Amis en Christ

Bonjour les amis,

La providence nous amène à lire et vivre deux jours de suite le même évangile. Cela doit nous aider à ancrer ce message fondamental dans notre cœur.

Confortablement installés, nous nous asseyons au milieu des amis de Jésus qui L’ont suivi tout au long de Sa vie. Fermons les yeux et écoutons-Le.

« Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés.
Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime…
Je ne vous appelle plus serviteurs, …..je vous appelle mes amis….
Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, c’est moi qui vous ai choisis et établis
afin que vous alliez, que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure. »

Jésus nous demande d’être son ami, nous appelle à le suivre sur son chemin ou plutôt nous propose de nous suivre sur notre chemin, et nous demande de semer sa Bonne Nouvelle tout le long de notre chemin de vie.

Accueillons ces paroles en nous, goutons-les. Qu’est-ce que cela me fait ? Jésus m’ a choisi et veut être mon ami ! Et moi est-ce que je consens à être son ami ? (cf lettre d‘hier)

En cette période « d’isolement physique », cela nous donne d’abord envie de tous vous prendre dans les bras, de vous embrasser, de vous dire combien nous vous aimons et combien vous nous avez manqué.

Quelqu’un a dit, il n’y pas d’amour, il n’y a que des preuves d’amour. L’amour se voit plus dans les actes que dans les paroles.
Ces commandements nous demande clairement de la volonté, la volonté de nous abandonner à Jésus, de Lui prouver notre Amour en le montrant par des gestes envers nos frères et sœurs.
Quelles occasions récentes ai-je eues de faire un geste d’amour ou d’amitié envers un prochain ?

Que sont ces fruits qui demeurent, que Jésus me demande de porter ?
Oui c’est à moi que jésus parle !
Comment puis-je suivre Jésus davantage, Lui prouver encore plus mon amitié ?
Que puis-je faire pour que ma foi soit réellement féconde et sème encore plus de graines dans le cœur de celles et ceux qui croisent mon chemin ?

L’amour, la joie, et la foi ont cette particularité que plus on les partage, plus ils grandissent. Le partage est une des plus belles prières que l’on puisse faire.
Esprit-Saint donne-moi la force de m’abandonner à l’amour que Jésus nous transmets et donne-moi la force de partager encore plus cet amour.
Fermons les yeux et imaginons la grâce de ce lâcher-prise et le bien-être intérieur qu’il apporte.
Inspire-moi un choix concret d’acte d’amour envers quelqu’un que je rencontrerai aujourd’hui.
Comme dans le psaume du jour, que je puisse crier : Mon cœur est prêt, mon Dieu, mon cœur est prêt !

Belle prière à tous,
Nathalie et Pascal

P.S. : Ce blog est le votre. Vous pouvez y mettre vos réactions, prières, intentions, témoignages … C’est un bonheur de partager ensemble notre foi, nos doutes, nos joies,…bref ce que le Seigneur nous donne de vivre. N’hésitez pas à faire connaitre ce blog !

CHANT

Aimer c’est tout donner (Chant des Béatitudes)
Seigneur, tu nous dis de nous aimer les uns et les autres. Oui … mais comment faire ? Notre Sainte patronne paroissiale, la petite Thérèse de l’Enfant-Jésus, nous a proposé un chemin : Aimer c’est tout donner et se donner soi-même. Puissions-nous, à son image, aimer ainsi.

Aimer c’est tout donner, aimer c’est tout donner, Aimer c’est tout donner et se donner soi-même

1. Quand je parlerais les langues des hommes et des anges,
Si je n’ai pas l’Amour, je suis comme l’airain qui sonne
Ou la cymbale qui retentit.

2. Si je prophétisais et connaissais tous les mystères,
Si j’avais la foi à transporter les montagnes
Sans l’amour je ne suis rien

3. Quand je distribuerai ce que je possède en aumône
Et si je livrerai mon corps à brûler dans les flammes
Cela ne me sert de rien.

EVANGILE

« Voici ce que je vous commande : c’est de vous aimer les uns les autres » (Jn 15, 12-17)

Évangile de Jésus Christ selon Saint Jean

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples :
« Mon commandement, le voici :
Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés.
Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime.
Vous êtes mes amis si vous faites ce que je vous commande.
Je ne vous appelle plus serviteurs, car le serviteur ne sait pas ce que fait son maître ;
je vous appelle mes amis, car tout ce que j’ai entendu de mon Père, je vous l’ai fait connaître.
Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, c’est moi qui vous ai choisis et établis
afin que vous alliez, que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure.
Alors, tout ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donnera.
Voici ce que je vous commande : c’est de vous aimer les uns les autres. »

– Acclamons la Parole de Dieu : Louange à toi, Seigneur Jésus !

Méditation du Pasteur Sternberger  (RCF)

Une des différences entre l’amour et l’amitié, écrit le philosophe André Conte-Sponville, c’est que l’amitié est toujours réciproque. On peut aimer son ennemi, on ne peut pas, s’il ne le souhaite pas, être son ami. Il y a dans l’amitié quelque chose de l’ordre de la réciprocité et donc quelque chose qui ressemble à une alliance entre des personnes à égalité l’une face à l’autre. 
« Vous êtes mes amis« , dit Jésus à ses disciples. Et lui-même se déclare du coup leur ami.
Or, dans le même temps Jésus commande. Il est pour les disciples un maître spirituel, un enseignant. Mais un maître qui demande à ses disciples, à tous ses disciples— nous y compris — de s’aimer les uns les autres comme il nous a aimés.
Mais je note au passage qu’il ne nous demande pas d’être amis les uns avec les autres. Car l’amitié est par définition réciproque et c’est au-delà de toute réciprocité qu’il nous demandé de nous aimer les uns les autres.
Si tu aimes le Christ, tu peux être son ami car lui t’aime au point de donner sa vie pour toi et toi tu aimeras tes sœurs et frères sans rien attendre d’eux car l’amour du Christ te suffira. C’est ainsi que jusque dans l’Église nous aimerons, s’ils existent, nos ennemis.
Seigneur j’ai peut-être dans ton Église des ennemis dont je sais que tu as voulu faire tes amis.
Apprends-moi à les aimer, si ce n’est comme toi tu as aimé, tout au  moins parce que toi, tu les aimes.
Amen

Extraits de l’homélie de l’Abbé Link

https://carrefours.alsace

Aimer ! Ce don de nous-mêmes n’est pas le fruit d’une générosité humaine, aussi louable soit-elle.

Un tel comportement manifesterait que nous sommes encore des serviteurs ; or Jésus précise : « Je ne vous appelle plus serviteurs mais amis, car tout ce que j’ai appris de mon Père, je vous l’ai fait connaître ».

Notre-Seigneur nous signifie par-là que nous sommes invités à abandonner nos efforts stériles – n’avons-nous pas tous fait la douloureuse expérience de notre impuissance à aimer de charité ? – pour entrer avec lui dans l’abandon à l’Esprit d’amour du Père qu’il nous a fait connaître.

Pour être sûr qu’il ne subsiste aucune ambiguïté, Jésus souligne qu’une telle fécondité, toute surnaturelle, de nos vies, n’est possible qu’en raison de son appel : « C’est moi qui vous ai choisis et établis afin que vous donniez du fruit, et que votre fruit demeure ».

Dans sa première lettre, Saint Jean nous précise que cet appel qui nous vient par le Fils, émane ultimement du Père lui-même : « Voici à quoi se reconnaît l’amour : ce n’est pas nous qui avons aimé Dieu, c’est lui qui nous a aimés, et il a envoyé son Fils qui est la victime offerte pour nos péchés » (1 Jn 4, 10).

C’est donc dans l’appel du Père, qui nous vient par son Fils, que nous trouverons la force de nous arracher à notre inertie, pour entrer dans cette logique déconcertante du don de nous-même, dans un élan qui ne vient pas de nous !

Dieu donne ce qu’il ordonne ; seule sa Parole créatrice peut prendre autorité sur notre mort spirituelle – c’est-à-dire notre impuissance à vivre dans la charité – et nous resituer dans le grand courant de l’amour filial, en dehors duquel nos vies demeurent stériles.

Lorsque Notre-Seigneur nous dit : « Aimez-vous les uns les autres », il nous demande simplement d’être les uns pour les autres les canaux de l’amour du Père pour chacun de ses enfants.

Somme toute, notre seule préoccupation devrait être de guetter les mouvements de l’Esprit, afin de ne pas résister à ses motions, et consentir ainsi à vivre dans l’Amour de charité qui vient de Dieu. « Alors tout ce que vous demanderez au Père en mon Nom, il vous l’accordera », car « ce qui glorifie mon Père, c’est que vous soyez pour moi des disciples et que vous portiez du fruit en abondance » (Jn 15, 8).

Ne nous préoccupons donc plus de notre faiblesse : c’est encore de l’orgueil que de nous en chagriner. Acceptons notre impuissance puisque c’est en elle que va se déverser la toute-puissance divine : « Ma grâce te suffit : ma puissance donne toute sa mesure dans la faiblesse » (2 Co 12, 9).

Osons nous livrer à l’amour, dans la certitude que c’est notre petitesse qui attire le regard du Très-Haut. « Je n’hésiterai donc pas à mettre mon orgueil dans mes faiblesses, afin que la puissance du Christ habite en moi » (Ibid.).

Et pour nous stimuler dans notre marche, souvenons-nous de cette Parole si consolante de Notre-Seigneur : « Je vous ai dit cela pour que ma joie soit en vous et que vous soyez comblés de joie ».

Homélie du Pape François

Messe à Sainte-Marthe, Vendredi 15 Mai 2020

Aujourd’hui le Pape a commenté le passage des Actes des Apôtres (Ac 15, 22-31) dans lequel Paul et Barnabé sont envoyés aux païens convertis d’Antioche, choqués et bouleversés par les discours de certains venus à eux sans aucun mandat. Les Apôtres apportent une lettre qui encourage et apaise la communauté de ces nouveaux convertis, leur expliquant qu’ils ne sont pas obligés de circoncire selon la loi mosaïque, comme l’exigeaient certains pharisiens devenus chrétiens.

«Dans le livre des Actes des Apôtres, nous voyons que dans l’Église, au début, il y avait des temps de paix, il est dit tant de fois : l’Église grandissait, dans la paix, et l’Esprit du Seigneur se répandait ; des temps de paix (cf. Ac 9, 31). Il y eut aussi des temps de persécution, à commencer par la persécution d’Étienne (cf. Ac 7, 59), puis Paul persécuté, converti, puis persécuté lui aussi (cf. Ac 13, 50)… Des temps de paix, des temps de persécution, et même des temps de bouleversements. Et c’est là le sujet de la première lecture d’aujourd’hui : une période de bouleversements. «Certains des nôtres, comme nous l’avons appris – les apôtres écrivent aux chrétiens venus du paganisme – sont allés, sans aucun mandat de notre part, tenir des propos qui ont jeté chez vous le trouble et le désarroi» (Ac 15, 24).

Que s’est-il passé ? Ces chrétiens venus des païens avaient cru en Jésus-Christ et reçu le baptême, et ils étaient heureux : ils avaient reçu le Saint-Esprit. Du paganisme au christianisme, sans aucune étape intermédiaire. Au lieu de cela, ceux que l’on appelle « les judaïsants » ont affirmé que cela ne pouvait pas se faire. Si l’on était païen, il fallait d’abord devenir juif, un bon juif, puis devenir chrétien, pour être dans la ligne de l’élection du peuple de Dieu. Et ces chrétiens n’ont pas compris cela : « Mais comment, nous sommes des chrétiens de seconde zone ? Ne peut-on pas passer du paganisme directement au christianisme ? N’est-ce pas que la Résurrection du Christ a dissous l’ancienne loi et l’a amenée à une plénitude encore plus grande ?« . Ils étaient bouleversés et il y a eu beaucoup de discussions entre eux. Et ceux qui voulaient cela étaient des gens qui, avec des arguments pastoraux, des arguments théologiques, et même une certaine morale, soutenaient que non : que nous devrions procéder comme ça ! Et cela a remis en question la liberté du Saint-Esprit, voire la gratuité de la Résurrection et de la grâce du Christ. Ils étaient méthodiques. Et aussi rigides. Parmi ceux-ci, Jésus avait dit, à propos de leurs maîtres, des docteurs de la Loi : « Malheureux à vous qui parcourez le ciel et la mer pour faire un seul converti et quand vous l’avez trouvé, vous en faites un fils de la géhenne, deux fois pires que vous. » C’est plus ou moins ce que dit Jésus dans le 23ème chapitre de Matthieu (cf. v.15). Ces gens qui étaient « idéologiques » – plus que « dogmatiques », ils étaient « idéologiques » – ils avaient réduit la Loi, le dogme à une idéologie et « vous devez faire ceci, et ceci, et ceci » : une religion de prescriptions, et avec cela ils ont enlevé la liberté de l’Esprit. Et les gens qui les suivaient étaient des gens rigides, des gens qui ne se sentaient pas à l’aise, qui ne connaissaient pas la joie de l’Évangile. La perfection de la route pour suivre Jésus était la rigidité : « Il faut faire ceci, cela, ceci, cela, ceci… ». Ces gens, ces médecins ont « manipulé » les consciences des fidèles : ou ils les ont rendus rigides… ou ils partaient.

C’est pourquoi, je le répète souvent, je dis que la rigidité n’est pas du bon Esprit, car elle remet en cause la gratuité de la Rédemption, la gratuité de la Résurrection du Christ. Et c’est une chose ancienne : au cours de l’histoire de l’Église, cela s’est répété. Pensons aux Pélagiens, ces… ces rigides, célèbres. Et aussi à notre époque, nous avons vu des organisations apostoliques qui semblaient vraiment bien organisées, qui fonctionnaient bien… mais toutes rigides, toutes égales les unes aux autres, et puis nous avons appris la corruption qui régnait à l’intérieur, même chez les fondateurs.

Là où il y a de la rigidité, il n’y a pas d’Esprit de Dieu, car l’Esprit de Dieu est la liberté. Et ces gens ont voulu agir en ôtant la liberté de l’Esprit de Dieu et la gratuité de la Rédemption : « Pour être justifié, il faut faire ceci, cela, ceci, cela … ». La justification est gratuite. La mort et la résurrection du Christ sont gratuites. Vous ne payez pas, vous n’achetez pas : c’est un cadeau ! Et ils ne voulaient pas faire ça.

La voie est belle : les apôtres se réunissent en ce concile et à la fin ils écrivent une lettre qui commence ainsi : « L’Esprit Saint et nous-mêmes avons décidé de ne pas faire peser sur vous d’autres obligations » (Ac 15,28), et ils mettent ces obligations plus morales, de bon sens : ne pas confondre le christianisme avec le paganisme, avec l’abstention de la chair offerte aux idoles, etc. Et à la fin, ces chrétiens troublés, réunis en assemblée, reçurent la lettre et « à sa lecture, tous se réjouirent du réconfort qu’elle apportait” (v. 31). De la colère à la joie. L’esprit de rigidité vous conduit toujours à vous énerver : « Mais ai-je bien fait ? Ne l’ai-je pas bien fait ? » L’esprit de liberté évangélique vous conduit à la joie, car c’est précisément ce que Jésus a fait avec sa Résurrection : il a apporté la joie ! La relation avec Dieu, la relation avec Jésus n’est pas une relation de ce genre, de « faire des choses » : « Je fais ceci et tu me donnes cela ». Une telle relation, – que le Seigneur me pardonne – commerciale : non ! Elle est libre, tout comme la relation de Jésus avec les disciples est libre. « Vous êtes mes amis » (Jn 15, 14)

« Je ne vous appelle plus serviteurs, je vous appelle amis » (cf. Jn 15). « Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, c’est moi qui vous ai choisis  » (v. 16): c’est la gratuité.

Demandons au Seigneur de nous aider à discerner les fruits de la gratuité évangélique des fruits de la rigidité non-évangélique, et de nous libérer de toute perturbation de ceux qui mettent la foi, la vie de foi sous les prescriptions de la casuistique, les prescriptions qui n’ont aucun sens. Je fais référence à ces prescriptions qui n’ont aucun sens, pas aux Commandements. Qu’il nous libère de cet esprit de rigidité qui nous prive de notre liberté.»

Notre Père

Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous  aujourd’hui  notre  pain  de  ce  jour.
Pardonne  nous  nos  offenses,  comme  nous  pardonnons  aussi  à  ceux qui nous ont offensé.
Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal.

Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Par ta miséricorde, libère-nous du péché, rassure-nous devant  les  épreuves  en  cette  vie  où  nous  espérons  le  bonheur  que  tu  promets  et  l’avènement  de  Jésus  le Christ,  notre  Sauveur.

Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen !

Seigneur  Jésus-Christ,  tu  as  dit  à  tes  Apôtres  :  « Je  vous  laisse  la  paix,  je  vous  donne  ma  paix ». Ne  regarde  pas  nos  péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen !

Marie, douce lumière… guide-nous vers Jésus et vers le Père

Marie, douce lumière,
Porte du ciel et temple de l’Esprit,
Guide-nous vers Jésus et vers le Père,
Mère des pauvres et des tout petits.
 
1. Bénie sois tu, Marie, ton visage rayonne de l’Esprit
Sa lumière repose sur toi, tu restes ferme dans la foi.
 
2. Bénie sois-tu, Marie, en ton sein, tu portes Jésus Christ
Le créateur de tout l’univers, le Dieu du ciel et de la taerre.
 
3. Bénie sois-tu, Marie, la grâce de Dieu t’a envahie
En toi le Christ est déjà sauveur, de tout pêché il est vainqueur.
 
4. Bénie sois-tu, Marie, dans tes mains qui sans cesse supplient
Tu portes la douleur du pêché, le corps de Jésus déchiré.
 
5. Bénie sois-tu, Marie, toi l’icône de l’Eglise qui prie
Pour l’éternité avec tous les saints, les anges te chantent sans fin
%d blogueurs aiment cette page :