Bonjour les amis,
» Heureux qui craint le Seigneur et marche selon ses voies ! Tu te nourriras du travail de tes mains : Heureux es- tu ! À toi, le bonheur ! Ta femme sera dans ta maison comme une vigne généreuse, et tes fils, autour de la table, comme des plants d’olivier. Voilà comment sera béni l’homme qui craint le Seigneur. De Sion, que le Seigneur te bénisse ! Tu verras le bonheur de Jérusalem tous les jours de ta vie. » (Ps 127 (128))
Aujourd’hui, un scribe, un maître de la Loi demande à Jésus: « Quel est le premier de tous les commandements ? ». Nous connaissons tous la réponse de Jésus : l’amour de Dieu et du prochain. Nous savons bien que ce double commandement peut et doit être le fondement de toute notre vie chrétienne. Ces deux commandements sont inséparables et complémentaires, on ne peut pas aimer Dieu notre Père sans aimer notre prochain que Dieu a créé comme nous et qui est à côté de nous. Plus on est près de Dieu, plus on doit être proche de notre prochain. Et aimer Dieu, c’est vivre selon sa Parole, c’est reconnaître le sens de ses commandements et vivre en respectant notre prochain comme nous souhaitons, nous aussi, être respectés. D’où la conclusion du scribe : « (…) aimer son prochain comme soi-même vaut mieux que toute offrande d’holocaustes et de sacrifices. ». Cette remarque est la condition pour vivre notre foi dans une véritable charité et un respect de notre prochain.
« Tu n’es pas loin du royaume de Dieu. » La remarque finale de Jésus est toujours d’actualité même si le côté toujours plus et toujours plus vite de notre monde nous en éloigne un peu. Et nous, sommes-nous « loin du Royaume de Dieu » ? Nous sommes des citoyens du monde de Dieu mais dans un monde qui n’est plus vraiment celui de notre Père créateur.
Comme Jésus nous le dit aussi par ailleurs, Il est long le chemin, elle est étroite la porte et nous sommes peu nombreux à nous y engager et y demeurer. Il est si facile de nous laisser entraîner dans le tourbillon des cul-de-sac mortifères du monde, en oubliant souvent que Tu es l’unique chemin de Vérité et de Vie, alors bénissons le Seigneur et prions :
Seigneur, aide-nous d’abord à nous souvenir que Ta première exigence est de T’écouter. Écouter la beauté de Ton Amour, de Ta Parole; écouter pour nous laisser ajuster, transformer et pour pouvoir aimer du même amour dont nous sommes aimés. Nous avons tous de la valeur pour Toi, alors garde nous près de Toi et préserve-nous du faux pas.
Accorde-nous aussi la grâce de répondre à la question de la place que Tu occupes aujourd’hui dans le monde et dans notre vie. Aide-nous à remplir nos pensées, nos paroles et nos actes par ce double amour de Dieu et du prochain.
Pour finir, nous vous proposons cette méditation de Saint Augustin (354-430) tiré de l’Evangile au quotidien : « Mes bien-aimés, aimons-nous les uns les autres, puisque l’amour vient de Dieu, et tout homme qui aime est né de Dieu et connaît Dieu ; celui qui n’aime pas ne connaît pas Dieu, car Dieu est amour » (1Jn 4,7-8). Dans ce texte l’apôtre Jean, avec sa grande autorité, montre clairement que l’amour fraternel non seulement vient de Dieu, mais que cet amour fraternel, qui fait que nous nous aimons les uns les autres, c’est Dieu lui-même.
Par conséquent, en aimant notre frère d’un amour véritable, nous aimons notre frère selon Dieu, par Dieu. Et il n’est pas possible de ne pas aimer par-dessus tout cet amour lui-même grâce auquel nous aimons notre frère. D’où nous concluons que ces deux préceptes ne peuvent pas exister l’un sans l’autre. Puisqu’en effet « Dieu est amour », celui-là aime certainement Dieu qui aime l’amour ; or celui qui aime son frère aime nécessairement l’amour. Voilà pourquoi, un peu après, l’apôtre Jean dit : « Celui qui n’aime pas son frère qu’il voit, comment peut-il aimer Dieu qu’il ne voit pas ? » (1Jn 4,20) ; la raison qui l’empêche de voir Dieu, c’est qu’il n’aime pas son frère. Celui qui n’aime pas son frère n’est pas dans l’amour ; et celui qui n’est pas dans l’amour n’est pas en Dieu, car « Dieu est amour ».
Belle prière à tous,
Nathalie et Pascal
Sources d’inspiration : https://app.decouvrir-dieu.com/, https://www.regnumchristi.fr/, https://www.alsace.catholique.fr/vivre-ma-foi/
CHANT
Bénissez Dieu
Vous serviteurs de Dieu,
Vous tous qui demeurez
Dans la maison de Dieu.
Levez les mains
Vers le Dieu trois fois saint,
Proclamez qu’il est grand
Que son nom est puissant.
Oui, je le sais notre Seigneur est grand,
Tout ce qu’il veut, sa main peut l’accomplir,
Du fond des mers jusqu’au fond des abîmes,
Depuis la terre jusqu’au plus haut du ciel !
Bénissez Dieu,
Vous serviteurs de Dieu,
Vous tous qui demeurez
Dans la maison de Dieu.
Levez les mains
Vers le Dieu trois fois saint,
Proclamez qu’il est grand
Que son nom est puissant.
Reconnaissez que le Seigneur est bon !
Il est fidèle en tout ce qu’il a fait.
Je veux chanter la douceur de son nom,
Béni soit Dieu par toutes les nations !
Bénissez Dieu,
Vous serviteurs de Dieu,
Vous tous qui demeurez
Dans la maison de Dieu.
Levez les mains
Vers le Dieu trois fois saint,
Proclamez qu’il est grand
Que son nom est puissant.
PREMIERE LECTURE
« Daigne me faire miséricorde, ainsi qu’à elle, et nous mener ensemble à un âge avancé. » (Tb 6, 10-11 ; 7, 1.9-17 ; 8, 4-9a)
Lecture du Livre de Tobie
En ces jours-là,
quand Raphaël fut entré en Médie
et que déjà il approchait d’Ecbatane,
il dit au garçon :
« Tobie, mon frère »,
et celui-ci répondit :
« Qu’y a-t-il ? »
Raphaël reprit :
« Nous devons loger cette nuit chez Ragouël.
Cet homme est ton parent,
et il a une fille qui s’appelle Sarra. »
Entré à Ecbatane, Tobie dit à Raphaël :
« Azarias, mon frère,
conduis-moi tout droit chez notre frère Ragouël. »
Raphaël le conduisit donc chez Ragouël.
Ils le trouvèrent assis à l’entrée de la cour
et le saluèrent les premiers.
Il leur répondit :
« Grande joie à vous, frères, soyez les bienvenus ! »,
et il les fit entrer dans sa maison.
Tobie et Raphaël prirent un bain,
ils se lavèrent, avant de prendre place pour le repas.
Puis, Tobie dit à Raphaël :
« Azarias, mon frère,
demande à Ragouël de me donner en mariage Sarra ma parente. »
Ragouël entendit ces mots et dit au jeune Tobie :
« Cette nuit, mange, bois, prends du bon temps :
toi seul as le droit d’épouser ma fille Sarra,
et moi-même je n’ai pas le pouvoir de la donner à un autre homme,
puisque tu es mon plus proche parent.
Pourtant, je dois te dire la vérité, mon enfant :
je l’ai donnée en mariage à sept de nos frères,
et ils sont morts la nuit même,
au moment où ils allaient s’approcher d’elle.
Mais à présent, mon enfant, mange et bois :
le Seigneur interviendra en votre faveur. »
Tobie répliqua :
« Je ne mangerai ni ne boirai rien,
tant que tu n’auras pas pris de décision à mon sujet. »
Ragouël lui dit :
« Soit ! elle t’est donnée en mariage
selon le décret du Livre de Moïse ;
c’est un jugement du ciel qui te l’a accordée.
Emmène donc ta sœur.
Car, dès à présent, tu es son frère et elle est ta sœur.
À partir d’aujourd’hui elle t’est donnée pour toujours.
Que le Seigneur du ciel veille sur vous cette nuit, mon enfant,
et vous comble de sa miséricorde et de sa paix ! »
Ragouël appela Sarra, qui vint vers lui.
Il prit la main de sa fille et la confia à Tobie, en disant :
« Emmène-la :
conformément à la Loi et au décret consigné dans le Livre de Moïse,
elle t’est donnée pour femme.
Prends-la et conduis-la en bonne santé chez ton père.
Et que le Dieu du ciel vous guide dans la paix ! »
Puis il appela sa femme et lui dit d’apporter une feuille
sur laquelle il écrivit l’acte de mariage,
selon lequel il donnait Sarra à Tobie
conformément au décret de la loi de Moïse.
Après quoi, on commença à manger et à boire.
Ragouël s’adressa à sa femme Edna :
« Va préparer la seconde chambre, ma sœur,
et tu y conduiras notre fille. »
Elle s’en alla préparer le lit dans la chambre,
comme Ragouël l’avait demandé,
y conduisit sa fille et pleura sur elle.
Puis, elle essuya ses larmes et lui dit :
« Confiance, ma fille !
Que le Seigneur du ciel change ta douleur en joie !
Confiance, ma fille ! »
Puis elle se retira.
Quand les parents de Sarra eurent quitté la chambre et fermé la porte,
Tobie sortit du lit et dit à Sarra :
« Lève-toi, ma sœur.
Prions, et demandons à notre Seigneur
de nous combler de sa miséricorde et de son salut. »
Elle se leva, et ils se mirent à prier
et à demander que leur soit accordé le salut.
Tobie commença ainsi :
« Béni sois-tu, Dieu de nos pères ;
béni soit ton nom
dans toutes les générations, à jamais.
Que les cieux te bénissent
et toute ta création dans tous les siècles.
C’est toi qui as fait Adam ;
tu lui as fait une aide et un appui : Ève, sa femme.
Et de tous deux est né le genre humain.
C’est toi qui as dit :
“Il n’est pas bon que l’homme soit seul.
Je vais lui faire une aide qui lui soit semblable.”
Aussi, ce n’est pas pour une union illégitime
que je prends ma sœur que voici,
mais dans la vérité de la Loi.
Daigne me faire miséricorde, ainsi qu’à elle,
et nous mener ensemble à un âge avancé. »
Puis ils dirent d’une seule voix :
« Amen ! Amen ! »
Et ils se couchèrent pour la nuit.
– Parole du Seigneur.
EVANGILE
« Il n’y a pas de commandement plus grand que ceux-là » (Mc 12, 28b-34)
Évangile de Jésus Christ selon Saint Marc
En ce temps-là,
un scribe s’avança pour demander à Jésus :
« Quel est le premier de tous les commandements ? »
Jésus lui fit cette réponse :
« Voici le premier :
Écoute, Israël :
le Seigneur notre Dieu est l’unique Seigneur.
Tu aimeras le Seigneur ton Dieu
de tout ton cœur, de toute ton âme,
de tout ton esprit et de toute ta force.
Et voici le second :
Tu aimeras ton prochain comme toi-même.
Il n’y a pas de commandement plus grand que ceux-là. »
Le scribe reprit :
« Fort bien, Maître,
tu as dit vrai :
Dieu est l’Unique
et il n’y en a pas d’autre que lui.
L’aimer de tout son cœur,
de toute son intelligence, de toute sa force,
et aimer son prochain comme soi-même,
vaut mieux que toute offrande d’holocaustes et de sacrifices. »
Jésus, voyant qu’il avait fait une remarque judicieuse, lui dit :
« Tu n’es pas loin du royaume de Dieu. »
Et personne n’osait plus l’interroger.
– Acclamons la Parole de Dieu : Louange à toi, Seigneur Jésus !
Méditation de Père Nicolas de Boccard (RCF)
«Quoi de neuf dans l’Évangile ? » peut se dire le lecteur blasé ou empressé. Il est vrai qu’aimer le Seigneur de tout son cœur, de toute son âme et de tout son esprit est déjà demandé dans le livre du Deutéronome. Il est vrai qu’aimer le prochain comme soi-même figure dans le livre du Lévitique. La première Alliance, scellée par la Loi et les prophètes, n’a pas attendu Jésus de Nazareth, elle liait déjà très fortement ces deux commandements. Mais elle ne liait pas forcément les deux entre eux. Le culte à Dieu séparait les hommes entre les croyants et les incroyants. Souvent les observateurs du christianisme, s’exprimant à son sujet, se contentent de dire : « C’est la religion de l’amour ! » Tandis que d’autres ne voient pas en quoi le christianisme aurait le monopole de cet amour.
Quelques exégètes font l’effort de commenter le fait que Jésus déclare « semblables » les deux commandements tirés de livres bibliques différents. En résumé, dans la Loi comme chez les Prophètes, la grande leçon c’était « si vous voulez être les fils du Dieu qui vous a libérés, soyez des libérateurs à votre tour ». Ce qui veut dire que l’expression « tu aimeras » engage une conduite concrète, beaucoup plus qu’un sentiment. Ces spéculations ne sont pas sans intérêt mais ne vont pas au cœur de ce que Dieu nous signifie. La nouveauté, en effet, n’est pas tant ce que Jésus énonce mais le fait que ce soit Lui qui l’énonce ! Il est Celui qui accomplit en totalité et en vérité ce qu’il prêche. Sa prédication n’est pas uniquement l’art oratoire joignant les commandements. Sa prédication est l’Amour réalisé en Lui et par Lui, nous appelant à la vie. Tout en Jésus est Amour de Dieu et amour de l’homme. Venu du Père et allant au Père, il aime l’homme à l’extrême.
Le génie du christianisme est d’être à la fois transcendant et incarné. Il est chemin vers le Père qui passe par les hommes. A l’image des bras de la Croix, une orientation vers le ciel – verticale ; une autres vers la terre et nos frères – horizontale. Les deux dimensions sont liées en Jésus. Jésus ne se contente pas de nous exhorter à tisser deux commandements en un. Il les unifie en l’intégralité de ses actes et de ses paroles. Il y a un réalisme très fort dans le christianisme, qui nous lie au Père et les uns aux autres. Enfants du même Père, nous ne pouvons qu’être frères – le lien entre les deux passent par le Christ. Il n’y a que Jésus pour offrir, en Son corps crucifié et ressuscité, l’horizontalité d’un amour d’humanité et la verticalité d’un amour de transcendance. Le bois de Sa croix est arbre de Vie.
Homélie du Père Maximin Noudehou
« Confiance, ma fille ! Que le Seigneur du ciel change ta douleur en joie ! Confiance, ma fille ! »
Confiant en la parole de son compagnon, (Tobie 6, 16-18) Tobie a demandé et obtenu la main de Sarra. Le mariage est célébrée selon la Loi. Mais les parents ne étaient pas rassurés. En effet, Edna, la mère de Sarra « s’en alla préparer le lit dans la chambre, comme Ragouël l’avait demandé, y conduisit sa fille et pleura sur elle. Puis, elle essuya ses larmes et lui dit : « Confiance, ma fille ! Que le Seigneur du ciel change ta douleur en joie ! Confiance, ma fille ! » Puis elle se retira. » Cette exhortation d’Edna exprimait tout l’amour qu’elle avait pour sa fille. Bénissons le Seigneur pour toutes ces mères qui sont un appui pour leurs enfants. Bénissons-Le pour toutes ces mères qui sont préoccupées par le bonheur de leurs enfants. Supplions-Le pour toutes ces mères qui en souffrent et aussi pour tant d’enfants qui ne jouissent pas de ce soutien, tous ces enfants qui cherchent en vain une épaule maternelle pour pleurer leur chagrin…
Cette exhortation d’Edna témoigne également d’une certaine confiance en Dieu. Cette confiance transparaît dans la prière de ces nouveaux époux dans la chambre nuptiale. Dans cette prière Tobie atteste que le mariage est une grâce divine et que le mariage, expression de l’amour, ne peut être entretenu et fécondé que par Dieu.
Nous avons à redécouvrir cette confiance en Dieu et ce fondement premier du mariage. Dieu est en mesure de faire toutes choses nouvelles.
En Dieu, tout amour est vie.
Pourquoi es-tu marié(e) ou veux-tu te marier ?
Paroles du Pape François
C’est pourquoi Jésus dit: « Le plus grand amour est celui-ci : aimer Dieu de toute sa vie, de tout son cœur, de toute sa force, et son prochain comme soi-même ». Parce que c’est le seul commandement à la hauteur de la gratuité du salut de Dieu. Et Jésus ajoute : » Dans ce commandement se trouvent tous les autres (…) ». Mais la source est l’amour, l’horizon est l’amour. Si vous avez fermé la porte et emporté la clé de l’amour, vous ne serez pas à la hauteur de la gratuité du salut que vous avez reçu.
Pape François, Homélie sainte Marthe, 15 octobre 2015, Source : https://www.vaticannews.va/
Notre Père
Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour. Pardonne nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensé. Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal. Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Par ta miséricorde, libère-nous du péché, rassure-nous devant les épreuves en cette vie où nous espérons le bonheur que tu promets et l’avènement de Jésus le Christ, notre Sauveur. Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen ! Seigneur Jésus-Christ, tu as dit à tes Apôtres : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix ». Ne regarde pas nos péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen ! |
Prière à Marie
Je vous salue Marie pleine de grâce, le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, Maintenant et à l’heure de notre mort. |

Prière à Joseph
Toi que la grâce divine a comblée.
Le Seigneur a reposé dans tes bras,
Le Sauveur a grandi sous tes yeux.
Je te salue Joseph,
Entre tous les hommes Tu es béni,
Jésus, l’Enfant divin de Marie,
ta virginale épouse, est béni.
Saint Joseph donné pour père au Fils de Dieu,
Saint Joseph ô prie pour nous
dans nos soucis de la vie,
pour nos famille, notre santé, notre travail.
Saint Joseph, prie pour nous
Jusquà nos derniers jours
Saint Joseph, prie pour nous
à l’heure de notre mort.
Amen, amen, amen
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