Jésus, compagnon de route de notre quotidien

Bonjour les amis,

Christ est ressuscité ! Il est vraiment ressuscité ! Alléluia !

« Tu me scrutes, Seigneur, et tu sais ! Tu sais quand je m’assois, quand je me lève ; de très loin, tu pénètres mes pensées. Que je marche ou me repose, tu le vois, tous mes chemins te sont familiers. Avant qu’un mot ne parvienne à mes lèvres, déjà, Seigneur, tu le sais. Tu me devances et me poursuis, tu m’enserres, tu as mis la main sur moi. Savoir prodigieux qui me dépasse, hauteur que je ne puis atteindre ! Où donc aller, loin de ton souffle ? Où m’enfuir, loin de ta face ? Je gravis les cieux : tu es là ; je descends chez les morts : te voici. Je prends les ailes de l’aurore et me pose au-delà des mers : même là, ta main me conduit, ta main droite me saisit. J’avais dit : ‘’Les ténèbres m’écrasent !’’ mais la nuit devient lumière autour de moi. Même la ténèbre pour toi n’est pas ténèbre, et la nuit comme le jour est lumière ! » (Ps 138)

« Rendez grâce au Seigneur, proclamez son nom, annoncez parmi les peuples ses hauts faits ; chantez et jouez pour lui, redites sans fin ses merveilles. Glorifiez-vous de son nom très saint : joie pour les cœurs qui cherchent Dieu ! Cherchez le Seigneur et sa puissance, recherchez sans trêve sa face. » (Ps 104(105))

Seigneur, donne-nous la grâce de trouver dans notre vie Ta Sainte Présence.

Quel texte inspirant nous est proposé encore ce matin avec l’Evangile et les pèlerins d’Emmaüs. Nous avons déjà vu il y a quelques mois que le chemin des deux amis nous est aussi proposé chaque dimanche par l’Eucharistie.
Et puis ce texte nous touche car Cléophas et son compagnon nous ressemblent tellement.
Au début de cette scène, les deux compères n’ont pas encore su accueillir la joie de la nouvelle de la résurrection du Christ alors qu’ils quittent Jérusalem vers d’Emmaüs. Pourtant ils ont entendu le témoignage des femmes, mais cela n’a pas été suffisant pour qu’ils étaient été convaincus, et qu’ils se soient laissés envahir par la joie de la vie renouvelée. Mais malgré leur tristesse, ils acceptent de se laisser rejoindre, de cheminer et de dialoguer avec cet étranger qui apparait sur leur chemin. Ils auraient pu l’ignorer, ne pas répondre à ses questions, ils auraient aussi pu le laisser continuer son chemin en arrivant à Emmaüs, mais à cette fermeture, ils ont préféré garder cette ouverture qui leur a permis de parcourir ce chemin intérieur : leur cœur brûlant s’est laissé embraser par la présence de Jésus et la vie et la joie ont rejailli en eux.
Et nous dont le chemin de foi est un pèlerinage de chaque jour, avons-nous cette conviction que Jésus est présent avec nous, dans notre travail, nos tâches quotidiennes, dans nos rencontres ?
Aujourd’hui saurons-nous reconnaître cette présence et l’accueillir ? Accepterons-nous de nous laisser transformer pleinement de l’Amour de Dieu, pour être des témoins, à notre tour, de la résurrection ?

Nous vous proposons aussi cette belle méditation de Anselm Grün, O.S.B. qui nous est proposée aujourd’hui dans le Magnificat :
« Voici deux disciples qui se dirigent vers Emmaüs, tristes, désabusés, qui se sentent trompés dans leur espérance. Le Ressuscité se joint à eux sans qu’ils le reconnaissent. Tout en marchant avec eux, il leur interprète les Écritures et peu à peu, ils comprennent. Lorsque leur compagnon rompt le pain, leurs yeux s’ouvrent et ils le reconnaissent : c’est le Seigneur… Nous ne sommes pas seuls sur notre route. Le Christ lui-même nous accompagne. Et c’est pour cela que nous pouvons comprendre où nous allons. Le récit d’Emmaüs est devenu pour nombre de personnes le symbole de leur vie. Dans de nombreuses régions, il était d’usage, le Samedi saint, de faire un « chemin d’Emmaüs ». Si ce genre de coutume a pu voir le jour, c’est parce que l’on peut se retrouver soi-même dans cette histoire et qu’on entend trouver, en faisant cette marche, lumière et guérison pour sa propre vie. Le chemin d’Emmaüs, c’est l’application pratique de la Bonne Nouvelle : le Ressuscité nous accompagne sur les routes de notre quotidien, sur tous nos chemins. » Anselm Grün, o.s.b.

Enfin, nous vous proposons cette prière personnelle pour accompagner votre journée :
Seigneur, merci pour le don de Ta présence quotidienne et de Ton accompagnement permanent dans ma vie, dans tous les aspects, tous les événements de ma vie.
Sans Toi, sans Ton amour, sans Ton Esprit, je serais seul et perdu et je n’arriverais pas à comprendre ce qui m’arrive de bien ou même de moins bien.
Ton Amour et Ta Parole m’aident à voir le vrai sens des évènements dans mon quotidien, en particulier les difficultés et les croix qu’il m’est donné de vivre.
Ton Eucharistie m’offre le doux réconfort de Ta présence auprès de moi et en moi.
Viens m’accompagner et me parler chaque matin dans ma prière pour que je puisse encore mieux Te connaître et Te comprendre, et mieux comprendre aussi ce que Tu veux pour moi, et ce que Tu attends de moi.

Belle prière à tous,
Nathalie et Pascal

Sources d’inspiration : https://www.regnumchristi.fr/ et https://app.decouvrir-dieu.com/

CHANT

Christ est la Lumière

Quittant la gloire de ton ciel tu es venu sur Terre
Fils aimé du Dieu éternel tes bras tu as ouvert
Ta grace a bouleversé le cours de notre humanité
Nous crions ensemble: victoire

Christ est la lumière du monde
Que sa gloire couvre la terre
Puissance infinie qui libère
Son nom est saint, il est saint, il est saint

Nous les fils et les filles du roi entonnont chaque jour
Un hymne de gloire et de joie célébrant son amour
Les nations de la terre s’inclineront devant le père
Chanteront ensemble: victoire

Christ est la lumière du monde
Que sa gloire couvre la terre
Puissance infinie qui libère
Son nom est saint, il est saint, il est saint

Christ est la lumière du monde
Que sa gloire couvre la terre
Puissance infinie qui libère
Son nom est saint, il est saint, il est saint

Christ est la lumière du monde
Que sa gloire couvre la terre
Puissance infinie qui libère
Son nom est saint, il est saint, Christ est saint
Christ est saint

PREMIERE LECTURE

« Ce que j’ai, je te le donne : au nom de Jésus, lève-toi et marche » (Ac 3, 1-10)

Lecture du Livre des Actes des Apôtres

En ces jours-là,
Pierre et Jean montaient au Temple
pour la prière de l’après-midi, à la neuvième heure.
On y amenait alors un homme, infirme de naissance,
que l’on installait chaque jour à la porte du Temple,
appelée la « Belle-Porte »,
pour qu’il demande l’aumône à ceux qui entraient.
Voyant Pierre et Jean qui allaient entrer dans le Temple,
il leur demanda l’aumône.
Alors Pierre, ainsi que Jean, fixa les yeux sur lui,
et il dit :
« Regarde-nous ! »
L’homme les observait,
s’attendant à recevoir quelque chose de leur part.
Pierre déclara :
« De l’argent et de l’or, je n’en ai pas ;
mais ce que j’ai, je te le donne :
au nom de Jésus Christ le Nazaréen,
lève-toi et marche. »
Alors, le prenant par la main droite,
il le releva
et, à l’instant même,
ses pieds et ses chevilles s’affermirent.
D’un bond, il fut debout
et il marchait.
Entrant avec eux dans le Temple,
il marchait, bondissait, et louait Dieu.
Et tout le peuple le vit marcher et louer Dieu.
On le reconnaissait :
c’est bien lui qui était assis à la « Belle-Porte » du Temple
pour demander l’aumône.
Et les gens étaient frappés de stupeur et désorientés
devant ce qui lui était arrivé.
– Parole du Seigneur.

EVANGILE

Il se fit reconnaître par eux à la fraction du pain (Lc 24, 13-35)

Évangile de Jésus Christ selon Saint Luc

Le même jour (c’est-à-dire le premier jour de la semaine),
deux disciples faisaient route
vers un village appelé Emmaüs,
à deux heures de marche de Jérusalem,
et ils parlaient entre eux de tout ce qui s’était passé.
Or, tandis qu’ils s’entretenaient et s’interrogeaient,
Jésus lui-même s’approcha,
et il marchait avec eux.
Mais leurs yeux étaient empêchés de le reconnaître.
Jésus leur dit :
« De quoi discutez-vous en marchant ? »
Alors, ils s’arrêtèrent, tout tristes.
L’un des deux, nommé Cléophas, lui répondit :
« Tu es bien le seul étranger résidant à Jérusalem
qui ignore les événements de ces jours-ci. »
Il leur dit :
« Quels événements ? »
Ils lui répondirent :
« Ce qui est arrivé à Jésus de Nazareth,
cet homme qui était un prophète
puissant par ses actes et ses paroles
devant Dieu et devant tout le peuple :
comment les grands prêtres et nos chefs l’ont livré,
ils l’ont fait condamner à mort et ils l’ont crucifié.
Nous, nous espérions que c’était lui qui allait délivrer Israël.
Mais avec tout cela,
voici déjà le troisième jour qui passe depuis que c’est arrivé.
À vrai dire, des femmes de notre groupe
nous ont remplis de stupeur.
Quand, dès l’aurore, elles sont allées au tombeau,
elles n’ont pas trouvé son corps ;
elles sont venues nous dire
qu’elles avaient même eu une vision :
des anges, qui disaient qu’il est vivant.
Quelques-uns de nos compagnons sont allés au tombeau,
et ils ont trouvé les choses comme les femmes l’avaient dit ;
mais lui, ils ne l’ont pas vu. »
Il leur dit alors :
« Esprits sans intelligence !
Comme votre cœur est lent à croire
tout ce que les prophètes ont dit !
Ne fallait-il pas que le Christ
souffrît cela pour entrer dans sa gloire ? »
Et, partant de Moïse et de tous les Prophètes,
il leur interpréta, dans toute l’Écriture,
ce qui le concernait.
Quand ils approchèrent du village où ils se rendaient,
Jésus fit semblant d’aller plus loin.
Mais ils s’efforcèrent de le retenir :
« Reste avec nous,
car le soir approche et déjà le jour baisse. »
Il entra donc pour rester avec eux.
Quand il fut à table avec eux,
ayant pris le pain,
il prononça la bénédiction
et, l’ayant rompu, il le leur donna.
Alors leurs yeux s’ouvrirent, et ils le reconnurent,
mais il disparut à leurs regards.
Ils se dirent l’un à l’autre :
« Notre cœur n’était-il pas brûlant en nous,
tandis qu’il nous parlait sur la route
et nous ouvrait les Écritures ? »
À l’instant même, ils se levèrent et retournèrent à Jérusalem.
Ils y trouvèrent réunis les onze Apôtres et leurs compagnons,
qui leur dirent :
« Le Seigneur est réellement ressuscité :
il est apparu à Simon-Pierre. »
À leur tour, ils racontaient ce qui s’était passé sur la route,
et comment le Seigneur s’était fait reconnaître par eux
à la fraction du pain.

– Acclamons la Parole de Dieu : Louange à toi, Seigneur Jésus !

Méditation du Pasteur J.P. Sternberger (RCF)

Ton cœur, Cléophas, était-il si lent à croire ce qu’ont dit les prophètes ? N’avais-tu pas compris que le Christ devait souffrir de la sorte pour entrer dans sa gloire ?
Vous avez eu la chance avec ton compagnon d’avoir été rejoints par le ressuscité, de pouvoir passer plusieurs heures avec lui, et qu’il vous interroge, et qu’il vous instruise, qu’il reprenne avec vous les Écritures, qu’il y souligne tous les passages le concernant. Vous avez eu la chance qu’il s’arrête à Emmaüs, et qu’avec vous, il rompe le pain. Et vous ne le saviez pas.
Mais depuis Moïse et le prophète Élie, nous le savons, c’est après coup qu’on reconnaît que Dieu a traversé une vie d’homme. Personne ne peut le voir en face, seulement quand il est passé. Et c’est alors que l’on dit, “notre cœur ne brulait-il au dedans de nous quand il ouvrait pour nous les Écritures ?”
Ce cœur, Cléophas, si lent à croire ce qu’ont dit les prophètes, ce jour-là, ce cœur, il brulait comme un buisson dans le désert.
Je suis Cléophas : dans les évangiles, j’ai moi aussi reçu lu le témoignage des femmes..
Je suis Cléophas et je chemine avec le Christ au fil des Écritures.
Cléophas, c’est aussi chacun d’entre nous chaque fois, que, sœurs et frères réunis, nous partageons le pain et le vin de la Cène.
Et toi, Seigneur ressuscité, tu es inlassablement celui qui nous rejoint sur ces routes quotidiennes et fraternelles.
Amen

Homélie du Père Maximin Noudehou

« En ces jours-là, Pierre et Jean montaient au Temple pour la prière de l’après-midi, à la neuvième heure. On y amenait alors un homme, infirme de naissance, que l’on installait chaque jour à la porte du Temple, appelée la « Belle-Porte », pour qu’il demande l’aumône à ceux qui entraient. »
Pierre et Jean, avant d’entrer dans le Temple de Jérusalem, croisent un infirme de naissance « que l’on installait chaque jour à la porte du Temple, appelée la « Belle-Porte », pour qu’il demande l’aumône à ceux qui entraient. » Il est l’image de l’humanité que le péché a rendu infirme, à qui le jardin d’Eden a été interdit et qui est réduit à la mendicité… Il symbolise cette humanité infirme, prostrée, dépendante et incapable d’entrer dans la Demeure de Dieu, c’est-à-dire dans une relation de communion intime et épanouissante avec Dieu. Il représente tous ceux et celles, qui, accablés de maux et de souffrances, en sont venus à avoir également le cœur, l’esprit et l’âme, bref une vie spirituelle infirme. Transportés jusqu’au seuil de la grâce de Dieu, ils ne s’imaginent nullement qu’ils peuvent y entrer ! Installés à la « Belle-Porte », ils sont tournés vers les créatures plutôt que vers le Créateur, vers les ombres plutôt que vers la Lumière ; continuant à traîner leur existence de mort, ils mendient leur survie à la neuvième heure, à l’heure sainte, à l’heure même à laquelle, pour notre Salut, le Maître de la vie mourut. (Matthieu 27, 46).
Cet infirme, c’est Israël et tant d’êtres humains, qui ne comprennent pas que Jésus est le Messie et que sa mort est source de Vie. Cet infirme, c’est chacun de nous, toutes les fois où nous pensons que Dieu se désintéresse de notre misère, toutes les fois où nous ne savons pas où se trouve notre véritable bien, toutes les fois où nous ne savons que demander, toutes les fois où notre foi manque d’audace. Nous sommes installés si près de Dieu, si près de la Vie, mais si préoccupés à entretenir notre mort.
Le Temple, c’est le Cœur de Dieu.
Que fais-tu à la Belle-Porte ?

« Pierre déclara : « De l’argent et de l’or, je n’en ai pas ; mais ce que j’ai, je te le donne : au nom de Jésus Christ le Nazaréen, lève-toi et marche. » Alors, le prenant par la main droite, il le releva et, à l’instant même, ses pieds et ses chevilles s’affermirent. D’un bond, il fut debout et il marchait. Entrant avec eux dans le Temple, il marchait, bondissait, et louait Dieu. Et tout le peuple le vit marcher et louer Dieu. »
Pierre et Jean sont sensibles à la demande de cet infirme de naissance. Celui, qui demande, les préoccupe plus que ce qu’il demande. C’est l’instant où le paradigme a changé. À travers Pierre et Jean, c’est le Seigneur qui vient à la rencontre de l’Humanité, qui pose son regard sur elle, qui se laisse contempler pour éveiller en elle un désir plus ardent et plus grand… Dieu fait comprendre à sa créature qu’Il veut le meilleur pour elle. Il lui tend la main pour le mettre debout, libérée de ses nombreuses infirmités et, plus particulièrement, de l’esclavage du Péché et de la Mort. Il est venu pour que nos jambes que nous portons, désormais, nous portent, que ce qui était notre infirmité devienne notre force. Il est venu pour que nous ne soyons plus installés mais que nous puissions bondir. (Cf. 1 Samuel 2, 1-10 ; Psaume 113 ; Luc 1, 47) Il est venu pour que nos lèvres qui mendient chantent sa louange avec reconnaissance. Il est venu pour qu’avec Lui, nous passions la Belle-Porte pour entrer dans la « Belle-Vie ».
À l’exemple de Pierre et Jean, en ce monde paralysé par le matériel, nous avons mieux à offrir que l’argent et l’or. Nous sommes invités à témoigner de la puissance du Nom de Jésus de Nazareth à travers notre regard, nos paroles et nos actes. Nous sommes appelés à être des canaux de la vie de Dieu et des témoins du Ressuscité.
Les yeux levés vers toi, tous, ils espèrent.
Aujourd’hui, que vas-tu offrir au monde ?

Seigneur, je porte ton Nom. Que ma vie Te donne à tous.

Paroles du Pape François

Tu parles avec Jésus? Dis-tu à Jésus: « Je crois que tu vis, que tu es ressuscité, que tu es proche de moi, que tu ne m’abandonnes pas »? La vie chrétienne doit être cela : un dialogue avec Jésus, parce que – c’est vrai – Jésus est toujours avec nous, il est toujours avec nos problèmes, avec nos difficultés, avec nos bonnes œuvres.

Pape François, Homélie à Sainte-Marthe du 24 avril 2014, Source : https://www.vaticannews.va/

Notre Père

Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous  aujourd’hui  notre  pain  de  ce  jour.
Pardonne  nous  nos  offenses,  comme  nous  pardonnons  aussi  à  ceux qui nous ont offensé.
Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal.

Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Par ta miséricorde, libère-nous du péché, rassure-nous devant  les  épreuves  en  cette  vie  où  nous  espérons  le  bonheur  que  tu  promets  et  l’avènement  de  Jésus  le Christ,  notre  Sauveur.

Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen !

Seigneur  Jésus-Christ,  tu  as  dit  à  tes  Apôtres  :  « Je  vous  laisse  la  paix,  je  vous  donne  ma  paix ». Ne  regarde  pas  nos  péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen !

Prière à Marie





Je vous salue Marie pleine de grâce, le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.

Prière à Joseph

Je te salue Joseph,
Toi que la grâce divine a comblée.
Le Seigneur a reposé dans tes bras,
Le Sauveur a grandi sous tes yeux.

Je te salue Joseph,
Entre tous les hommes Tu es béni,
Jésus, l’Enfant divin de Marie,
ta virginale épouse, est béni.

Saint Joseph donné pour père au Fils de Dieu,
Saint Joseph ô prie pour nous
dans nos soucis de la vie,
pour nos famille, notre santé, notre travail.

Saint Joseph, prie pour nous
Jusquà nos derniers jours
Saint Joseph, prie pour nous
à l’heure de notre mort.
Amen, amen, amen

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