La Parole est un trésor qui renouvelle la vie chaque jour

Seigneur, ouvre mes oreilles pour que je puisse entendre ta voix. Instruis mon intelligence pour que je comprenne ce que tu veux me révéler. Dispose mon cœur pour aimer ta Parole et te répondre comme un disciple-missionnaire.

Bonjour les amis,

Posons nous quelques instants, confortablement installés, au frais, pour lire, méditer, sentir, goûter les textes de la liturgie de ce jour.
Ce matin dans la 1ère lecture, Dieu demande à Salomon (et à nous tous) : « Demande ce que je dois te donner. ». Les réponses des différentes lectures sont très belles et doivent nous inspirer : un cœur attentif, savoir discerner entre le bien et le mal, l’attention au prochain, la sagesse, la tendresse, être juste, être disciple du royaume des Cieux.
La réponse de Dieu à Salomon  est aussi belle : « je fais ce que tu as demandé : je te donne un cœur intelligent et sage, tel que personne n’en a eu avant toi et que personne n’en aura après toi. » 
Dans l’évangile du jour, Jésus nous dit que recevoir la Bonne Nouvelle du Royaume de Dieu exige de notre part un choix et que cela mérite que nous choisissions entre les biens éphémères de ce monde qui passe, et la participation à la gloire de Dieu, dans le Royaume qui lui ne passera pas. Celui qui a découvert le véritable enjeu de cette vie, s’en va tout joyeux vendre tout ce qu’il possède pour acquérir ce champ précieux et en extraire son trésor spirituel. Se joignant au Psalmiste il peut alors chanter : « Mon partage, Seigneur, c’est d’observer tes paroles. Mon bonheur, c’est la loi de ta bouche, plus qu’un monceau d’or ou d’argent ! » (Ps 118).
Les exigences que Jésus pose pour notre vie de baptisés ne sont pas dans la demi-mesure. Tout dans nos vies doit se juger uniquement à la lumière du Royaume de Dieu. « Réintroduire dans nos pensées, nos jugements, nos comportements, une référence au Royaume de Dieu qui vient, disait Mgr Coffy, est aujourd’hui une tâche essentielle de l’Eglise. »
Même pour les scribes qui étaient familiers de l’Ancien Testament, bien qu’habités par la foi et l’espérance, accueillir la nouveauté qu’apportait Jésus était un effort important par rapport à leurs idées préconçues du Royaume. Ce message s’adresse aussi à nous. Jésus les (et nous) prévient que pour accueillir le Royaume il y aura des renoncements à opérer : Vous allez devenir propriétaires d’un trésor fait de neuf et d’ancien. Il vous faudra savoir garder tous les acquis de l’Ancien Testament, tout son trésor de découverte du mystère de Dieu et, en même temps, vous préparer à accueillir la nouveauté révélée par Jésus-Christ. Cela rappelle évidemment cette Parole de Jésus :  » Je ne suis pas venu abolir mais accomplir ».
Pour nous aussi accueillir le Royaume implique des efforts et des renoncements quotidiens.
« Avez vous compris tout cela? »
C’est une interrogation de Jésus que nous avons entendu dans presque toutes les paraboles Bien comprendre quoi ? Jésus respecte notre liberté tout d’abord. Pour adhérer à ce qu’il attend de nous, il nous faut comprendre la valeur du trésor et de la perle. Quand les acteurs de ces paraboles décident librement de vendre tout, ils sont ravis et joyeux.
Nos renoncements quotidiens pour le Royaume de Dieu ne doivent pas nous rendre moroses, au contraire. Dans ses dernières paroles du Jeudi-Saint, avant de mourir Jésus a dit à ses disciples : ”Je vous ai dit tout cela pour que Ma joie soit en vous et que VOTRE joie soit parfaite.” (Jean 15.11).
Comme nous disons dans la prière sur les offrandes du jour : “Que tes mystères très saints, où ta grâce opère avec puissance, sanctifient notre vie de tous les jours et nous conduisent aux joies éternelles”. Prenons le temps de méditer et peser la richesse d’une phrase si brève et si dense.
Que pourrions-nous imaginer de plus précieux que la foi qui fait de nous les héritiers du Dieu vivant ?

L’Abbé Link nous propose cette prière :
Loué sois-tu Père, toi qui nous appelles jour après jour à nous laisser réconcilier avec toi par ton Fils en qui nous sommes justifiés, afin de pouvoir nous donner part à ta gloire. Mais ce mystère de grâce n’est accessible que dans la foi, c’est-à-dire dans l’accueil inconditionnel de la Révélation de ton dessein d’amour.
Donne-nous de nous tenir devant ta Parole comme une page blanche sur laquelle l’Esprit écrit en lettres de feu le mystère de notre filiation divine.
Qu’à travers ombres et lumières nous puissions grandir vers la vraie connaissance, celle qui nous identifie à Jésus-Christ Notre-Seigneur, en qui nous sommes tes enfants.

Que cet été nous permette de nous ressourcer, de nous reposer, de vivre de beaux moments de joie en famille ou entre amis, peut-être de renouer des relations abîmées par cette période difficile, de dialoguer encore plus avec le Seigneur, de rallumer des flammes dans les cœurs, de prendre soin de nous…
Nathalie et Pascal

CHANT

Il n’y a vraiment personne comme Jésus Cherchons sans relâche Jésus dans nos vies … Cela en vaut vraiment la peine car …

Il n’y a vraiment personne comme Jésus, Il n’y a vraiment personne comme Jésus,
Il n’y a vraiment personne comme Jésus, Il n’y a vraiment personne comme lui.

J’ai cherché, cherché, personne, personne …
J’ai creusé, creusé, personne, personne …
J’ai fouillé, fouillé, personne, personne …

Il n’y a vraiment personne comme lui.

EVANGILE

« Il va vendre tout ce qu’il possède, et il achète ce champ » (Mt 13, 44-52)

Évangile de Jésus Christ selon Saint Matthieu

En ce temps-là, Jésus disait à la foule ces paraboles :
    « Le royaume des Cieux est comparable
à un trésor caché dans un champ ;
l’homme qui l’a découvert le cache de nouveau.
Dans sa joie, il va vendre tout ce qu’il possède,
et il achète ce champ.
    Ou encore :
Le royaume des Cieux est comparable
à un négociant qui recherche des perles fines.
    Ayant trouvé une perle de grande valeur,
il va vendre tout ce qu’il possède,
et il achète la perle.
    Le royaume des Cieux est encore comparable
à un filet que l’on jette dans la mer,
et qui ramène toutes sortes de poissons.
    Quand il est plein, on le tire sur le rivage,
on s’assied,
on ramasse dans des paniers ce qui est bon,
et on rejette ce qui ne vaut rien.
    Ainsi en sera-t-il à la fin du monde :
les anges sortiront pour séparer les méchants du milieu des justes
    et les jetteront dans la fournaise :
là, il y aura des pleurs et des grincements de dents. »
    « Avez-vous compris tout cela ? »
Ils lui répondent : « Oui ».
    Jésus ajouta :
« C’est pourquoi tout scribe
devenu disciple du royaume des Cieux
est comparable à un maître de maison
qui tire de son trésor du neuf et de l’ancien. »

Méditation du Pasteur J.P. Sternberger (RCF)

« ce qui embellit le désert, écrivait Antoine de Saint Exupéry, c’est qu’il cache un puits »
« ce qui embellit le monde, aurait pu dire Jésus, c’est qu’il recèle le Royaume ».

Chacun de nous cherche un trésor, une perle, un amour, un sens à sa vie. Le trésor est tout près et la perle très pure dit Jésus. L’un comme l’autre sont à portée de main. Mais il faut acheter le champ, acheter la perle, acheter le monde où sont cachés la perle et le trésor. Comment achèterions-nous le monde ?
Alors le Royaume des Cieux est aussi semblable à un filet remonté par les anges, un filet de pêcheur plus grand que le monde et peuplé d’innombrables créatures. L’immense travail des anges consiste à remettre de l’ordre là où tout n’était qu’injustice et chaos. Mais qui peut dire qu’il sera trouvé juste aux yeux des anges et de Dieu ?
Aussi nous voici en ce dimanche matin, avec d’une part et à portée de main le trésor et la perle, et d’autre part, qui déjà nous enserre, le filet et les anges. Nous n’avons pas su acheter le champ du monde. Les anges commencent à remonter à la surface des eaux le grand filet de l’histoire dont le trésor et la perle nous ont échappé. Et toi Seigneur Jésus, où te trouves-tu ?
Moi, je dis que la perle, le trésor, c’est aussi ta parole. Le puits qui embellit le désert c’est encore ta parole. Le champ payé par toi et la perle donnée, c’est déjà ta parole. pour nous.
Amen

Homélie du Père Maximin Noudehou

« Avez-vous compris tout cela ? »
Jésus continue d’instruire sur le Royaume des Cieux. « Le royaume des Cieux est comparable à un trésor caché dans un champ ; l’homme qui l’a découvert le cache de nouveau. Dans sa joie, il va vendre tout ce qu’il possède, et il achète ce champ. » Le Royaume se laisse trouver à l’improviste. Il est à portée de main. Il a suffi à cet homme de passer par ce champ avec un minimum de présence à soi pour découvrir ce trésor. Sa première réaction est d’en prendre soin : le cacher à nouveau. Sa seconde réaction est de se dépouiller de tout pour acquérir ce trésor en acquérant le champ.
Le Royaume des Cieux nous est présenté par le Seigneur comme un trésor. Comprendre cela, c’est se rendre à l’évidence qu’il est d’une valeur incommensurable. C’est se rendre compte qu’il nous est proposé, accessible mais nous avons à savoir l’apprécier, à en prendre soin comme un bien qui nous est déjà propre et, en même temps, un bien à acquérir. Pourquoi cet homme n’emporte-t-il pas simplement ce trésor mais le cache à nouveau dans ce champ pour aller ensuite tout vendre et acquérir ce champ ? N’est-ce pas là un risque énorme d’être doublé, une perte de temps, une perte d’argent ?
Nous avons à comprendre que le Royaume des Cieux se donne à nous dans le champ de ce monde. Il est à l’œuvre dans ce monde comme le levain. Et Dieu veut que ce soit dans ce monde que nous commencions à en faire l’expérience car Lui, Il est avec nous dans ce monde contrairement à l’idée qu’Il nous y abandonne. Alors, la découverte du Royaume en ce monde, ne saurait nous amener à quitter ce monde : le Seigneur nous veut en ce monde. (Jn 17, 15) La découverte du Royaume nous invite à porter un regard nouveau sur ce monde, à en découvrir la valeur en lien avec ce trésor. Ainsi, ce trésor est l’essentiel. Pour cette raison, nous avons à nous investir pleinement dans ce monde en vue d’acquérir ce trésor. La nécessité de tout vendre pour l’acquérir en exprime l’absolu, certes. Mais, il exprime surtout qu’il ne s’agit pas d’un bien à posséder : il s’agit d’un trésor à vivre, d’un projet de vie. Ce trésor sollicite tout notre être à tel point que nous ne pouvons pas y être en nous préoccupant encore de l’avoir. (Cf. Mt 19, 21 ; Mc 10, 21).
Le monde ne vaut qu’en fonction de Dieu et de son Royaume.
Qu’est-ce qui motive ton existence en ce monde ?

« Avez-vous compris tout cela ?« 
Parfois, le Royaume des Cieux se fait désirer comme la perle précieuse. Il apparaît au bout d’une longue recherche. Il surgit sur le chemin d’une démarche de relecture, de discernement.
Le Royaume des Cieux est aussi la récompense des chercheurs de Dieu. Dieu ne se dérobe donc pas à ceux qui Le cherchent ! Toutes nos facultés sont à investir dans cette recherche. Elle peut connaître des étapes où certains biens, certaines valeurs morales voire spirituelles peuvent nous donner l’illusion d’être déjà au but. Le Seigneur nous demande aujourd’hui de ne point arrêter de chercher : le meilleur reste toujours à venir.
Notre vie est une quête permanente. Elle ne doit être qu’une quête permanente de Dieu. Mais, il s’agit là également d’une recherche qui aboutit au don et à l’abandon total de soi.
Pour Dieu, pas de demi-mesure.
Qu’est-ce mobilise tes énergies au quotidien ?

« Avez-vous compris tout cela ? »
La troisième parabole fait comprendre que le Royaume ne se limite nullement à ce monde. « Ainsi en sera-t-il à la fin du monde : les anges sortiront pour séparer les méchants du milieu des justes et les jetteront dans la fournaise : là, il y aura des pleurs et des grincements de dents. » Les anges interviennent pour exécuter la Volonté de Dieu, pour rendre à chacun selon ses œuvres.
Le Royaume n’est pas en notre possession. Nous y sommes introduits en fonction aussi de la qualité de notre être, de la qualité de notre amour pour Dieu et le prochain (juste ou méchant). Le Royaume des Cieux exige de nous que nous choisissions et que nous persévérions jusqu’à la fin du monde. Car c’est à ce moment que nous comprendrons réellement tout cela. Ce qui nous est déjà accessible à travers cette troisième parabole, c’est que nous sommes le trésor de Dieu. Voilà pourquoi Il envoie ses anges nous récupérer. Durant toute notre vie, Dieu s’investit pour nous comme un négociant. Il a d’ailleurs tout vendu pour nous. Notre prix, c’est le Très Précieux Sang de son Fils. Pouvait-Il payer plus cher ? Il l’aurait fait !
Le Royaume des Cieux, c’est Dieu à la recherche de l’Homme.
Que gagnerais-tu à te dérober encore aujourd’hui ?

Puissions-nous, par l’intercession de la Très Sainte Vierge Marie, n’avoir que Dieu pour trésor et être tout à Lui déjà en ce monde

Paroles du Pape François

Le Royaume des Cieux est un trésor qui renouvelle la vie chaque jour

Au cours de la prière de l’Angélus le Pape François s’est attardé ce dimanche sur la construction du Royaume à laquelle Jésus invite. Une construction qui requiert la grâce de Dieu mais aussi la disponibilité active de l’homme.

Devant les pèlerins réunis sur la place Saint-Pierre pour la prière de l’Angélus, le Pape François a repris ce dimanche l’Évangile de Saint Matthieu où Jésus s’adressant aux foules leur explique ce qu’est le Royaume des Cieux. Pour cela, Jésus esquisse trois paraboles: celle du trésor caché dans le champ, celle de la perle précieuse et celle du filet jeté à la mer. Le Saint-Père a choisi de s’attarder sur les deux dernières, pour en expliquer le sens, soulignant que «la réaction de celui qui trouve la perle ou le trésor est pratiquement la même : l’homme et le marchand vendent tout pour acheter ce qui leur est maintenant le plus cher». 

En s’adressant aux foules Jésus propose de nous impliquer dans la construction du Royaume des Cieux, «en présentant une caractéristique essentielle de celui-ci : ceux qui sont prêts à tout jouer pour eux-mêmes adhèrent pleinement au Royaume» a relevé le Pape. L’homme qui trouve le trésor comme le marchand de perles fines vendent tout ce qu’ils ont, abandonne leur sécurité matérielle. «On peut en déduire que la construction du Royaume requiert non seulement la grâce de Dieu mais aussi la disponibilité active de l’homme» a précisé François.

Le Royaume des Cieux est le contraire des choses superflues

Nous sommes ainsi appelés à prendre l’attitude de ces deux personnages évangéliques a poursuivi le Saint-Père, en abandonnant «le lourd fardeau de nos certitudes mondaines qui nous empêchent de chercher et de construire le Royaume : la soif de possession, la soif de profit et de pouvoir, en ne pensant qu’à nous-mêmes.» 

Le Royaume des Cieux n’est en rien bâti sur l’illusoire, «il est le contraire des choses superflues que le monde offre, il est le contraire d’une vie banale : c’est un trésor qui renouvelle la vie chaque jour et l’élargit vers des horizons plus vastes» a encore relevé le Pape. Ceux qui ont trouvé ce trésor on «un cœur créatif et chercheur, qui trace et suit de nouveaux chemins, qui nous amènent à aimer Dieu, à aimer les autres, à nous aimer vraiment nous-mêmes.»

Jésus, qui est le trésor caché, a conclu François, et la perle de grande valeur «ne peut qu’éveiller la joie, toute la joie du monde : la joie de découvrir un sens à sa vie, la joie de se sentir engagé dans l’aventure de la sainteté.»

Le Pape invite à renforcer la tendresse entre jeunes et personnes âgées

Une nouvelle fois le Pape a invité à renforcer les liens de fraternité et de tendresse entre les jeunes et leurs grands-parents, mais aussi avec l’ensemble des personnes âgées.

Le Pape a lancé cet appel au terme de l’Angélus : «En mémoire des saints Joachim et Anne, les grands-parents de Jésus, je voudrais inviter les jeunes à faire un geste de tendresse envers les personnes âgées, surtout les plus seules, dans les maisons et les résidences, celles qui n’ont pas vu leurs proches depuis tant de mois. Chers jeunes, chacune de ces personnes âgées est votre grand-père ! Ne les laissez pas seuls !», a-t-il supplié, dans le contexte dramatique de la pandémie et du confinement qui a condamné des millions de personnes âgées à une solitude qui s’est avérée mortelle pour certains, par syndrome de glissement.

François a donc exhorté les jeunes à passer des appels téléphoniques, des appels vidéo, à envoyer des messages, à les écouter et même dans le respect des règles de santé, à leur rendre visite et à les embrasser, même symboliquement et à distance. «Ce sont vos racines. Un arbre détaché de ses racines ne pousse pas, il ne donne pas de fleurs et de fruits. C’est pourquoi il est important d’être uni et connecté à ses racines. Ce que l’arbre a fleuri vient de ce qu’il a enterré, dit un poète de ma patrie. C’est pourquoi je vous invite à applaudir nos grands-parents, tous !», a lancé François.

L’attachement de François à sa grand-mère

Le pape François, durant son pontificat, a souvent évoqué les enseignements d’une femme qui a donné une empreinte précieuse à son chemin de foi. «C’est surtout ma grand-mère, la mère de mon père, qui a marqué mon parcours de foi», avait déclaré le Souverain Pontife lors de la Vigile de la Pentecôte le 18 mai 2013.

«C’était une femme qui nous expliquait, nous parlait de Jésus, nous enseignait le Catéchisme». «Je me souviens toujours que le Vendredi Saint, elle nous emmenait le soir à la procession des bougies et qu’à la fin de cette procession, le « Christ couché » arrivait, et que grand-mère nous faisait nous agenouiller, nous les enfants, en disant : « Regarde, il est mort, mais demain il ressuscitera ». J’ai reçu la première annonce chrétienne de cette même femme, de ma grand-mère», avait alors confié le Pape argentin.

La prière des grands-parents est un cadeau

Les grands-parents sont souvent la force motrice de la transmission de la foi. «C’est un grand don pour l’Église», a souligné le Pape François lors de l’audience générale du 11 mars 2015, «la prière des grands-parents et des anciens ! La prière des anciens et des grands-parents est un cadeau pour l’Église, c’est une richesse ! C’est une grande injection de sagesse également pour l’ensemble de la société humaine : surtout pour celui qui est trop occupé, trop distrait».

Et encore aujourd’hui, lui-même devenu octogénaire, le Pape François garde cette dévotion filiale et cet attachement à sa grand-mère. «Les paroles des grands-parents ont quelque chose de spécial pour les jeunes. Et ils le savent. Les mots que ma grand-mère m’a donnés par écrit le jour de mon ordination sacerdotale, je les porte toujours avec moi, toujours dans mon bréviaire et je les lis souvent et cela me fait du bien.», avait-il confié lors de cette même audience.

Pape François, Angelus, 26 Juillet 2020, Place St Pierre

Notre Père

Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous  aujourd’hui  notre  pain  de  ce  jour.
Pardonne  nous  nos  offenses,  comme  nous  pardonnons  aussi  à  ceux qui nous ont offensé.
Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal.

Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Par ta miséricorde, libère-nous du péché, rassure-nous devant  les  épreuves  en  cette  vie  où  nous  espérons  le  bonheur  que  tu  promets  et  l’avènement  de  Jésus  le Christ,  notre  Sauveur.

Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen !

Seigneur  Jésus-Christ,  tu  as  dit  à  tes  Apôtres  :  « Je  vous  laisse  la  paix,  je  vous  donne  ma  paix ». Ne  regarde  pas  nos  péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen !
Prière à Marie, cette semaine nous aurions dû être à Lourdes avec les malades et les jeunes du Diocèse. Une délégation réduite de notre diocèse y était présente. Pensons et prions avec et pour eux.




Je vous salue Marie pleine de grâce, le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.

#VieFraternelle #Jésus #SoyonsVivantsEnsemble

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