Bonjour les amis,
Seigneur Jésus, nous venons à toi le cœur ouvert avec le désir de te consacrer ce moment de notre journée. Aujourd’hui, nous nous mettons à la place du malade de l’Évangile. Comme lui, certaines situations nous bloquent, nous paralysent, nous découragent ; comme lui, parfois, nous sentons notre foi et notre espérance défaillir ; comme lui, nous avons besoin de guérison.
Seigneur, que Ton regard se pose sur nous et que Ta grâce nous permette de nous relever.
» Dieu est pour nous refuge et force, secours dans la détresse, toujours offert. Nous serons sans crainte si la terre est secouée, si les montagnes s’effondrent au creux de la mer. Le Fleuve, ses bras réjouissent la ville de Dieu, la plus sainte des demeures du Très-Haut. Dieu s’y tient : elle est inébranlable ; quand renaît le matin, Dieu la secourt. Il est avec nous, le Seigneur de l’univers ; citadelle pour nous, le Dieu de Jacob ! Venez et voyez les actes du Seigneur, il détruit la guerre jusqu’au bout du monde. » (Ps 45 (46), 2-3, 5-6, 8-9a.10a)
Ce malade depuis 38 ans me touche énormément tant il est facile pour moi de s’identifier à lui. On ne sait pas de que quoi il est malade, mais ce n’est pas important. Au-delà de la guérison physique, Jésus opère en lui une délivrance intérieure, une véritable conversion. Cet homme ne demande rien à Jésus, il est probablement enfermé dans son handicap, il a renoncé et est devenu spectateur de sa vie. Il est aussi très seul, abandonné, personne pour l’aider, probablement rejeté socialement. Ses souffrances sont variées, physique, morale et spirituelle. Au milieu de tous ceux qui accourent vers Lui, Jésus voit ce désespéré, lui parle et le guérit. Jésus nous montre qu’il et toujours sensible à nos enfermements, nos renoncements. Il montre de la compassion et lui demande s’il n’est pas découragé, s’il ne se dévalorise pas en restant allongé là. Il lui dit qu’il est probablement trop centré sur lui et ses soucis. Jésus est un peu provocateur avec cet homme. « Veux-tu être guéri ? » Une question fondamentale qui vient bousculer notre manière de vivre ou de survivre, en fermant les yeux sur la réalité, en laissant nos angoisses nous paralyser. Tout se bloque en nous et tout déplacement, tout décentrement devient très compliqué, voire impossible.
La question de Jésus oblige l’homme à parler de lui, et là encore sa réponse peut résonner en nous. Si je ne vais pas bien, c’est la faute des autres, personne ne fait attention à moi, personne ne se préoccupe de moi. Quand on ne voit pas d’issue, Il est tellement facile de se déresponsabiliser de nos souffrances. Un renoncement qui peut être spirituel, relationnel ou émotionnel, une démission de notre propre vie.
La dévalorisation de soi nous enferme. Les autres vont plus vite que moi à la piscine, les autres sont meilleurs que moi…je suis nul…à quoi bon se battre… je n’y arriverai pas. Bien sûr, il y a toujours plus fort, plus grand, plus beau…que moi. Mais à quoi sert de se comparer ? Mon frère est-il un concurrent ou une bénédiction ? Est-ce que je dois le jalouser ou me réjouir de ses talents, de ses succès ?
Jésus écoute sans rien dire. Puis, au lieu de s’apitoyer, il agit et le guérit au-delà de tout calcul. Il lui dit : « Lève-toi » en ranimant en lui la foi, l’espérance et le désir de la guérison. « Prends ton brancard » pour le mettre en relation avec la maladie, la paralysie, le péché qui le clouaient à terre … Il ne faut pas oublier le passé mais l’assumer et en témoigner, ne plus se laisser paralyser par nos fragilités et nos faiblesses mais trouver la force de les porter, de les supporter, de se souvenir aussi de notre faiblesse lorsque nous ne comptons que sur nos propres forces. Et enfin, « marche ! », c’est-à-dire reprends la route, redeviens acteur de ta vie. Toute notre vie est un pèlerinage à la rencontre de Dieu et des autres. La gloire de Dieu, c’est l’homme vivant, debout, actif, non celui qui git, accablé de souffrance, passif.
Ce texte que je viens d’écrire résonne intensément en moi, car j’ai vécu cette situation, j’ai souffert, j’ai renoncé, j’ai mis la responsabilité sur les autres, je me suis enfermé, senti paralysé… et Jésus est venu me relever. Je souhaite de tout mon cœur que tous les paralysés physiques, moraux, spirituels entendent cet ordre de Jésus : « Lève-toi, prends ton brancard, et marche. ». N’aie plus honte, relève toi, crois en toi, aie confiance en Jésus pour t’aider, et avance.
Seigneur Jésus, nous attendons de Toi la guérison car Toi seul est notre salut.
Tu viens à nous et que tu nous donnes l’ordre de commencer une nouvelle vie.
Que Ta Parole nous donne la puissance de vaincre nos peurs de vivre, nos peurs de nous mettre au travail, nos peurs d’affronter l’inconnu et les difficultés.
Aide-nous à choisir de marcher à Ta suite, libres et confiants, portant nos brancards.
Conduis-nous vers le Père, fais-nous entrer dans ta joie. Abbé Philippe Link.
Belle prière à tous,
Nathalie et Pascal
Source d’inspiration: 50 encouragements de Jésus par Benjamin Pouzin
CHANT
Un homme debout
Il fait si froid dehors le ressentez-vous?
Il fut un temps où j’étais comme vous
Malgré toutes mes galères je reste un homme debout
Priez pour que je m’en sorte
Priez pour que mieux je me porte
Ne me jetez pas la faute
Ne me fermez pas la porte
Oui, je vis de jour en jour
De squat en squat, un troubadour
Si je chante c’est pour qu’on me regarde
Ne serait-ce qu’un p’tit bonjour
J’vous vois passer quand j’suis assis
Vous êtes debout, pressés, j’apprécie
Un p’tit regard, un p’tit sourire
Ne prennent le temps, ne font que courir
Si je m’endors me réveillerez-vous?
Il fait si froid dehors le ressentez-vous?
Il fut un temps où j’étais comme vous
Malgré toutes mes galères je reste un homme debout
Merci bien pour la pièce
En ce moment c’est dur, je confesse
Moi, j’vais m’en sortir, je l’atteste
J’veux avoir un toit, une adresse
Si de toi à moi c’est dur, je stresse
Le moral n’est pas toujours bon, le temps presse
Mais bon comment faire?
À par l’ivresse comme futur
Et des promesses en veux tu?
Voilà ma vie j’me suis pris des coups dans la tronche
Sois sur que si j’tombe par terre tout le monde passe
Mais personne ne bronche
Franchement
À part les gosses qui me regardent étrangement
Tout le monde trouve ça normal que j’fasse la manche
M’en veuillez pas, mais parfois, j’ai qu’une envie
abandonner
Si je m’endors me réveillerez-vous?
Il fait si froid dehors le ressentez-vous?
Il fut un temps où j’étais comme vous
Malgré toutes mes galères je reste un homme debout
Priez pour que je m’en sorte
Priez pour que mieux je me porte
Ne me jetez pas la faute
Ne me fermez pas la porte
Si je m’endors me réveillerez-vous?
Il fait si froid dehors le ressentez-vous?
Il fut un temps où j’étais comme vous
Malgré toutes mes galères je reste un homme debout
Si je m’endors me réveillerez-vous?
Il fait si froid dehors le ressentez-vous?
Il fut un temps où j’étais comme vous
Malgré toutes mes galères je reste un homme debout
PREMIERE LECTURE
J’ai vu l’eau qui jaillissait du Temple : tous ceux qu’elle touchait furent sauvés (Ez 47, 1-9.12)
Lecture du Livre du prophète Ezékiel
En ces jours-là,
au cours d’une vision reçue du Seigneur,
l’homme me fit revenir à l’entrée de la Maison,
et voici : sous le seuil de la Maison,
de l’eau jaillissait vers l’orient,
puisque la façade de la Maison était du côté de l’orient.
L’eau descendait de dessous le côté droit de la Maison,
au sud de l’autel.
L’homme me fit sortir par la porte du nord
et me fit faire le tour par l’extérieur,
jusqu’à la porte qui fait face à l’orient,
et là encore l’eau coulait du côté droit.
L’homme s’éloigna vers l’orient,
un cordeau à la main,
et il mesura une distance de mille coudées ;
alors il me fit traverser l’eau :
j’en avais jusqu’aux chevilles.
Il mesura encore mille coudées
et me fit traverser l’eau :
j’en avais jusqu’aux genoux.
Il mesura encore mille coudées et me fit traverser :
j’en avais jusqu’aux reins.
Il en mesura encore mille :
c’était un torrent que je ne pouvais traverser ;
l’eau avait grossi, il aurait fallu nager :
c’était un torrent infranchissable.
Alors il me dit :
« As-tu vu, fils d’homme ? »
Puis il me ramena au bord du torrent.
Quand il m’eut ramené, voici qu’il y avait au bord du torrent,
de chaque côté, des arbres en grand nombre.
Il me dit :
« Cette eau coule vers la région de l’orient,
elle descend dans la vallée du Jourdain,
et se déverse dans la mer Morte,
dont elle assainit les eaux.
En tout lieu où parviendra le torrent,
tous les animaux pourront vivre et foisonner.
Le poisson sera très abondant,
car cette eau assainit tout ce qu’elle pénètre,
et la vie apparaît en tout lieu où arrive le torrent.
Au bord du torrent, sur les deux rives,
toutes sortes d’arbres fruitiers pousseront ;
leur feuillage ne se flétrira pas
et leurs fruits ne manqueront pas.
Chaque mois ils porteront des fruits nouveaux,
car cette eau vient du sanctuaire.
Les fruits seront une nourriture,
et les feuilles un remède. »
– Parole du Seigneur.
EVANGILE
« Aussitôt l’homme fut guéri » (Jn 5, 1-16)
Évangile de Jésus Christ selon Saint Jean
À l’occasion d’une fête juive,
Jésus monta à Jérusalem.
Or, à Jérusalem, près de la porte des Brebis,
il existe une piscine qu’on appelle en hébreu Bethzatha.
Elle a cinq colonnades,
sous lesquelles étaient couchés une foule de malades,
aveugles, boiteux et impotents.
Il y avait là un homme qui était malade depuis trente-huit ans.
Jésus, le voyant couché là,
et apprenant qu’il était dans cet état depuis longtemps,
lui dit :
« Veux-tu être guéri ? »
Le malade lui répondit :
« Seigneur, je n’ai personne
pour me plonger dans la piscine
au moment où l’eau bouillonne ;
et pendant que j’y vais,
un autre descend avant moi. »
Jésus lui dit :
« Lève-toi, prends ton brancard, et marche. »
Et aussitôt l’homme fut guéri.
Il prit son brancard : il marchait !
Or, ce jour-là était un jour de sabbat.
Les Juifs dirent donc à cet homme que Jésus avait remis sur pied :
« C’est le sabbat !
Il ne t’est pas permis de porter ton brancard. »
Il leur répliqua :
« Celui qui m’a guéri, c’est lui qui m’a dit :
“Prends ton brancard, et marche !” »
Ils l’interrogèrent :
« Quel est l’homme qui t’a dit :
“Prends ton brancard, et marche” ? »
Mais celui qui avait été rétabli
ne savait pas qui c’était ;
en effet, Jésus s’était éloigné,
car il y avait foule à cet endroit.
Plus tard, Jésus le retrouve dans le Temple et lui dit :
« Te voilà guéri.
Ne pèche plus,
il pourrait t’arriver quelque chose de pire. »
L’homme partit annoncer aux Juifs
que c’était Jésus qui l’avait guéri.
Et ceux-ci persécutaient Jésus
parce qu’il avait fait cela le jour du sabbat.
– Acclamons la Parole de Dieu : Louange à toi, Seigneur Jésus !
Méditation du Pasteur Nicole Fabre (RCF)
Il y a une fête liturgique. L’impératif alors, pour tout croyant, est de la célébrer avec ses frères, au temple ou à l’Eglise dirions-nous aujourd’hui. Or ce texte est plein d’humour, plein d’ironie bienveillante qui met en lumière nos habitudes faussées. Où retrouve-ton Jésus d’abord ? Dans un lieu de guérison pas très orthodoxe – à vrai dire plutôt païen. Ce n’est que dans un second temps que le lecteur de l’évangile le retrouve au temple. Mais cette fois-ci, l’homme qui a été guéri y est, lui aussi. Le message n’est-il pas extraordinaire ? L’entendons-nous ? Jésus veut célébrer cette fête en y intégrant ceux et celles qui n’ont pas accès au temple, qui ne correspondent pas à nos normes. La véritable fête, pour lui, ne peut se vivre sans les blessés de la vie, sans les paralysés de tout ordre.
Nous nous trompons radicalement lorsque nous pensons l’Eglise à partir de nos bâtiments, à partir de nos rassemblements. Plus essentiellement, l’Eglise concerne le monde que Dieu aime, dans lequel il agit. La fête peut se vivre dans des lieux inattendus, non cultuels, pour peu qu’elle permette à des hommes et des femmes en attentes, désabusés d’entrer à nouveau dans la communauté de ceux et celles qui sont relevés par la parole et la tendresse de Jésus.
A celui qui est entré dans une vie renouvelée, Jésus s’adresse en lui disant : ne pèche plus. Au-delà de sa guérison, une vie nouvelle se propose à lui. Ne pèche plus. Nous pouvons entendre : ne désespère plus. Tu connais maintenant Celui sur qui tu peux t’appuyer. Tu connais celui qui t’a toujours connu, et qui est venu à ta rencontre.
Homélie du Père Maximin Noudehou
« En ces jours-là, au cours d’une vision reçue du Seigneur, l’homme me fit revenir à l’entrée de la Maison, et voici : sous le seuil de la Maison, de l’eau jaillissait vers l’orient, puisque la façade de la Maison était du côté de l’orient. L’eau descendait de dessous le côté droit de la Maison au sud de l’autel. »
Il s’agit là de la Source de la grâce divine ; une Source qui jaillit du secret des profondeurs même de Dieu. La Maison de Dieu représente, en effet, Dieu Lui-même. Elle représente aussi pour nous, aujourd’hui, l’Église. Enfin, elle est le symbole du Temple intérieur de chacun d’entre nous. La Source jaillissait à l’entrée comme pour irriguer toute personne qui, dans une démarche de conversion et de quête d’intimité avec Dieu, vient vers la Maison et essaie d’en passer le seuil. Nul, qui vient vers le Seigneur, n’est privé de sa grâce. Ses eaux coulent, de la façade de l’orient, vers l’orient, expression de la plénitude de la puissance divine en elles car l’Orient renvoie à Dieu.
Dieu ne cesse de répandre son Amour.
Laisse-toi ramener à l’entrée de la Maison de Dieu.
« L’homme s’éloigna vers l’orient, un cordeau à la main, et il mesura une distance de mille coudées ; alors il me fit traverser l’eau : j’en avais jusqu’aux chevilles. Il mesura encore mille coudées et me fit traverser l’eau : j’en avais jusqu’aux genoux. Il mesura encore mille coudées et me fit traverser : j’en avais jusqu’aux reins. Il en mesura encore mille : c’était un torrent que je ne pouvais traverser ; l’eau avait grossi, il aurait fallu nager : c’était un torrent infranchissable. Alors il me dit : « As-tu vu, fils d’homme ? » »
De mille en mille, cette eau devint finalement un torrent infranchissable. C’est l’expression de l’œuvre progressive et permanente de la grâce de Dieu en nous ! Plus nous avançons vers Dieu, plus nous devrons renoncer à nos forces, nos assurances et nous abandonner à sa grâce, nous laisser porter par elle : il aurait fallu nager. Et plus nous accueillons sa grâce, plus elle se révèle insondable et inépuisable pour nous. Comme le prophète, il nous arrive de voir sans pouvoir aller plus loin car il nous faut du temps pour vaincre nos résistances et nos peurs. Et Dieu ne nous brusque pas.
L’Amour de Dieu est insondable.
Laisse-toi porter par ses flots.
« Cette eau coule vers la région de l’orient, elle descend dans la vallée du Jourdain, et se déverse dans la mer Morte, dont elle assainit les eaux. En tout lieu où parviendra le torrent, tous les animaux pourront vivre et foisonner. Le poisson sera très abondant, car cette eau assainit tout ce qu’elle pénètre, et la vie apparaît en tout lieu où arrive le torrent. »
La grâce de Dieu est porteuse de vie. Elle est Vie. Elle nous débarrasse de la Mort et de ses germes. Tout ce qu’elle touche prospère.
Les arbres fruitiers qui pousseront sur ses rives témoignent de sa fécondité. Ces arbres, c’est chacun d’entre nous. Nous sommes invités à ne pas rendre stérile la grâce de Dieu en nous. Si nous nous laissons nourrir par la sève divine de l’Amour, c’est-à-dire le Saint-Esprit, alors tout en nous ne sera que nourriture et remède : nous deviendrons des signes vivants de la grâce de Dieu au cœur du monde. Belle mission et belle récompense !
L’Amour de Dieu est fécondité.
Quels fruits portes-tu ?
Seigneur, inonde-nous de ton Amour.
Paroles du Pape François
Cela fait réfléchir, l’attitude de cet homme. Était-il malade? Oui, peut-être, une certaine paralysie qu’il avait, mais il semble qu’il pouvait marcher un peu. Mais il était malade dans son cœur, il était malade dans son âme, il était malade de pessimisme, il était malade de tristesse, il était malade d’acédie. C’est la maladie de cet homme: «Oui, je veux vivre, mais…». Il en était resté là.
Mais la clé, c’est la rencontre avec Jésus, après. Il le trouva dans le Temple et lui dit: «Voici que tu es guéri. Ne pèche plus, de peur que quelque chose de pire ne t’arrive.» L’homme était dans le péché. Le péché de survivre et de se plaindre de la vie des autres: le péché de tristesse qui est la semence du diable, de cette incapacité à prendre une décision sur sa propre vie, tout en regardant la vie des autres pour se plaindre.
Et c’est un péché que le diable peut utiliser pour anéantir notre vie spirituelle, et aussi notre vie en tant que personnes.
Pape François, Homélie, 24 Mars 2020, Source : https://www.vaticannews.va/
Notre Père
Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour. Pardonne nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensé. Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal. Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Par ta miséricorde, libère-nous du péché, rassure-nous devant les épreuves en cette vie où nous espérons le bonheur que tu promets et l’avènement de Jésus le Christ, notre Sauveur. Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen ! Seigneur Jésus-Christ, tu as dit à tes Apôtres : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix ». Ne regarde pas nos péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen ! |
Prière à Marie
Je vous salue Marie pleine de grâce, le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, Maintenant et à l’heure de notre mort. |

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