Confions notre année 2021 au Seigneur !

Bonjour les amis,

“Que le Seigneur te bénisse et te garde ! Que le Seigneur fasse briller sur toi son visage,
qu’il te prenne en grâce ! Que le Seigneur tourne vers toi son visage, qu’il t’apporte la paix !” (Nb 6, 22-27)

Vous êtes des fils : Dieu a envoyé l’Esprit de son Fils dans nos cœurs, et cet Esprit crie
« Abba ! », c’est-à-dire : Père ! Ainsi tu n’es plus esclave, mais fils, et puisque tu es fils, tu es aussi héritier : c’est l’œuvre de Dieu. (Ga 4, 4-7)

Nous voilà au début d’une nouvelle année plein d’incertitude, certainement avec à l’esprit tout ce que nous avons pu vivre de bon, mais aussi de moins bien au cours de cette année 2020 si particulière. Comme nous le disions hier, il est bon de relire spirituellement nos grands événement de cette année qui été en final très riche.
Et nous avons déjà les yeux rivés sur 2021 avec l’espoir de la voir plus belle, pour nous et pour ceux qui nous sont chers, et au delà pour toutes et tous.
Alors souhaitons-nous les bons vœux : Bonne et heureuse année ! bonheur, joie, paix, amour, succès … et pour nous croyants ajoutons-y une prière, une bénédiction de la part de Dieu : Dieu vous bénisse et vous accorde la santé, l’espérance … Mais n’oublions pas que tout vient du Seigneur, que si nous lui demandons son aide, Il nous entend et nous répond toujours.. en son temps et à sa manière parfois surprenante, mais toujours emprunte d’amour pour nous. Son amour est infini et sa grâce éternelle.

Alors en ce 1er janvier, nous avons envie de reprendre les mots du Père Roméo ce matin à La Rochette : Confions notre année au Seigneur, confions-nous aussi en l’intercession de la Vierge Marie, la Mère de Dieu que nous fêtons aujourd’hui, et alors l’année sera belle ! Comme pour les cadeaux que les enfants font à leurs parents et dont l’argent a été donné par les parents, rendons au Seigneur tous les cadeaux, toutes les grâces, toutes les bénédictions dont Il nous comble chaque jour.  

Nous souhaitons enfin emprunter la bénédiction solennelle du jour de l’an que nous recevons à la fin de chaque messe du 1er Janvier pour souhaiter à tous une excellente année :


C’est Dieu qui est la source de toute bénédiction : qu’il vous entoure de sa grâce et vous garde en elle tout au long de cette année. Amen.


Qu’Il nourrisse en vous la foi implantée par le Christ, qu’il entretienne en vous l’espérance du Christ, qu’il vous ouvre à la patience et à la charité du Christ. Amen.


Que l’Esprit de paix vous accompagne partout, qu’il vous obtienne ce que vous demanderez et vous achemine vers le bonheur sans fin. Amen.


Et que le Dieu tout puissant vous bénisse : le Père, le Fils et le Saint Esprit. Amen.
Bonne et sainte année à chacun !

Belle prière à tous,
Nathalie et Pascal

CHANT

L’Esprit Saint qui nous est donné fait de nous tous des fils de Dieu !

L´Esprit Saint qui nous est donné Fait de nous tous des Fils de Dieu
Appelés à la liberté, Glorifions Dieu par notre vie !

Nés de l´amour de notre Dieu, Fils de lumière, sel de la terre,
Ferments d´amour au cœur du monde Par la puissance de l´Esprit.

L´Esprit Saint qui nous est donné Fait de nous tous des Fils de Dieu
Appelés à la liberté, Glorifions Dieu par notre vie !

À son image, il nous a faits Pour nous aimer comme il nous aime,
Sa ressemblance reste gravée Au fond des cœurs de ceux qui l´aiment.

L´Esprit Saint qui nous est donné Fait de nous tous des Fils de Dieu
Appelés à la liberté, Glorifions Dieu par notre vie !

Tous ceux qu´anime l´Esprit Saint Sont délivrés de toute peur
Et désormais fils adoptifs, Ils sont devenus fils du Père.

L´Esprit Saint qui nous est donné Fait de nous tous des Fils de Dieu
Appelés à la liberté, Glorifions Dieu par notre vie !

N´ayons pas peur d´être des saints Puisque le Christ nous a aimés,
Ouvrons les portes à l´espérance, Soyons des témoins de sa paix !

L´Esprit Saint qui nous est donné Fait de nous tous des Fils de Dieu
Appelés à la liberté, Glorifions Dieu par notre vie !

À nos côtés se tient Marie, Mère du Christ, Mère des hommes,
Notre soutien et notre guide Dans notre marche vers son Fils.

L´Esprit Saint qui nous est donné Fait de nous tous des Fils de Dieu
Appelés à la liberté, Glorifions Dieu par notre vie !

EVANGILE

Ils découvrirent Marie et Joseph, avec le nouveau-né. Quand fut arrivé le huitième jour, l’enfant reçut le nom de Jésus (Lc 2, 16-21)

Évangile de Jésus Christ selon Saint Luc

   En ce temps-là,
les bergers se hâtèrent d’aller à Bethléem,
et ils découvrirent Marie et Joseph,
avec le nouveau-né
couché dans la mangeoire.
Après avoir vu,
ils racontèrent ce qui leur avait été annoncé
au sujet de cet enfant.
Et tous ceux qui entendirent s’étonnaient
de ce que leur racontaient les bergers.
Marie, cependant, retenait tous ces événements
et les méditait dans son cœur.
Les bergers repartirent ;
ils glorifiaient et louaient Dieu
pour tout ce qu’ils avaient entendu et vu,
selon ce qui leur avait été annoncé.
Quand fut arrivé le huitième jour,
celui de la circoncision,
l’enfant reçut le nom de Jésus,
le nom que l’ange lui avait donné avant sa conception.

– Acclamons la Parole de Dieu : Louange à toi, Seigneur Jésus !

Méditation du Père Jean-Marie Petitclerc (RCF)

Dans nos appartements et nos maisons, au pied du sapin ou sur une étagère, nous avons dressé une crèche emplie de santons. Au seuil de cette année nouvelle, prenons le temps de la contempler à la manière des bergers, ces petits qui ne comptent pas pour grand-chose dans la société d’alors, puisque l’empereur ne jugeait même pas utile de les recenser.
Et puisque nous fêtons Marie en ce jour, sachons contempler l’enfant Jésus avec son regard.
Un enfant qui naît, c’est le fruit d’une attente… La naissance de Jésus est survenue au terme d’une longue route empruntée par Marie sur les sentiers insécurisés de Palestine. Noël n’a de sens que pour celui qui l’a attendu. L’enfant couché dans une mangeoire ne fait sens que pour celui qui a faim, faim d’un monde plus paisible, plus juste, plus fraternel.
Un enfant qui naît, c’est à la fois beau et fragile. Il n’y a rien de plus beau en ce monde que le visage de l’enfant qui sourit à la vie. Mais combien est fragile le nouveau-né ! Il a besoin de son entourage pour survivre. Jésus a eu besoin en cette nuit de la présence de Marie et Joseph. Un Dieu qui a besoin de l’homme pour s’installer en ce monde !
Un enfant qui naît, c’est un avenir qui s’ouvre. Christ nous donne rendez-vous non pas hier, mais demain. Noël n’est pas un souvenir du passé, qu’il faudrait entretenir une fois l’an, avec d’autant plus de ponctualité et de formalisme que le souvenir s’effriterait au fil des ans. Non, Noël est une lumière d’avenir.
Oui, en la nuit de Noël, l’amour a pris racine dans le monde.
Puissions-nous, tout au long de l’année qui vient, continuer de le faire éclore ! Tel est le vœu que je formule en ce jour de l’an.
Bonne année et sainte année 2021 à chacune et chacun d’entre vous

Homélie du Père Maximin Noudehou

« ils racontèrent ce qui leur avait été annoncé au sujet de cet enfant. »
Après avoir reçu d’un ange l’annonce de la grande joie et contemplé le chœur angélique, ce que les bergers découvrent à Bethléem n’a rien d’extraordinaire : « Marie et Joseph avec le nouveau-né couché dans une mangeoire. »
En réalité, ce qui est merveilleux dans ce tableau, ce qui y est grand, ce qui y est extraordinaire, c’est que ce qu’ils ont vu correspond à ce que l’ange leur a annoncé. Ils ont découvert un Dieu de vérité non pas de perfidie, un Dieu d’authenticité et non pas d’apparat. Ce qu’il nous est donné de contempler, c’est la Vérité. Cette contemplation nous invite à la confiance durant toute cette nouvelle année : Dieu fait toujours ce qu’Il dit ! Ils ont découvert un Dieu qui, dans sa simplicité, se met dans une posture d’accessibilité universelle : être nourriture. Pendant que les grands de ce monde se barricadent, que les puissants ont peur pour leur sécurité et que les riches protègent les biens qu’ils ne peuvent emporter à leur mort, Dieu nous apprend qu’il n’y a rien de plus grand que la simplicité, rien de plus sûr que l’accessibilité, rien de plus riche que le don et le don de soi. Pendant que nous sommes contraints de nous protéger les uns des autres, de garder nos distances, Dieu nous dit que nous avons ainsi l’occasion d’être vrais et authentiques dans nos rencontres en rendant nos cœurs accessibles par l’amour. Devant, ce tableau dépouillé de toute fioriture, devant cet enfant dans une mangeoire, Dieu nous rappelle que, dans ce monde, la faim est une honte universelle. Il nous donne l’exemple de ce qu’Il nous ordonne : « Donnez-leur vous-mêmes à manger. » (Luc 9, 13) Les bergers ont découvert aussi Marie et Joseph, autrement dit, ils ont découvert une famille. Ils ont découvert l’amour et la vie : l’essentiel de toute existence.
Dieu des Armées, Dieu désarmé : le mystère d’Amour se déploie.
Dans quelle mesure es-tu vrai(e) dans tes rencontres ?

ils racontèrent ce qui leur avait été annoncé au sujet de cet enfant.
Face à la splendeur de la Vérité, les bergers témoignent. « ils racontèrent ce qui leur avait été annoncé au sujet de cet enfant. » Une figure a particulièrement retenu l’attention de Saint Luc dans l’auditoire des bergers : « Marie, cependant, retenait tous ces événements et les méditait dans son cœur. »
Nous avons ainsi sous nos yeux des modèles qui devraient inspirer nos résolutions pour cette année nouvelle. À la suite des bergers, notre résolution serait : voir – témoigner – louer Dieu. À la suite de Marie, la Mère de Dieu (et de Joseph), ce serait de : savoir accueillir dans son cœur et méditer. Il s’agit là de la charte du disciple-missionnaire, le programme de toute une vie de sainteté.
Noël est un appel à la sainteté
Quelle est ton projet de vie pour cette année ?

ils racontèrent ce qui leur avait été annoncé au sujet de cet enfant.
Après l’étable, après la visite des bergers, la vie va se poursuivre avec un cachet spécial : « Quand fut arrivé le huitième jour, celui de la circoncision, l’enfant reçut le nom de Jésus, le nom que l’ange lui avait donné avant sa conception. »
Ce qui demeure constant dans la vie de cette Famille, c’est l’obéissance à la Volonté de Dieu. Ce qui marque également l’ordinaire de leur vie, c’est le nom de cet Enfant : Jésus. Désormais, tout le monde autour d’eux proclame : « Dieu sauve (Jésus) » Ainsi, nous sommes appelés à vivre dans cette foi au quotidien.
Il est fidèle, notre Dieu.
Comment Dieu fait-Il ton bonheur au quotidien ?

Sainte Marie, Mère de Dieu, fais-nous vivre de Dieu.

SANCTIFIANTE ANNÉE DANS LA PAIX DE DIEU

Paroles du Pape François

En ce 1er janvier, où l’Église célèbre la Solennité de Sainte Marie, Mère de Dieu, la traditionnelle messe pour la paix a eu lieu en la Basilique Saint-Pierre de Rome. Le Pape François a délivré une homélie centrée sur trois verbes accomplis en Marie: bénir, naître et trouver.

Bénir. Ce n’est pas une pieuse exhortation, c’est une demande précise, souligne le Pape. «C’est important qu’aujourd’hui aussi les prêtres bénissent le Peuple de Dieu, sans relâche; et qu’également tous les fidèles soient porteurs de bénédiction, qu’ils bénissent. Le Seigneur sait que nous avons besoin d’être bénis: la première chose qu’il a faite après la création a été de dire du bien de toute chose et de dire beaucoup de bien de nous», a-t-il ajouté. Et le Saint-Père de nous rappeler que «Jésus est la bénédiction du Père, donc chaque fois que nous ouvrons le cœur à Jésus, la bénédiction de Dieu entre dans notre vie.»

Marie, bénie par la grâce

En faisant de la place à Marie, nous sommes bénis, mais nous apprenons aussi à bénir, poursuit le Pape. «La Vierge Marie, en fait, enseigne que la bénédiction se reçoit pour être donnée.» Elle, la bénie, a en effet été une bénédiction pour toute personne qu’elle a rencontrée: pour Elisabeth, pour les époux à Cana, pour les apôtres au Cénacle… Nous aussi, nous sommes appelés à bénir, à dire du bien au nom de Dieu, souligne l’évêque de Rome, déplorant que le monde soit «gravement pollué» par le fait de dire du mal et de penser du mal des autres, de la société, de soi-même. «La médisance corrompt, fait tout dégénérer, tandis que la bénédiction régénère, donne la force pour recommencer.» 

«Demandons à la Mère de Dieu la grâce d’être pour les autres des porteurs joyeux de la bénédiction de Dieu, comme elle pour nous», enjoint ainsi le Successeur de Pierre.

Le primat de l’Incarnation

Naître. Saint Paul souligne que le Fils de Dieu est «né d’une femme» (Ga 4, 4). En peu de paroles il nous dit une chose merveilleuse, observe François. «Le Seigneur est né comme nous. Il n’est pas apparu adulte, mais enfant; il n’est pas venu au monde tout seul, mais d’une femme. Le cœur du Seigneur a commencé à palpiter en Marie, le Dieu de la vie a pris d’elle l’oxygène.» Dès lors, Marie nous unit à Dieu parce qu’en elle Dieu s’est lié à notre chair et ne l’a plus laissée, remarque le Primat d’Italie, précisant combien Marie était davantage que «le pont entre nous et Dieu»: «Elle est la route que Dieu a parcourue pour parvenir à nous et elle est la route que nous, nous devons parcourir pour parvenir à lui. Par Marie nous rencontrons Dieu comme lui le veut: dans la tendresse, dans l’intimité, dans la chair», estime le Souverain pontife, insistant sur le caractère incarné. «Oui, parce que Jésus n’est pas une idée abstraite, il est concret, incarné, il est né d’une femme et a grandi patiemment.»

Et le Pape de développer: «Les femmes connaissent ce pragmatisme patient: nous les hommes, nous sommes souvent abstraits et nous voulons quelque chose tout de suite; les femmes sont concrètes et savent tisser avec patience les fils de la vie. Combien de femmes, combien de mères font naître et renaître la vie de cette manière, en donnant un avenir au monde !» s’exclame le Saint-Père.

Le vaccin du cœur est le soin

La sainte Mère de Dieu nous enseigne donc que le premier pas pour donner vie à tout ce qui nous entoure est de l’aimer en nous. Pour François, il apparaît alors important «d’éduquer le cœur au soin, à tenir beaucoup aux personnes et aux choses.» «Tout part d’ici, du fait de prendre soin des autres, du monde, de la création. Il ne sert à rien de connaître beaucoup de personnes et beaucoup de choses si nous n’en prenons pas soin», garantit le Successeur de Pierre.  

Cette année, alors que nous espérons une renaissance et de nouveaux traitements, ne négligeons pas le soin, exhorte le Pape, rappelant qu’en plus du vaccin pour le corps, il nous faut le vaccin pour le cœur: c’est le soin. «Ce sera une bonne année si nous prenons soin des autres, comme fait la Vierge Marie avec nous», affirme-t-il, passant au troisième verbe «Trouver».

Chaque jour, trouver Dieu

L’Évangile dit que les bergers «découvrirent Marie et Joseph, avec le nouveau-né» (v. 16). «Ils n’ont pas trouvé de signes prodigieux et spectaculaires, mais une simple famille», constate François. «Là, cependant, ils ont vraiment trouvé Dieu, qui est grandeur dans la petitesse, force dans la tendresse. Mais comment firent les bergers pour trouver ce signe si peu visible? Ils ont été appelés par un ange. Nous aussi, nous n’aurions pas trouvé Dieu si nous n’avions pas été appelés par grâce.»

C’est alors que, selon le Souverain pontife argentin, nous avons découvert «que son pardon fait renaître, sa consolation allume l’espérance, sa présence donne une joie irrépressible Nous l’avons trouvé, mais nous ne devons pas le perdre de vue, prévient le Pape. «Le Seigneur, en effet, ne se trouve pas une fois pour toutes: il doit être trouvé chaque jour. Pour accueillir la grâce, il faut rester actifs.»

Avant d’interroger les fidèles: «Et nous, qu’est-ce que nous sommes appelés à trouver au début de l’année?»

Offrir le cadeau du temps

«Il serait beau de trouver du temps pour quelqu’un. Le temps est la richesse que nous avons tous, mais dont nous sommes jaloux parce que nous voulons l’utiliser seulement pour nous. La grâce de trouver du temps pour Dieu et pour le prochain doit être demandée: pour celui qui est seul, pour celui qui souffre, pour celui qui a besoin d’écoute et de soin», répond François. Ainsi si nous trouvons du temps à offrir, nous serons émerveillés et heureux, comme les bergers, conclut le Saint-Père, invoquant la Vierge Marie, qui a amené Dieu dans le temps, pour qu’elle nous aide à donner de notre temps. «Sainte Mère de Dieu, nous te consacrons la nouvelle année.»

Source : https://www.vaticannews.va/

Notre Père

Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous  aujourd’hui  notre  pain  de  ce  jour.
Pardonne  nous  nos  offenses,  comme  nous  pardonnons  aussi  à  ceux qui nous ont offensé.
Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal.

Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Par ta miséricorde, libère-nous du péché, rassure-nous devant  les  épreuves  en  cette  vie  où  nous  espérons  le  bonheur  que  tu  promets  et  l’avènement  de  Jésus  le Christ,  notre  Sauveur.

Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen !

Seigneur  Jésus-Christ,  tu  as  dit  à  tes  Apôtres  :  « Je  vous  laisse  la  paix,  je  vous  donne  ma  paix ». Ne  regarde  pas  nos  péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen !

Prière à Marie





Je vous salue Marie pleine de grâce, le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.

#VieFraternelle #Jésus #SoyonsVivantsEnsemble #SaintEsprit #Evangile #Prière #Prier

%d blogueurs aiment cette page :