les à accomplir leur mission avec joie. Ensemble, nous Te prions.
Enfin prions cette intention proposée pour ce dimanche :

Seigneur Jésus,
Toi l’homme des Béatitudes, toi, le pauvre, le doux,
Le juste, le miséricordieux, donne-nous de vivre
Par toi, avec Toi et en Toi.
Quels que soient les évènements
Que nous traversons ou les difficultés
Que nous avons à affronter,
Permets que nous n’oublions jamais
Que Tu marches avec nous,
Que Tu nous prends par la main,
Et qu’être heureux,
C’est te savoir à nos côtés
Quoi qu’il nous advienne.
Ainsi soit-il.
Chantal Lavoillotte

Belle prière à tous,
Nathalie et Pascal

CHANT

Heureux, bienheureux

Heureux, bienheureux, Qui écoute la parole de Dieu.
Heureux, bienheureux, Qui la garde dans son cœur.

Heureux ceux qui ont une âme de pauvre Car le royaume des cieux est à eux.
Heureux les doux Car ils possèderont la terre.
Heureux les affligés Car ils seront consolés
Heureux les affamés et assoiffés de justice Car ils seront rassasiés.

Heureux, bienheureux, Qui écoute la parole de Dieu.
Heureux, bienheureux, Qui la garde dans son cœur.


Heureux les miséricordieux Car ils obtiendront miséricorde.
Heureux les cœurs purs Car ils verront Dieu.
Heureux les artisans de paix Car ils seront appelés fils de Dieu.
Heureux les persécutés pour la justice Car le royaume des cieux est à eux.

Heureux, bienheureux, Qui écoute la parole de Dieu.
Heureux, bienheureux, Qui la garde dans son cœur.


Heureux serez-vous quand on vous insultera Et qu’on vous persécutera,
Et que l’on dira faussement contre vous Toute sorte de mal à cause de moi.
Soyez dans la joie, soyez dans l’allégresse, Dans les cieux vous serez comblés !

PREMIERE LECTURE

« Maudit soit l’homme qui met sa foi dans un mortel. Béni soit l’homme qui met sa foi dans le Seigneur » (Jr 17, 5-8)

Lecture du livre du Prophète Jérémie

Ainsi parle le Seigneur :   
Maudit soit l’homme
qui met sa foi dans un mortel,
qui s’appuie sur un être de chair,
tandis que son cœur se détourne du Seigneur.
    Il sera comme un buisson sur une terre désolée,
il ne verra pas venir le bonheur.
Il aura pour demeure les lieux arides du désert,
une terre salée, inhabitable.
Béni soit l’homme
qui met sa foi dans le Seigneur,
dont le Seigneur est la confiance.
    Il sera comme un arbre, planté près des eaux,
qui pousse, vers le courant, ses racines.
Il ne craint pas quand vient la chaleur :
son feuillage reste vert.
L’année de la sécheresse, il est sans inquiétude :
il ne manque pas de porter du fruit.

Parole du Seigneur.

EVANGILE

Réjouissez-vous, tressaillez de joie, dit le Seigneur, car votre récompense est grande dans le ciel.
« Heureux les pauvres ! Quel malheur pour vous les riches ! » (Lc 6, 17.20-26)

Évangile de Jésus Christ selon Saint Luc

En ce temps-là,
    Jésus descendit de la montagne avec les Douze
et s’arrêta sur un terrain plat.
Il y avait là un grand nombre de ses disciples,
et une grande multitude de gens
venus de toute la Judée, de Jérusalem,
et du littoral de Tyr et de Sidon.
Et Jésus, levant les yeux sur ses disciples, déclara :
« Heureux, vous les pauvres,
car le royaume de Dieu est à vous.
    Heureux, vous qui avez faim maintenant,
car vous serez rassasiés.
Heureux, vous qui pleurez maintenant,
car vous rirez.
    Heureux êtes-vous quand les hommes vous haïssent
et vous excluent,
quand ils insultent
et rejettent votre nom comme méprisable,
à cause du Fils de l’homme.
        Ce jour-là, réjouissez-vous, tressaillez de joie,
car alors votre récompense est grande dans le ciel ;
c’est ainsi, en effet, que leurs pères traitaient les prophètes.
    Mais quel malheur pour vous, les riches,
car vous avez votre consolation !
    Quel malheur pour vous qui êtes repus maintenant,
car vous aurez faim !
Quel malheur pour vous qui riez maintenant,
car vous serez dans le deuil et vous pleurerez !
    Quel malheur pour vous lorsque tous les hommes disent du bien de vous !
C’est ainsi, en effet, que leurs pères traitaient les faux prophètes. »

– Acclamons la Parole de Dieu : Louange à toi, Seigneur Jésus !

Homélie du Père Maximin Noudehou sur la première lecture

« Maudit soit l’homme qui met sa foi dans un mortel, qui s’appuie sur un être de chair, tandis que son cœur se détourne du Seigneur. »
Nous ne sommes pas des êtres esseulés. Nous avons besoin de nous appuyer sur quelqu’un, de faire confiance. Cette disposition du cœur a une portée vitale. Mais, le bénéfice que nous pouvons en tirer ou non est en fonction de l’objet de notre confiance. Ils sont dans l’erreur, ceux qui célèbrent l’homme au détriment de Dieu. Ils sont dans l’erreur, ceux qui nous poussent à ne nous fier qu’à nous-mêmes. Ils sont dans l’erreur, ceux qui prônent notre indépendance à l’égard de Dieu. Ils vont à leur perte, ceux qui accordent crédit à ces marchands d’illusions.
Les paraboles du buisson sur une terre désolée et de l’arbre planté près des eaux, auxquelles recourt le prophète, nous indiquent clairement que Dieu devrait être l’unique objet de notre foi. En Lui, est la Source de vie. Il est la Sève de nos vies. En Lui seul, sont notre fraîcheur, notre verdeur et notre fécondité, bref, notre Bonheur. Quelles que soient les qualités et les réussites de l’homme, il n’a pas en lui-même sa source. Il se reçoit du tout Autre, Dieu. L’homme ne saurait, en aucun cas, prendre la place de Dieu ! Ce qui pose problème dans cette démarche de confiance, c’est notre manque de discernement… Il fait perdre la boussole à notre cœur. Il conduit notre bateau à la dérive. Notre malheur, c’est de ne point savoir aller à l’Essentiel. Il est fou, celui qui veut cuire son omelette avec un feu d’artifice.
L’homme est image de Dieu, mais il n’est qu’une image.

Seigneur notre Dieu, donne-nous l’Esprit de discernement et que nos cœurs s’enracinent en Toi.

Message du Pape François pour la 30e Journée Mondiale du Malade

Soyez miséricordieux, comme votre père est miséricordieux » (Lc 6, 36).
Se tenir à côté de celui qui souffre sur le chemin de la charité.

Chers frères et sœurs,
Il y a trente ans, saint Jean-Paul II institua la Journée Mondiale du Malade pour sensibiliser le peuple de Dieu, les institutions sanitaires catholiques et la société civile à l’attention envers les  malades et envers tous ceux qui prennent soin d’eux.[1]
Nous sommes reconnaissants envers le Seigneur pour le chemin parcouru au cours de ces  années dans les Églises particulières du monde entier. Beaucoup de pas en avant ont été accomplis,  mais il reste encore une longue route à parcourir pour assurer à tous les malades, notamment dans  les lieux et dans les situations de plus grande pauvreté et d’exclusion, les soins dont ils ont besoin,  ainsi que l’accompagnement pastoral, afin qu’ils puissent vivre le temps de la maladie en étant unis  au Christ crucifié et ressuscité. Que la 30ème Journée Mondiale du Malade – dont la célébration  culminante ne pourra pas avoir lieu comme prévu, à cause de la pandémie, à Arequipa, au Pérou,  mais se tiendra dans la basilique Saint-Pierre, au Vatican – puisse nous aider à grandir en proximité et dans le service des personnes malades et de leurs familles.

  1. Miséricordieux comme le Père

Le thème choisi pour cette trentième Journée : « Soyez miséricordieux, comme votre Père est miséricordieux » (Lc 6, 36), oriente avant tout notre regard vers Dieu « riche en miséricorde »  (Ep 2, 4), qui regarde toujours ses enfants avec un amour de père, même lorsqu’ils s’éloignent de lui. De fait, la miséricorde est, par excellence le nom de Dieu, qui exprime sa nature, non pas à la  manière d’un sentiment occasionnel, mais comme une force présente dans tout ce qu’il accomplit. Il  est à la fois force et tendresse. Voilà pourquoi nous pouvons dire, avec stupeur et reconnaissance, que la miséricorde de Dieu comporte à la fois la dimension de la paternité et celle de la maternité  (cf. Is 49, 15), car il prend soin de nous avec la force d’un père et avec la tendresse d’une mère, toujours désireux de nous donner la vie nouvelle dans l’Esprit Saint.

  1. Jésus, miséricorde du Père 

Le témoin suprême de l’amour miséricordieux du Père envers les malades est son Fils  unique. Combien de fois les Évangiles nous rapportent-ils les rencontres de Jésus avec des personnes frappées par différentes maladies. Il « parcourait toute la Galilée, enseignant dans leurs  synagogues, proclamant la Bonne Nouvelle du Royaume et guérissant toute maladie et toute  langueur parmi le peuple » (Mt 4, 23). Nous pouvons nous demander : pourquoi cette attention particulière de Jésus à l’égard des malades, au point que celle-ci devient même l’œuvre principale dans le cadre de la mission des apôtres, envoyés par le Maître annoncer l’Évangile et guérir les malades ? (cf. Lc 9, 2).
Un penseur du XXème siècle nous suggère une raison : « La douleur isole d’une manière  absolue et c’est de cet isolement absolu que naît l’appel à l’autre, l’invocation à l’autre ».[2] Quand  une personne, dans sa propre chair, fait l’expérience de la fragilité et de la souffrance à cause de la maladie, son cœur devient lourd, la peur s’accroît, les interrogations se multiplient, la demande de  sens pour tout ce qui arrive devient plus urgente. Comment ne pas rappeler, à ce propos, les  nombreux malades qui, durant cette période de pandémie, ont vécu dans la solitude d’un service de  soins intensifs la dernière partie de leur existence, certes soignés par de généreux agents de santé,  mais éloignés de l’affection des êtres qui leur étaient les plus chers et des personnes les plus  importantes de leur vie terrestre ? D’où l’importance d’avoir auprès de soi des témoins de la charité de Dieu qui, à l’exemple de Jésus, miséricorde du Père, versent sur les plaies des malades l’huile de  la consolation et le vin de l’espérance.[3]

  1. Toucher la chair souffrante du Christ 

L’invitation de Jésus à être miséricordieux comme le Père acquiert une signification  particulière pour les personnels de santé. Je pense aux médecins, aux infirmiers, aux laborantins, à  ceux qui sont préposés à l’assistance et au soin des malades, de même qu’aux nombreux volontaires  qui donnent de leur précieux temps à ceux qui souffrent. Chers opérateurs de santé, votre service  auprès des malades, accompli avec amour et compétence, transcende les limites de la profession  pour devenir une mission. Vos mains qui touchent la chair souffrante du Christ peuvent être un  signe des mains miséricordieuses du Père. Soyez conscients de la grande dignité de votre profession, comme de la responsabilité qu’elle comporte.
Bénissons le Seigneur pour les progrès que la science médicale a accomplis surtout ces  derniers temps ; les nouvelles technologies ont permis d’établir des parcours thérapeutiques qui sont  d’un grand bénéfice pour les malades ; la recherche continue à apporter sa précieuse contribution  pour combattre d’anciennes et de nouvelles pathologies ; la médecine de rééducation a largement  développé ses connaissances et ses compétences. Mais tout cela ne doit jamais nous faire oublier la  singularité de chaque malade, avec sa dignité et ses fragilités. [4] Le malade est toujours plus  important que sa maladie et c’est pourquoi toute approche thérapeutique ne peut pas négliger  l’écoute du patient, son histoire, ses angoisses et ses peurs. Même lorsqu’il n’est pas possible de  guérir, il est toujours possible de soigner, il est toujours possible de consoler, il est toujours possible  de faire sentir une proximité qui manifeste de l’intérêt davantage pour la personne que pour sa  pathologie. C’est pourquoi je souhaite que les parcours de formation des personnels de santé soient  capables de rendre disponible à l’écoute et à la dimension relationnelle.

  1. Les lieux de soins, maisons de miséricorde 

La Journée Mondiale du Malade constitue aussi une occasion propice pour faire porter notre  attention sur les lieux de soins. Au cours des siècles, la miséricorde envers les malades a conduit la  communauté chrétienne à ouvrir d’innombrables “ auberges du bon Samaritain ”, où les malades de  tout genre pourraient être accueillis et soignés, surtout ceux qui ne trouvaient pas de réponse à leur  question de santé, à cause de leur indigence ou de l’exclusion sociale ou encore des difficultés de soigner certaines pathologies. Dans ces situations, ce sont les enfants, les personnes âgées et les  personnes les plus fragiles qui en font les frais. Miséricordieux comme le Père, de nombreux  missionnaires ont accompagné l’annonce de l’Évangile par la construction d’hôpitaux, de  dispensaires et de maison de soins. Ce sont des œuvres précieuses à travers lesquelles la charité chrétienne a pris forme, et l’amour du Christ dont ses disciples ont témoigné, est devenu plus  crédible. Je pense surtout aux populations des régions les plus pauvres de la planète, où il faut parfois parcourir de longues distances pour trouver des centres de soins qui, malgré leurs ressources  limitées, offrent ce qui est disponible. La route est encore longue et dans certains pays recevoir des soins appropriés demeure un luxe, comme l’atteste, par exemple, le peu de vaccins disponibles  contre le covid-19 dans les pays les plus pauvres ; mais encore plus le manque de soins pour des  pathologies qui nécessitent des médicaments bien plus simples.
Dans ce contexte, je désire réaffirmer l’importance des institutions catholiques de santé : elles sont un précieux trésor à soutenir et sur lequel veiller ; leur présence a caractérisé l’histoire de  l’Église en raison de leur proximité avec les malades les plus pauvres et les situations les plus oubliées.[5] Combien de fondateurs de familles religieuses ont su écouter le cri de frères et de sœurs  privés d’accès aux soins ou mal soignés et se sont prodigués à leur service ! Aujourd’hui encore,  même dans les pays les plus développés, leur présence constitue une bénédiction car elles peuvent  toujours offrir, en plus des soins du corps avec toute la compétence nécessaire, la charité pour  laquelle le malade et sa famille sont au centre de l’attention. À une époque où la culture du déchet  est si répandue et où la vie n’est pas toujours reconnue digne d’être accueillie et vécue, ces établissements, en tant que maisons de la miséricorde, peuvent être exemplaires pour soigner et  veiller sur chaque existence, même la plus fragile, de son commencement jusqu’à son terme naturel.

  1. La miséricorde pastorale : présence et proximité

Au long du cheminement de ces trente années, la pastorale de la santé a vu également son  indispensable service être toujours plus reconnu. Si la pire discrimination dont souffrent les pauvres  – et les malades sont les pauvres en santé – est le manque d’attention spirituelle, nous ne pouvons  pas manquer de leur offrir la proximité de Dieu, sa bénédiction, sa Parole, la célébration des  Sacrements et la proposition d’un chemin de croissance et de maturation dans la foi.[6] À ce propos,  je voudrais rappeler qu’être proche des malades et leur offrir un accompagnement pastoral n’est pas  seulement la tâche réservées à quelques ministres spécifiquement dévoués à cela. Visiter les  malades est une invitation que le Christ adresse à tous ses disciples. Combien de malades et de  personnes âgées vivent chez eux et attendent une visite ! Le ministère de la consolation est un  devoir de tout baptisé, en se souvenant de la parole de Jésus : « J’étais malade et vous m’avez  visité » (Mt 25, 36).

Chers frères et sœurs, à l’intercession de Marie, santé des malades, je confie tous les  malades et leurs familles. Unis au Christ, qui porte sur lui la douleur du monde, puissent-ils trouver  sens, consolation et confiance. Je prie pour tous les personnels de santé afin que, riches en  miséricorde, ils offrent aux patients, en plus des soins adaptés, leur proximité fraternelle.

À tous, je donne de tout cœur la Bénédiction apostolique.
Rome, Saint-Jean-de-Latran, 10 décembre 2021, mémoire de Notre Dame de Lorette. François

[1] Cf. S. Jean-Paul II, Lettre au Cardinal Fiorenzo Angelini, Président du Conseil Pontifical pour la Pastorale des  Services de la Santé, pour l’Institution de la Journée Mondiale du Malade (13 mai 1992).

[2] E. Lévinas, « Une éthique de la souffrance », in Souffrances. Corps et âme, épreuves partagées, sous la direction de  J.-M. von Kaenel, Autrement, Paris 1994, pp. 133-135.

[3] Cf. Missel Romain, Préface commune VIII, Jésus bon Samaritain.

[4] Cf. Discours “A la Fédération nationale des ordres des médecins chirurgiens et des odontologues italiens, 20  septembre 2019».

[5] Cf. Angélus à l’hôpital “ Gemelli ” de Rome, 11 juillet 2021.

[6] Cf. Exhort. ap. Evangelii gaudium (24 novembre 2013), 200.

Pape François, Angélus, Dimanche 23 janvier 2022, Source : https://www.vaticannews.va/

Notre Père

Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous  aujourd’hui  notre  pain  de  ce  jour.
Pardonne  nous  nos  offenses,  comme  nous  pardonnons  aussi  à  ceux qui nous ont offensé.
Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal.

Délivre-nous de tout mal, Seigneur. et donne la paix à notre temps: soutenus par ta miséricorde, nous serons libérés de tout péché, à l’abri de toute épreuve, nous qui attendons que se réalise cette bienheureuse espérance: l’avènement de Jésus Christ, notre Sauveur.

Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen !

Seigneur  Jésus-Christ,  tu  as  dit  à  tes  Apôtres  :  « Je  vous  laisse  la  paix,  je  vous  donne  ma  paix ». Ne  regarde  pas  nos  péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen !

Prière à Marie

Je vous salue, Marie, pleine de grâce(s) ;
Le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen

Prière à Joseph

Je te salue Joseph, toi que la grâce divine a comblée.
Le Sauveur a reposé dans tes bras et grandi sous tes yeux.
Tu es béni entre tous les hommes, et Jésus, l’Enfant divin de ta virginale épouse est béni.
Saint Joseph donné pour père au Fils de Dieu,
prie pour nous dans nos soucis de famille, de santé et de travail jusqu’à nos derniers jours
et daigne nous secourir à l’heure de notre mort.
Amen.

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