Bonjour les amis,
Seigneur, nous Te confions cette journée et la suite de notre Carême. Augmente en nous la foi, l’espérance et la charité. Que Ta lumière brille dans notre cœur tout au long de ce Carême.
Voilà une dizaine de jours que nous avons commencé ce temps du carême. Aujourd’hui est une première étape importante dans ces quarante jours de cheminement, avec l’évangile de la Transfiguration. Nous avons peut-être déjà vécu de belles grâces mais nous nous sommes aussi engagés sur un chemin étroit, difficile, et exigeant. Juste avant dans l’évangile, Jésus annonce à ses disciples sa passion et sa résurrection. D’une certaine manière, Il nous dit que la résurrection est indissociable de la Croix, qu’il n’y a pas de Pâques sans Vendredi Saint, que la Gloire de Dieu passe par le sacrifice de la Croix. Comme le grain de blé se meurt en terre pour donner vie, il faut qu’il y ait mort pour ressusciter. Cela est aussi un message pour nous tous, pour participer de la résurrection, nous devons aussi mourir, mourir de nos ténèbres, mourir à une partie de nous-même, d’une autre manière nous devons faire des renoncements, et nous sommes tous invités à cela, qui que nous soyons, où que nous soyons, pourvu nous abandonnions notre volonté au Seigneur. D’ailleurs, le premier qui va reconnaitre Jésus comme fils de Dieu, n’est ni un disciple, ni même un juif ou un samaritain, c’est un étranger, un pécheur, un centurion romain, et sa conversion a lieu au pied de la croix, alors pour nous aussi tout est possible !
Dans l’évangile du jour, les disciples choisis par Jésus sont appelés à vivre un moment d’une grâce particulière où Jésus se révèle à eux dans toute sa gloire de Fils de Dieu ; un vrai moment de réconfort spirituel pour eux, même s’ils ne comprennent pas grand-chose à ce qu’ils vivent. A tel point que Pierre, dont je me sens proche, comme souvent parle en premier, et il parle trop vite. Il est tellement perturbé qu’il ne sait plus quoi dire.
Ce que Pierre vit peut ressembler à certaines expériences et grâces que j’ai reçues pendant des retraites spirituelles. Je me sentais si bien que j’avais envie de le dire au Seigneur et dresser une tente pour Lui… en moi. Mais au-delà de ce moment présent qui m’était offert, la grâce que j’ai reçu, a été et reste aujourd’hui encore un précieux réconfort dans ma vie, dans mes difficultés. Cela reste pour moi une référence de bien-être que je demande de retrouver au Seigneur.
La Transfiguration a pour but de fortifier les apôtres pour leurs épreuves futures, comme le jour de ma conversion continue à éclairer mon cœur et à m’aider chaque jour lorsque l’obscurité m’appelle. Comme nous le disait le pape Benoît XVI : « Dieu est lumière, et Jésus veut offrir à ses amis les plus intimes l’expérience de cette lumière, qui demeure en Lui. Ainsi, après cet événement, Il sera en eux cette lumière intérieure qui saura les protéger de l’assaut des ténèbres. Même dans la nuit la plus sombre, Jésus est une lampe qui ne s’éteint jamais. ».
Nous avons peut-être trouvé ces dix premiers jours de carême difficiles, décourageants, nous faiblissons peut-être, alors prions :
Seigneur, offre-nous Ta grâce pour nous illuminer pendant les périodes d’obscurité.
Donne-nous d’accueillir cette lumière que Jésus nous montre pour nous redonner force et courage sur ce chemin
Jésus demande aux disciples de se taire tant qu’Il n’est pas ressuscité d’entre les morts. Il est très vigilant vis-à-vis de l’idolâtrie qui pourrait naître sur sa personne. En effet, tant que Jésus n’est pas ressuscité, quelque part il n’y a rien à voir. Et comme, logiquement, les disciples n’ont rien compris à ce qu’ils viennent de vivre, Il leur demande le silence.
Et pour nous, qu’est-ce que veut dire la résurrection de la chair ? Avons-nous une réponse claire à cette question ? Parfois la conversion est tellement un choc violent, la rencontre avec le Christ tellement surprenante, irrationnelle, comme celle que j’ai connue, qu’il faut du temps pour se sentir assez fort pour en témoigner de manière juste.
Retenons peut-être de l’évangile du jour que le Père nous parle, directement à nous, par Sa Parole, et que nous pouvons Lui parler aussi directement, dans la prière. L’évangile de Marc est plein de questions de Jésus à ses disciples. Ces questions sont aussi pour nous, comme par exemple, de quoi discutez-vous ? De la Covid, de nos soucis, des personnes qui souffrent, de nos peurs ou de nos faiblesses ou de sujets plus futiles, peu-importe, nous avons le droit d’en parler au Seigneur, de Le questionner pour mieux comprendre.
Nous devons aussi rester dans la confiance, qu’Il veut nous donner toutes les grâces dont nous avons besoin, pour surmonter les croix que nous rencontrerons dans notre quotidien, en gardant à l’esprit que si la croix fait partie de la vie, à la fin elle sera toujours accompagnée de la gloire.
Seigneur, viens en notre cœur, donne-nous la force et la grâce de T’accompagner tout au long de ce Carême, de lire Ta Parole et de Te parler chaque jour.
Donne-nous d’entendre pour chacun de nos frères et sœurs : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, écoutez-le ! »
Que Ta lumière et Ta voix illuminent nos pas et nous guident.
Belle prière à tous,
Nathalie et Pascal
Sources d’inspiration : https://app.decouvrir-dieu.com/ et http://regnumchristi.fr/
CHANT
Ce nom est si merveilleux
Fils unique du Dieu Très-Haut
Les mystères de Ta gloire révélés
En Toi Christ notre Seigneur
Refrain 1
Ô ce nom est si merveilleux
Ô ce nom est si merveilleux
Le nom de Jésus-Christ mon Roi
Ô ce nom est si merveilleux
Sa beauté est sans pareille
Ô ce nom est si merveilleux
Le nom de Jésus
Couplet 2
Tu n’as pas voulu les Cieux sans nous
Alors Jésus Tu es venu
Ton amour a vaincu mon péché
(Plus) rien ne peut nous séparer
Refrain 2
Ô ce Nom est si glorieux
Ô ce Nom est si glorieux
Le nom de Jésus-Christ mon Roi
Ô ce Nom est si glorieux
Sa beauté est sans pareille
Ô ce Nom est si glorieux
Le nom de Jésus
Pont 1
La terre a tremblé
Le voile s’est déchiré
Désarmant la mort et le péché
Les cieux chantent Ta gloire
L’écho de Ta victoire
Car Tu es le Roi ressuscité
Pont 2
Tu es sans rival
Tu es sans égal
Dieu Tu triomphes à tout jamais
À Toi soit le règne
À Toi soit la gloire
(Car) Ton Nom surpasse tout autre nom
Refrain 3
Ô ce nom est victorieux
Ô ce nom est victorieux
Le Nom de Jésus-Christ mon Roi
Ô ce nom est victorieux
Sa puissance est sans pareille
Ô ce nom est victorieux
Le nom de Jésus
PREMIERE LECTURE
Le sacrifice de notre père Abraham (Gn 22, 1-2.9-13.15-18)
Lecture du Livre de la Genèse
En ces jours-là,
Dieu mit Abraham à l’épreuve.
Il lui dit :
« Abraham ! »
Celui-ci
répondit :
« Me voici ! »
Dieu dit :
« Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac,
va au pays de Moriah,
et là tu l’offriras en holocauste
sur la montagne que je t’indiquerai. »
Ils arrivèrent à l’endroit que Dieu avait indiqué.
Abraham y bâtit l’autel et disposa le bois ;
puis il lia son fils Isaac
et le mit sur l’autel, par-dessus le bois.
Abraham étendit la main
et saisit le couteau pour immoler son fils.
Mais l’ange du Seigneur l’appela du haut du ciel et dit :
« Abraham ! Abraham ! »
Il répondit :
« Me voici ! »
L’ange lui dit :
« Ne porte pas la main sur le garçon !
Ne lui fais aucun mal !
Je sais maintenant que tu crains Dieu :
tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique. »
Abraham leva les yeux et vit un bélier
retenu par les cornes dans un buisson.
Il alla prendre le bélier
et l’offrit en holocauste à la place de son fils.
Du ciel, l’ange du Seigneur appela une seconde fois Abraham.
Il déclara :
« Je le jure par moi-même, oracle du Seigneur :
parce que tu as fait cela,
parce que tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique,
je te comblerai de bénédictions,
je rendrai ta descendance aussi nombreuse
que les étoiles du ciel
et que le sable au bord de la mer,
et ta descendance occupera les places fortes de ses ennemis.
Puisque tu as écouté ma voix,
toutes les nations de la terre
s’adresseront l’une à l’autre la bénédiction
par le nom de ta descendance. »
– Parole du Seigneur.
EVANGILE
« Celui-ci est mon Fils bien-aimé » (Mc 9, 2-10)
Évangile de Jésus Christ selon Saint Marc
En ce temps-là,
Jésus prit avec lui Pierre, Jacques et Jean,
et les emmena, eux seuls, à l’écart sur une haute montagne.
Et il fut transfiguré devant eux.
Ses vêtements devinrent resplendissants,
d’une blancheur telle
que personne sur terre ne peut obtenir une blancheur pareille.
Élie leur apparut avec Moïse,
et tous deux s’entretenaient avec Jésus.
Pierre alors prend la parole
et dit à Jésus :
« Rabbi, il est bon que nous soyons ici !
Dressons donc trois tentes :
une pour toi, une pour Moïse, et une pour Élie. »
De fait, Pierre ne savait que dire,
tant leur frayeur était grande.
Survint une nuée qui les couvrit de son ombre,
et de la nuée une voix se fit entendre :
« Celui-ci
est mon Fils bien-aimé :
écoutez-le ! »
Soudain, regardant tout autour,
ils ne virent plus que Jésus seul avec eux.
Ils descendirent de la montagne,
et Jésus leur ordonna de ne raconter à personne ce qu’ils avaient vu,
avant que le Fils de l’homme
soit ressuscité d’entre les morts.
Et ils restèrent fermement attachés à cette parole,
tout en se demandant entre eux ce que voulait dire :
« ressusciter d’entre les morts ».
– Acclamons la Parole de Dieu : Louange à toi, Seigneur Jésus !
Méditation du Père Sébastien Antoni (RCF)
J’ai vu sur un célèbre réseau social et sur les affiches d’une aumônerie une représentation de Jésus grimé en superhéros ! Sur le mur du célèbre réseau social, on le voit discutant avec spider man, Hulk, flash superman et Wonder woman, faisant nombre avec eux… un parmi d’autres… et sur l’autre, l’affiche d’aumônerie, Jésus est déguisé en Jedi avec un sabre laser de la saga Star Wars… Est-ce cela le Christ ? Ces représentations marketing d’un Jésus superhéros semblent pourtant trouver un écho avec l’Évangile de la transfiguration d’aujourd’hui, non ? Éclairs, vêtement merveilleux, voix d’outre ciel… Jésus mis au même rang d’un être inventé et légendaire comme le sont ces personnages, cachés sous des masques, utilisant des super-pouvoirs et volant dans les airs… bref… qui n’existent PAS ! Eh bien, un farouche détracteur de la foi n’aurait pas fait mieux que ces affiches ! Revenons à la Parole de Dieu et quittons les scénarios de science-fiction… Le passage de la transfiguration que nous lisons aujourd’hui, est précédé du dialogue entre Jésus et Pierre où, de toutes ses forces, en affirmant qu’il doit mourir, Jésus contredit Pierre et tous ceux qui hier et aujourd’hui… voudraient faire de lui un messie « à grand spectacle ». Pierre, disant à Jésus quelque chose comme « utilise donc tes super-pouvoirs pour échapper à la mort » se fait remettre en place… sans ménagement, tant son propos et ses intentions sont éloignés de l’Évangile. Cette dérive de celui qui ne connaît pas Jésus semble vivace… et difficile à décrotter, jusqu’à aujourd’hui.
Mais alors… pourquoi, juste après cette discussion avec Pierre assistons-nous à ce spectacle de la Transfiguration, me direz-vous ? Jésus se serait-il ravisé ? Aurait-il accepté de se travestir en héros hollywoodien ?
La transfiguration, cette métamorphose (si l’on traduit le mot grec) s’inscrit dans le signe de la promesse que Jésus a faite à Pierre quelques jours plus tôt « Quelques-uns de ceux qui se tiennent ici ne goûteront point la mort avant d’avoir vu le royaume de Dieu venir avec puissance » Le temps du doute, de la peur, de l’angoisse, de la mort va arriver. En acceptant la Croix, Jésus ne se réduira pas à être un personnage de cinéma de BD ou de héros de littérature fantastique. Sur la montagne par le signe qu’il donne, il insiste pour dire qu’au-delà des apparences de la fragilité de la mort à laquelle il consent et sous laquelle, il se montre en vérité, il invite tous ceux qui le suivent à l’y retrouver. C’est sa vulnérabilité, sa petitesse, sa faiblesse qui le métamorphose, qui en fait le véritable fils du Père et le messie selon le cœur de Dieu. Jésus est le sauveur vivant… ne le réduisez pas à un personnage inventé, un super héros dont on sait qu’ils n’existent pas. C’est trop sérieux, On parle du Dieu sauveur !… Il est tout sauf un produit marketing…, au contraire… !
Homélie du Père Maximin Noudehou
« En ces jours-là, Dieu mit Abraham à l’épreuve. Il lui dit : « Abraham ! » Celui-ci répondit : « Me voici ! » Dieu dit : « Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac, va au pays de Moriah, et là tu l’offriras en holocauste sur la montagne que je t’indiquerai. » »
Il nous est clairement précisé qu’il s’agit d’une mise à épreuve. Dieu nous met à l’épreuve tandis que Satan nous tente. Dieu nous fait faire l’expérience de son Amour pour nous ; et nous fait prendre conscience, ainsi, de la force de sa grâce dans notre vie. Satan, lui, cherche à nous détourner de la grâce divine. Dieu nous fait grandir en confiance alors que le Démon nous fait douter de Dieu et de nous-mêmes. Satan s’active pour notre anéantissement pendant que Dieu travaille à notre élévation.
Abraham fut soumis à dix épreuves dans son cheminement spirituel. Et chacune d’elle fut une étape décisive de sa vie avec Dieu. Dans la toute première, à travers son départ de son pays et de la maison de son père, Dieu lui demanda de Lui sacrifier tout son passé. Dans la toute dernière, celle-ci, à travers le sacrifice Isaac, Il lui ordonne de remettre totalement (holocauste) son futur entre ses mains. Cette épreuve constituait également la première pour Isaac par rapport à sa confiance filiale en son père, Abraham et en Dieu.
Dans chaque épreuve, Dieu nous apprend l’abandon.
Qu’est-ce qui, en toi, te fait résister à cet abandon ?
« Ils arrivèrent à l’endroit que Dieu avait indiqué. Abraham y bâtit l’autel et disposa le bois ; puis il lia son fils Isaac et le mit sur l’autel, par-dessus le bois. Abraham étendit la main et saisit le couteau pour immoler son fils. Mais l’ange du Seigneur l’appela du haut du ciel et dit : « Abraham ! Abraham ! » Il répondit : « Me voici ! » »
Il y a toujours un lieu de notre holocauste. C’est toujours Dieu qui l’indique, hors de notre lieu de confort. Et il est toujours au bout d’un chemin qu’il nous est demandé de parcourir en étant, en permanence, à l’écoute de Dieu, c’est-à-dire dans une attitude de renonciation progressive à toutes nos certitudes. C’est un appel à sortir de nous-mêmes et à nous décentrer. Il s’agit, en somme, d’un chemin de discernement…
À ce lieu, dans la confiance absolue et de façon très minutieuse, Abraham consent au sacrifice de son fils unique. En ce moment, l’ange de Dieu l’appela, en le nommant deux fois, comme pour convoquer toute son existence. Et Abraham, contrairement à Adam, a toujours répondu à Dieu. Dieu a accepté son sacrifice ! Mais, Il lui révèle qu’aucun de nos sacrifices ne doit être au préjudice de la vie d’autrui. Ce que nous faisons de bien pour Dieu, l’est effectivement s’il est également pour le bien des autres et promeut la vie : « Ne porte pas la main sur le garçon ! Ne lui fais aucun mal ! Je sais maintenant que tu crains Dieu : tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique. » Quant à Isaac, par son silence, il s’est inscrit dans la soumission à son père qui, lui, était soumis à Dieu.
Christ est l’accomplissement de cette obéissance totale au Père.
Quel est ton Isaac ?
« Abraham leva les yeux et vit un bélier retenu par les cornes dans un buisson. Il alla prendre le bélier et l’offrit en holocauste à la place de son fils. Du ciel, l’ange du Seigneur appela une seconde fois Abraham. Il déclara : « […] Puisque tu as écouté ma voix, toutes les nations de la terre s’adresseront l’une à l’autre la bénédiction par le nom de ta descendance. » »
Abraham a alors compris que, s’il est vrai que son sacrifice a quelque chose à voir avec Isaac, ce qui l’empêchait, en réalité, d’être en communion parfaite avec Dieu, c’est sa conception et son exercice de la grâce de la paternité que Dieu lui a faite : ses yeux s’ouvrent totalement sur son buisson. C’est ce que symbolise le bélier prit par les cornes. Alors, Abraham offrit en holocauste sa paternité. Ce nouvel exercice de l’autorité dans une attitude d’obéissance totale à Dieu va favoriser la communion et la prospérité de toutes les nations.
L’obéissance est un chemin de bénédictions.
Comment exerces-tu l’autorité ?
Me voici, Seigneur, je viens faire ta Volonté.
Paroles du Pape François
La Transfiguration du Christ nous montre la perspective chrétienne de la souffrance. La souffrance n’est pas du sado-masochisme; elle est un passage nécessaire mais transitoire. Le point d’arrivée auquel nous sommes appelés est aussi lumineux que le visage du Christ transfiguré: en Lui se trouvent le salut, la béatitude, la lumière, l’amour de Dieu sans limites. En montrant ainsi sa gloire, Jésus nous assure que la croix, les épreuves, les difficultés dans lesquelles nous nous débattons ont leur solution et leur dépassement dans la Pâque. C’est pourquoi, en ce carême, nous montons nous aussi sur la montagne avec Jésus! Mais de quelle manière? Par la prière. Nous montons sur la montagne par la prière: la prière silencieuse, la prière du cœur, la prière en recherchant toujours le Seigneur. Restons quelques instants dans le recueillement, chaque jour un peu, fixons notre regard intérieur sur son visage et laissons sa lumière nous envahir et rayonner dans notre vie.
Pape François, Angélus, 07 Mars 2019, Source : https://www.vaticannews.va/
Notre Père
Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour. Pardonne nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensé. Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal. Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Par ta miséricorde, libère-nous du péché, rassure-nous devant les épreuves en cette vie où nous espérons le bonheur que tu promets et l’avènement de Jésus le Christ, notre Sauveur. Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen ! Seigneur Jésus-Christ, tu as dit à tes Apôtres : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix ». Ne regarde pas nos péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen ! |
Prière à Marie
Je vous salue Marie pleine de grâce, le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, Maintenant et à l’heure de notre mort. |

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