La gloire de Dieu, c’est l’homme vivant

Bonjour les amis et Bom dia à nos amis portugais,

Depuis plusieurs jours dans l’évangile, Jésus nous invite à demeurer en lui, c’est-à-dire à garder sa présence en nous, à vivre avec lui, à son écoute, chaque instant de notre journée.

Ce matin encore, quelle belle image que celle que Jésus nous offre. Alors posons-nous confortablement, avec une petite bougie, une croix, une icône, ce qui nous parle de lire pour symboliser et nous mettre en présence du Seigneur. Fermons les yeux et prenons conscience que Dieu est présent en moi. Demandons Lui la grâce de nous rendre présent à Lui.

Puis prenons cette habitude de lire l’Evangile en nous imaginant au milieu des disciples. Contemplons le vigneron dans sa vigne qui coupe les sarments secs et émonde ceux qui donnent du fruit pour en donner encore davantage. Cela nous permet de réfléchir à la manière dont la Parole de Dieu nous a émondé ces derniers temps et nous a permis de porter du fruit.

Nous pouvons aussi nous interroger sur notre manque d’enracinement en Christ et ce qui peut être desséché en nous. Pensons à ce qui, ces derniers jours, nous a nourri en profondeur et ce qui ne nous a pas réellement rassasié, ce qui nous a empêché d’être en Jésus, les appels qui nous ont détourné de Lui.

L’image que Jésus nous propose de la vigne et du vigneron nous aide à nous rappeler que si nous restons en lien avec la source de notre foi, alors nous vivons en – et de – Jésus Christ. Alors nous portons des fruits.

La période actuelle a été et reste propice à nous laisser « émonder » par le Père, à éliminer de notre vie ces « sarments qui ne portent pas de fruits », ces habitudes ou ces manières de faire que nous avions, qui nous paraissaient importantes mais qui sont en réalité stériles.

Demandons au Seigneur la grâce de nous laisser purifier par Lui pour que notre vie, notre foi soit encore plus féconde, et demandons l’aide de l’Esprit-Saint pour ne pas laisser trop vite repousser les mauvais sarments.

Mais nous ne devons pas nous laisser enfermer par les images. D’ailleurs Jésus les a multipliées pour tenter de décrire l’indescriptible : l’Amour de Dieu, la Vie.
Je suis la porte, le berger, le chemin… c’est un vrai livre d’images qui tente de nous faire toucher cet Amour infini de Dieu pour nous, cette vie éternelle.
Dans toutes ces images revient toujours directement ou en filigrane le mot de Vie.

Or la Vie, ce n’est pas quelque chose de statique, de figé dans le temps ou l’espace, de cadré, d’enfermé, de plat comme une image. On peut pas clairement et complètement décrire ce qu’est la Vie.
La Vie est mouvement, elle circule, elle se transmet. La Vie met nos cinq sens en éveil, elle est respiration, vibration. La Vie était, est et elle sera. La Vie ne se décrit pas, elle est un mouvement permanent qui se vit à chaque instant, ancrée dans le présent.

Alors gardons de ces images avant tout le message que Jésus veut faire passer par elles, et rendons-les vivantes par nos actions, nos paroles, nos prières,  par tout ce qui poursuit ce mouvement de Vie qu’a initié jésus. C’est par notre Vie que Jésus et Sa Parole restent vivants. # SOYONS VIVANTS ENSEMBLE

Dans l’Amour de Dieu, sous la protection de Marie et de Notre-Dame de Fatima, restons vivants, en lien,  dans un monde plus juste et plus fraternel !

Belle prière à tous,
Nathalie et Pascal

CHANT

Demeurez en mon amour (Hélène Goussebayle) Quel amour inconcevable le Seigneur Dieu a pour chacun d’entre nous ! Il nous aime, tels que nous sommes. Et il nous demande simplement, humblement, de l’aimer nous aussi. Ecoutons le doux chant de Jésus qui nous appelle avec une infinie tendresse et une joyeuse espérance.

R. Demeurez en mon amour comme je demeure en vous, Ainsi tous reconnaîtront que vous êtes mes amis.

1. Prenez et mangez, c’est mon corps livré pour vous. Prenez et buvez, c’est mon sang versé pour vous.
2. Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi et qu’il boive. Qui croira en moi, de son sein l’eau jaillira.
3. La gloire de mon Père, c’est que vous portiez du fruit. Ayez foi en moi, demandez, vous recevrez.
4. Dieu m’a envoyé, moi aussi je vous envoie. Recevez l’Esprit et proclamez le Salut.
5. Soyez mes témoins, je vous ferai pécheurs d’hommes. Je suis avec vous pour toujours, n’ayez pas peur.

EVANGILE

« Celui qui demeure en moi et en qui je demeure, celui-là porte beaucoup de fruit » (Jn 15, 1-8)

Évangile de Jésus Christ selon Saint Jean

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples :
« Moi, je suis la vraie vigne, et mon Père est le vigneron.
Tout sarment qui est en moi, mais qui ne porte pas de fruit, mon Père l’enlève ;
tout sarment qui porte du fruit, il le purifie en le taillant, pour qu’il en porte davantage.
Mais vous, déjà vous voici purifiés grâce à la parole que je vous ai dite.
Demeurez en moi, comme moi en vous.
De même que le sarment ne peut pas porter de fruit par lui-même
s’il ne demeure pas sur la vigne, de même vous non plus,
si vous ne demeurez pas en moi.
Moi, je suis la vigne, et vous, les sarments.
Celui qui demeure en moi et en qui je demeure,
celui-là porte beaucoup de fruit,
car, en dehors de moi, vous ne pouvez rien faire.
Si quelqu’un ne demeure pas en moi, il est, comme le sarment, jeté dehors,
et il se dessèche.
Les sarments secs, on les ramasse, on les jette au feu, et ils brûlent.
Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous,
demandez tout ce que vous voulez, et cela se réalisera pour vous.
Ce qui fait la gloire de mon Père, c’est que vous portiez beaucoup de fruit
et que vous soyez pour moi des disciples. »
 
– Acclamons la Parole de Dieu : Louange à toi, Seigneur Jésus !

Méditation du Pasteur J.P. Sternberger

Sans doute l’avons-nous mieux senti ces dernières semaines. La vie est faite de multiples échanges. La respiration, la circulation, l’air dans nos poumons, le sang dans nos veines, les propos échangés au téléphone…

Nous recevons à chaque instant. Nous nous nourrissons de paroles et de gestes partagés et le soir,  comme les disciples après la multiplication des pains, nous retournons aux paniers pleins des miettes récoltées pour nous en nourrir encore et rassasier ceux qui n’étaient pas là. Garder certes mais pour donner, récolter mais pour semer, amasser mais pour disperser.

Ainsi vit la vigne qui puise dans la terre. Ainsi les sarments qui, restés attachés au cep, reçoivent la sève, et voient murir les grappes comme on reconnaît un amour naissant. Ainsi les disciples qui gardent les paroles du maître. Tout cela, c’est de la vie qui va, passe et nous dépasse. Elle va plus loin que nous. Elle se donne au monde.

Oui, nous l’avons peut-être un peu mieux compris ces dernières semaines. La vie comme son contraire se passent de l’un à l’autre, se communiquent, se dispersent, se dispensent au point que parfois et cette fois, il faut mettre des barrières pour que la vie demeure.

Elle est en nous Seigneur cette vie donnée, elle sort de nous dans les gestes du don et du partage. Elle revient vers nous et nous voulons te la confier. Garde vivants, Seigneur, les vivants que nous sommes. Amen

Homélie de l’Abbé Link

« Je suis la vigne véritable et mon Père est le Vigneron ». D’emblée, Jésus identifie les symboles de la vigne et du Vigneron. Quant aux sarments, on comprend rapidement qu’il s’agit ici des disciples et de tous ceux qui à leur suite voudront mettre leurs pas dans ceux du Christ et porter un fruit qui rende gloire au Père.

Le fait que les sarments soient décrits par Jésus comme étant en lui souligne qu’ils n’ont d’existence que dans la vigne. Ainsi le disciple ne vit que dans le Christ.

Les verbes « retrancher » et « émonder » qui décrivent l’activité du Vigneron conditionnent la fécondité de la plante. Le Vigneron, le Père, source de toute Parole qui sort de la bouche du Fils, émonde au moyen de celle-ci.

C’est ainsi que les disciples, en tant que sarments, ont été émondés par la Parole du Fils et que ce dernier peut leur dire : « Déjà vous êtes purs grâce à la parole que je vous ai fait entendre ». Mais il dépend d’eux de rester attachés à lui.

C’est à eux qu’il revient de « demeurer en » la vigne, c’est-à-dire d’adhérer fermement et fidèlement à la personne du Christ.

Le disciple, devenu grâce à la Parole un sarment de la vigne unique, ne demeure tel que par sa fidélité propre, toujours réactualisée.

Si le nouvel être du disciple est celui du Fils en tant qu’il demeure dans le Fils comme le Fils demeure en lui, cela ne signifie pas pour autant qu’il y a fusion ou confusion de Dieu et de l’homme.

Si le disciple n’existe plus par lui-même parce qu’il puise sa sève dans la vigne, sa vie nouvelle n’en exige pas moins un consentement personnel, jamais achevé.

L’émondage a pour but de conduire à une synergie toujours plus grande entre la vigne et le sarment, à une communion toujours plus forte entre le Christ et le disciple.

Cette communion se révèle comme l’unique condition pour porter un vrai fruit, un fruit produit tout à la fois par la vigne et le sarment, par le Christ et le disciple : « Moi, je suis la vigne, et vous, les sarments.

Celui qui demeure en moi et en qui je demeure, celui-là donne beaucoup de fruit, car, en dehors de moi, vous ne pouvez rien faire. »

Si Jésus invite les disciples à demeurer en lui ce n’est pas simplement pour les préserver de leur infidélité ou pour leur rappeler que c’est là l’unique condition pour porter du fruit.

C’est aussi pour leur faire comprendre que c’est grâce à eux qu’il peut se rendre concrètement présent aux hommes.

Le sens de l’existence du disciple n’est-il pas de permettre au Christ en qui il demeure de se faire tout à tous ?

Solidement attaché Christ, ne faisant plus qu’un avec lui, le disciple est pénétré tout entier de sa vie, animé de ses pensées.

Il ne peut donc désirer que ce que désire le Christ. Voilà pourquoi tout ce qu’il demandera lui sera accordé.

Cet attachement solide au Christ manifeste aussi le projet du Père sur chacun de ses enfants : les rétablir comme ses fils dans le Fils unique.

C’est là sa Gloire : que ses enfants vivent de sa vie à travers son Fils. « La Gloire de Dieu c’est l’homme vivant », disait saint Irénée.

Cet homme vivant, en tant que disciple, manifestera alors l’amour plénier du Père au monde entier et contribuera au rassemblement de tous les hommes par le Fils unique, dans l’unité divine.

Cela aussi c’est la gloire du Père : rassembler ses enfants dispersés en un seul corps, celui du Christ qui est l’Église.

Seigneur, renouvelle-nous dans notre attachement à ta personne. Ramène-nous de toutes nos dispersions pour nous greffer à toi.

Que nous puissions vivre de la sève de ton Esprit et goûter ainsi cet amour que tu partages.

Homélie du Pape François

Messe à Sainte-Marthe, Mercredi 13 Mai 2020

Le Seigneur revient sur le fait de « demeurer en Lui », et nous dit : « La vie chrétienne doit demeurer en moi ». Demeurer (cf. Jn 15, 1-8). Et il utilise ici l’image de la vigne, car les sarments restent dans la vigne. Et ce reste n’est pas un reste passif, un endormissement dans le Seigneur : ce serait peut-être un « sommeil béatifique » ; mais ce n’est pas cela. Ce reste est un reste actif, et c’est aussi un reste réciproque. Pourquoi en est-il ainsi ? Parce qu’il dit : « Demeurez en moi comme moi en vous. » (v .4). Il reste aussi en nous, et pas seulement nous en Lui. Il s’agit d’un séjour réciproque. Dans une autre partie, il dit : le Père et moi « viendrons vers lui et, chez lui, nous nous ferons une demeure ». (Jean 14:23). C’est un mystère, mais un mystère de la vie, un beau mystère. Cela reste mutuel. Même avec l’exemple des sarments : c’est vrai, les sarments sans la vigne ne peuvent rien faire car la sève n’arrive pas, ils ont besoin de la sève pour grandir et porter des fruits. Mais aussi l’arbre, la vigne a besoin des pousses, car les fruits ne sont pas attachés à l’arbre, à la vigne. C’est un besoin réciproque, c’est un besoin mutuel de rester réciproque pour porter ses fruits.

Et c’est la vie chrétienne : il est vrai que la vie chrétienne consiste à accomplir les commandements (cf. Ex 20, 1-11), cela doit être fait. La vie chrétienne est d’aller sur le chemin des Béatitudes (cf. Mt 5, 1-13) : cela doit être fait. La vie chrétienne consiste à accomplir des œuvres de miséricorde, comme le Seigneur nous l’enseigne dans l’Évangile (cf. Mt 5, 31-36) : et cela doit être fait. Mais plus encore : cela doit rester réciproque. Sans Jésus, nous ne pouvons rien faire, comme les sarments sans la vigne. Et Lui – que le Seigneur me permette de le dire – sans nous, il semble qu’Il ne puisse rien faire, car c’est le fruit qui lui donne le rameau, et non l’arbre, la vigne. Dans cette communauté, dans cette intimité de « demeurer fécond », le Père et Jésus restent en moi et je reste en eux.

Quel est – me vient-il à l’esprit de dire – le « besoin » qu’a l’arbre de la vigne d’avoir des branches ? C’est d’avoir des fruits. Quel est le « besoin » – disons le avec un peu d’audace – quel est le « besoin » que Jésus a de nous ? Le témoignage. Lorsque dans l’Évangile il dit que nous sommes lumière, il dit : « que votre lumière brille devant les hommes : alors, voyant ce que vous faites de bien, ils rendront gloire à votre Père (Mt 5,16) », c’est-à-dire que le témoignage est le besoin que Jésus a de nous. Pour témoigner de son nom, car la foi, l’Évangile grandit par le témoignage.

C’est un chemin mystérieux : Jésus glorifié dans le ciel, après avoir passé la Passion, a besoin de notre témoignage pour faire grandir l’Église, pour annoncer, pour qu’elle grandisse. Et c’est la misérable réciproque de « demeurer ». Lui, le Père et l’Esprit demeurent en nous, et nous demeurons en Jésus.

Cela nous fera du bien de réfléchir et d’y réfléchir : demeurer en Jésus ; et Jésus demeure en nous. Demeurez en Jésus pour avoir la sève, la force, pour avoir la justification, la gratuité, pour avoir la fécondité. Et il reste en nous pour nous donner la force de porter du fruit (cf. Jn 5, 15), pour nous donner la force du témoignage avec lequel l’Église grandit.

Et je me pose une question : quelle est la relation entre Jésus qui reste en moi et moi qui reste en lui ? C’est une relation d’intimité, une relation mystique, une relation sans paroles. « Mais Père, mais ça, laisse les mystiques le faire. » Non : c’est pour nous tous. Avec de petites pensées : « Seigneur, je sais que Tu es là : donne-moi la force et je ferai ce que Tu me diras ». Ce dialogue d’intimité avec le Seigneur. Le Seigneur est présent, le Seigneur est présent en nous, le Père est présent en nous, l’Esprit est présent en nous ; ils restent en nous. Mais je dois rester en eux…

Que le Seigneur nous aide à comprendre, à ressentir cette mystique de demeurer sur laquelle Jésus insiste tant, tant, tant. Souvent, quand nous parlons de la vigne et des sarments, nous nous arrêtons à la figure, à l’œuvre du paysan, du Père : que ce qui [le sarment] porte du fruit le coupe, c’est-à-dire l’élague, et que ce qui ne le coupe pas le coupe et l’enlève (cf. Jn 15, 1-2). C’est vrai, il fait cela, mais ce n’est pas tout, non. Il y a autre chose. C’est l’aide : les épreuves, les difficultés de la vie, même les corrections que le Seigneur nous fait. Mais ne nous arrêtons pas là. Entre la vigne et les sarments, il y a cette intimité. Les branches, nous, ont besoin de la sève, et la vigne a besoin des fruits, du témoignage.

Notre Père de Guy Vincent

Notre Père, que ton règne vienne,
Notre Père, que ton règne vienne,
Notre Père, que ton règne vienne, sur notre terre.
Mon Dieu, que ton règne vienne,
Mon Dieu, que ton règne vienne,
Mon Dieu, que ton règne vienne, sur la terre.
 
Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.

 
Notre Père, que ton règne vienne, Notre Père, que ton règne vienne,
Notre Père, que ton règne vienne, sur notre terre.
Mon Dieu, que ton règne vienne, Mon Dieu, que ton règne vienne,
Mon Dieu, que ton règne vienne, sur la terre.
Notre Père qui es aux Cieux, Que ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous  aujourd’hui  notre  pain  de  ce  jour.
Pardonne  nous  nos  offenses,  comme  nous  pardonnons  aussi  à  ceux qui nous ont offensé.
Ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre nous du Mal.

Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Par ta miséricorde, libère-nous du péché, rassure-nous devant  les  épreuves  en  cette  vie  où  nous  espérons  le  bonheur  que  tu  promets  et  l’avènement  de  Jésus  le Christ,  notre  Sauveur.

Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles, Amen !

Seigneur  Jésus-Christ,  tu  as  dit  à  tes  Apôtres  :  « Je  vous  laisse  la  paix,  je  vous  donne  ma  paix ». Ne  regarde  pas  nos  péchés, mais la foi de ton Eglise. Pour que ta volonté s’accomplisse, donne-lui toujours cette paix, et conduis-la vers l’unité parfaite, toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen !

Chant à Notre Dame de Fatima
« Mon Dieu, je crois, j’adore, j’espère et je Vous aime »

Mon Dieu, je crois, j’adore, j’espère et je Vous aime
Je vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas
N’adorent pas, n’espèrent pas, ne vous aiment pas
Notre Dame du Rosaire,
Vous qui êtes apparue à Fatima,
A Lucia, Francisco, Jacinta
Convertissez nos cœurs de pierre
Changez nos ténèbres en lumière
Et l’on verra fleurir des roses de prière, des roses de lumière
Pour vous notre tendre mère
Pour vous notre tendre mère
 
Mon Dieu, je crois, j’adore, j’espère et je Vous aime
Je vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas
N’adorent pas, n’espèrent pas, ne vous aiment pas
Notre Dame du Rosaire,
Bénirons votre cœur immaculé
Demandons lui la grâce de la paix
Puisqu’il peut arrêter les guerres
Puisqu’il peut sauver notre terre
Si nous nous sacrifions et nous convertissons, à Lui nous consacrons
Pour sauver tous les pécheurs
Pour sauver tous les pécheurs
 
Mon Dieu, je crois, j’adore, j’espère et je Vous aime
Je vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas
N’adorent pas, n’espèrent pas, ne vous aiment pas
Notre Dame du Rosaire,
Nous vous aimons, nous sommes vos enfants
Comme Jésus dans le Saint-Sacrement
Que nos prières essuient vos larmes
Et qu’elles fassent tomber les armes
De tous les militaires, de toutes nos colères
Pour que nous soyons frères
Dans un monde repenti
Dans un monde converti
Mon Dieu, je crois, j’adore, j’espère et je Vous aime
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